Partie,  Chap.

 1   2,      25|  traitants de l’Afrique centrale, José-Antonio Alvez, bien connu des trafiquants
 2   2,      27| commerçant appartenait alors à ce José-Antonio Alvez, dont il avait été
 3   2,      27|      Loungga. C’était le traitant José-Antonio Alvez, qui s’entendait fort
 4   2,      27|        exploité les vices :~ ~ ~ ~José-Antonio Alvez, déjà avancé en âge,
 5   2,      27|         air, et les serviteurs de José-Antonio Alvez répondaient avec entrain.
 6   2,      27|    descendit. C’était le traitant José-Antonio Alvez.~ ~ ~ ~Quelques serviteurs
 7   2,      27|       compté immédiatement.~ ~ ~ ~José-Antonio Alvez et Coïmbra parlaient
 8   2,      27|           scène.~ ~ ~ ~La face de José-Antonio Alvez s’illumina, quand
 9   2,      27|         qui lui restaient !~ ~ ~ ~José-Antonio Alvez n’entendait pas qu’
10   2,      28|        comprenant les esclaves de José-Antonio Alvez, parmi lesquels figuraient
11   2,      28|     plusieurs traitants d’Oujiji. José-Antonio Alvez battait des mains.
12   2,      29|           de l’hydromel ! s’écria José-Antonio Alvez, en homme qui savait
13   2,      29|       ferons flamber, cette eau ! José-Antonio Alvez offrira un punch au
14   2,      29|         aucun des indigènes, ni à José-Antonio Alvez, nègre comme eux,
15   2,      29|         leur en laissaient.~ ~ ~ ~José-Antonio Alvez, conseillé par Negoro,
16   2,      30|     paraître inexplicable !~ ~ ~ ~José-Antonio Alvez se tenait coi dans
17   2,      30|          rien n’y manquait.~ ~ ~ ~José-Antonio Alvez, Coïmbra, Negoro,
18   2,      31|           dans l’établissement de José-Antonio Alvez. On le savait incapable
19   2,      31|        Mrs. Weldon voyait à peine José-Antonio Alvez, qui occupait la maison
20   2,      32|         et leurs voyageurs.~ ~ ~ ~José-Antonio Alvez trouvait que les explorations
21   2,      34|           dans l’établissement de José-Antonio Alvez !~ ~ ~ ~Pendant toute
22   2,      35|        prisonnière à cet horrible José-Antonio Alvez. Or, cette occasion
23   2,      35|        regretter la factorerie de José-Antonio Alvez et la hutte où sa