Partie,  Chap.

 1   1,    VIII|     avait disparu, soit que son éloignement, soit que les détours d’
 2   1,    VIII|         tant est considérable l’éloignement de ces astres. Il en est
 3   1,     XII|     naturelle, c’est-à-dire à l’éloignement croissant du globe sur sa
 4   1,     XII|        et que, depuis lors, son éloignement se fût accru d’un tiers
 5   1,     XVI|        s’affaiblissaient dans l’éloignement. Il en était ainsi de Vénus,
 6   1,      XX|        état permanent, mais son éloignement du soleil ne pouvait être
 7   1,      XX| réduisait de plus en plus par l’éloignement. Lorsqu’il passait au zénith,
 8   1,   XXIII|    était dû, en somme, qu’à son éloignement de la source de toute lumière
 9   1,    XXIV|     rapport à l’incommensurable éloignement des étoiles.~ ~ ~ ~Quant
10   1,    XXIV|      point marquerait alors son éloignement maximum, et, à compter de
11   2,       I|         Il avait pu mesurer son éloignement progressif du soleil, calculer
12   2,      VI|   considérablement réduit par l’éloignement, offrait l’aspect de la
13   2,     XII|               Cependant, avec l’éloignement progressif de Gallia, le