Partie,  Chap.

 1   1,   XVIII|        par le diable, c’est un juif ! s’écria le capitaine Servadac.~ ~ ~–
 2   1,   XVIII|   capitaine Servadac.~ ~ ~– Un juif, ça ne serait rien, répondit
 3   1,   XVIII|        mais celui-là, c’est un juif allemand, et du plus vilain
 4   1,   XVIII|    offrait ce type si connu du juif allemand, reconnaissable
 5   1,   XVIII|        ailleurs, quoiqu’il fût juif d’origine, il se faisait
 6   1,   XVIII|     gagner davantage.~ ~ ~ ~Ce juif se nommait Isac Hakhabut,
 7   1,     XIX|   consolantes réponses, que le juif, auquel Ben-Zouf prodiguait
 8   1,     XIX|      manière à être compris du juif et des Espagnols, qu’il
 9   1,      XX|        Chéliff. D’ailleurs, le juif ne fit aucune observation,
10   1,      XX|       sur leur goélette, et le juif à bord de sa tartane.~ ~ ~ ~
11   2,     VII|        cabine, et après que le juif en eut refermé la porte,
12   2,     VII|     pauvre homme !… s’écria le juif en se lamentant.~ ~ ~– Voici
13   2,    VIII|        d’argent, empruntées au juif Hakhabut, furent déposées
14   2,    VIII|        usées ni rognées par ce juif. Elles sont donc dans les
15   2,      XV|               D’autre part, le juif allait être contraint à
16   2,      XV|      mon peson !… » murmura le juif.~ ~ ~ ~Et Palmyrin Rosette
17   2,    XVII|           mais en exceptant le juif, dont personne ne regretta
18   2,   XVIII| gonflée, ceignait la taille du juif.~ ~ ~« Qu’est cela ? demanda-t-il.~ ~ ~–