Partie,  Chap.

 1   2,      27|      Alvez apparaissait son ami Coïmbra, fils du major Coïmbra,
 2   2,      27|      ami Coïmbra, fils du major Coïmbra, de Bihé, et, au dire du
 3   2,      27|      paille tout dépenaillé. Ce Coïmbra était le confident, l’âme
 4   2,      27| poignées de mains avec Alvez et Coïmbra. Il reçut nombre de félicitations.
 5   2,      27|           José-Antonio Alvez et Coïmbra parlaient une sorte de portugais
 6   2,      27|             Bienvenus », ajouta Coïmbra.~ ~ ~ ~Le fils du major
 7   2,      27|     Mais, à ce moment, le señor Coïmbra reçut par la figure le plus
 8   2,      27|       la mésaventure de son ami Coïmbra, qui en était de deux dents
 9   2,      27|       pourtant le tout déconfit Coïmbra, et celui-ci, remis sur
10   2,      27|         adressa en même temps à Coïmbra, qu’à ses traits, si dégradés
11   2,      27|         origine indigène.~ ~ ~ ~Coïmbra renouvela le geste de menace
12   2,      28|      cadavre d’Harris. Alvez et Coïmbra réclamaient la mort immédiate
13   2,      28|      entre tous ; accompagné de Coïmbra, il proposait des lots d’
14   2,      28|      les injures, ni les coups. Coïmbra, à demi ivre, et les agents
15   2,      29|         En même temps qu’Alvez, Coïmbra, Ibn Hamis et les traitants
16   2,      29|    Alvez, nègre comme eux, ni à Coïmbra, métis de sang noir, ni
17   2,      29|  avaient pris la fuite. Quant à Coïmbra, il détala rapidement, connaissant
18   2,      30|             José-Antonio Alvez, Coïmbra, Negoro, les traitants arabes,
19   2,      33|         de Bihé et de Cassange. Coïmbra était allé le remplacer
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