Partie,  Chap.

 1   1,       2|        superflu. Mieux vaut laisser parler les faits. Mais on comprendra
 2   1,       2|        contrarieraient encore, sans parler du courant équatorial, qui
 3   1,       3|            Attendez qu’ils puissent parler, répondit le capitaine Hull,
 4   1,       4|              fut bientôt en état de parler, et il put répondre en anglais
 5   1,       5|          dans la carrière, et, sans parler de Nelson et de quelques
 6   1,       5|            novice, si Dingo pouvait parler !… Peut-être nous dirait-il
 7   1,       6|            matelot du bord. Quant à parler, s’il ne le faisait pas,
 8   1,       6|            Il est plus difficile de parler avec un bec qu’avec une
 9   1,       9|        novice.~ ~ ~« Vous avez à me parler ? demanda Dick Sand.~ ~ ~–
10   1,       9|             Dick Sand.~ ~ ~– J’ai à parler au capitaine Hull, répondit
11   1,      12|              On s’entendait à peine parler au milieu des mugissements
12   1,      12|         tous ceux qui l’entendaient parler. Mrs. Weldon, elle-même,
13   1,      14| demandait-il. Quoi ! personne à qui parler ! »~ ~ ~Personne, en vérité,
14   1,      14|           pas à se préoccuper. Sans parler des ressources que devait
15   1,      17|     apprennent le plus facilement à parler.~ ~ ~ ~Il faut dire en outre
16   1,      17|            d’interroger et de faire parler l’Américain, – lequel, d’
17   1,      18|            noir et lui fit signe de parler à voix basse.~ ~ ~– Negoro,
18   1,      18|            se rappeler !… Il allait parler !…~ ~« Tais-toi, Tom ! répéta
19   2,      20|            et l’on n’a plus entendu parler de toi ! J’ai pensé que
20   2,      27|           est à peine s’ils osaient parler. Qu’auraient-ils pu se dire
21   2,      28|             on n’avait plus entendu parler ni de Dingo, ni de lui.
22   2,      33|           démener sur sa peau, sans parler de la crainte d’être piqué,
23   2,      35|            Cela amena Mrs. Weldon à parler du vieux Tom, de son fils,