Partie,  Chap.

  1     1,       I|           M. de Beule.~ ~ ~ ~A six heures du matin commençait le travail.
  2     1,       I|   monotonie sans fin.~ ~ ~ ~A huit heures, les ouvriers avaient trente
  3     1,       I|         des propos enjoués. A huit heures et demie, les pilons se
  4     1,       I|            leur apportait vers dix heures Sefietje, la vieille servante
  5     1,       I|            danse sauvage. A quatre heures, les hommes avalaient encore
  6     1,       I|           et monotone jusqu’à huit heures, avec une nouvelle lueur
  7     1,       I|        lorsque, sur le coup de six heures, Sefietje leur apportait
  8     1,      II|       quitter la fabrique quelques heures avant les autres ouvriers.
  9     1,      II|          brute pendant dix à douze heures, si bien qu’il n’était pas
 10     1,      II|           il était dans une de ses heures folles, il était préférable
 11     1,      II|          qu’il fût dans une de ses heures renfrognées, il acquiesçait
 12     1,      II|           il était dans une de ses heures folles, il répondait par
 13     1,      II|            à tue-tête, pendant des heures, en plein vacarme des pilons.
 14     1,      II| régulièrement sa tartine de quatre heures contre la goutte de six
 15     1,      II|            contre la goutte de six heures d’un des autres ouvriers (
 16     1,      IV|     donnait guère que deux à trois heures par jour ; mais l’hiver
 17     1,      IV|        avec sa bouteille, vers dix heures, était un instant de délicieux
 18     1,      IV|            arrivait vers les trois heures et, d’ordinaire, Sefietje
 19     1,      IV|             et la tartine à quatre heures avec la goutte du soir à
 20     1,      IV|        était la collation à quatre heures. Alors elles venaient s’
 21     1,      IV|      minutes dehors. Ça valait des heures, vous semblait-il. Ça vous
 22     1,      VI|        bureau pendant deux à trois heures, à expédier des factures
 23     1,      VI|           en général vers les huit heures et demie, au moment où les
 24     1,      VI|      passait le temps jusqu’à onze heures ; et c’était alors le moment
 25     1,      VI|                 Alors venaient les heures les plus pesantes de la
 26     1,      VI|            M. Triphon tuait-il les heures fastidieuses de l’après-midi ;
 27     1,      VI|         importe quel temps, à cinq heures il se trouvait avec Kaboul
 28     1,      VI|                  Entre six et sept heures le rêche et virginal trio
 29     1,      VI|          de l’usine, les dernières heures l’envahissaient d’une sorte
 30     1,      VI|        maître.~ ~ ~ ~Vers les huit heures et demie le souper prenait
 31     1,      VI|           potins du village. A dix heures il se levait, la tête fumeuse
 32     1,      VI|         rester éveillé pendant des heures. C’était souvent par des
 33     1,     VII|        inassouvie.~ ~ ~ ~Vers neuf heures, avec la chaleur qui montait,
 34     1,     VII|         les peupliers.~ ~ ~ ~A dix heures, ils prenaient quelques
 35     1,     VII|        amusaient follement. A deux heures on reprenait le travail ;
 36     2,      II|          dimanche suivant, à trois heures, non pas, comme l’avait
 37     2,      II|       inconnus, le bonheur. A huit heures, pour le casse-croûte, ils
 38     2,      II|         Sefietje paraître vers dix heures, comme d’habitude, avec
 39     2,      II|            Sefietje vint, vers six heures, apporter la traditionnelle
 40     2,     III|        coin obscur, marquait trois heures moins dix. Le disque du
 41     2,      IV|            servants, et, vers neuf heures, lorsque M. de Beule vint
 42     2,      IV|     Lorsque Sefietje vint vers six heures porter la goutte du soir
 43     2,      IV|          sa fabrique.~ ~ ~ ~A sept heures, comme la nuit tombait,
 44     2,      VI|            ébruiter. Mais dès huit heures, au moment où les hommes
 45     2,      VI|        écart des hommes. Ni à huit heures, ni à quatre heures, aucune
 46     2,      VI|           huit heures, ni à quatre heures, aucune ne se montra dans
 47     2,      VI|      pilons.~ ~ ~ ~Le matin, à dix heures, ce fut Eleken, la deuxième
 48     2,      VI|     genièvre ; mais le soir, à six heures, Sefietje, à peu près remise,
 49     2,       X|           d’hiver où, avant quatre heures, le soir tombait. Il n’avait
 50     2,       X|        toutes les longues, lourdes heures de cette vie morne et incolore.
 51     2,       X|        retombaient en cadence. Six heures sonnaient.~ ~ ~ ~Il se glissa
 52     2,   XVIII|          Il regarda sa montre. Six heures. Le soleil s’inclinait sur
 53     2,     XIX|            de désir, ce que, peu d’heures auparavant, il voulait éviter
 54     2,     XIX|           qu’il était près de neuf heures.~ ~ ~ ~Il lui fallait partir
 55     2,     XXI|           jour, au repos de quatre heures, M. Triphon surprit un bout
 56     2,     XXI|           les ouvriers pendant les heures de travail, je te flanque
 57     3,       I|          essayaient de tromper les heures interminables de leur fastidieux
 58     3,       I|      lorsque Sefietje venait à dix heures et à six, avec sa bouteille
 59     3,       I|                    Journée de huit heures ; assurance contre les accidents ;
 60     3,      II|            jour, aux repos de huit heures et de quatre heures, et
 61     3,      II|           huit heures et de quatre heures, et ils n’avaient plus d’
 62     3,      II|      salaire et une diminution des heures de travail. Pierken proposa
 63     3,      II|          travail fût limitée à dix heures au lieu de douze, avec une
 64     3,      II|     députation au patron ; moins d’heures de travail et salaire supérieur ;
 65     3,      II|         samedi, au repos de quatre heures. Alors, à eux trois, ils
 66     3,     III|                     III~ ~A quatre heures tapant, sans avoir mangé
 67     3,     III|        journée de travail de douze heures à dix, et augmenter nos
 68     3,     III|         cria-t-il à sa femme. Deux heures de travail en moins et cinquante
 69     3,      IV|                  Un peu avant huit heures, au crépuscule, une autre
 70     3,      IV|          ration ? C’était vers six heures, ordinairement, que le «
 71     3,      IV|            maintenant plus de huit heures. Rien d’étonnant à ce que
 72     3,      IV|                  Un peu avant neuf heures, lorsque les volets furent
 73     3,      IV|              et, lorsqu’il fut dix heures moins un quart, elle dit
 74     3,      IV|         rentré au plus tard à neuf heures et demie. C’était une consigne
 75     3,      IV|             A présent il était dix heuresSefietje les entendit
 76     3,       V|          se passer demain ? A cinq heures du matin Sefietje était
 77     3,       V|            air effaré.~ ~ ~ ~A six heures, au moment où la besogne
 78     3,       V|          voix blanche.~ ~ ~ ~A six heures et demie, son heure habituelle,
 79     3,      VI|         ils pouvaient finir à sept heures et demie au lieu de huit
 80     3,      VI|           et demie au lieu de huit heures. Je crois que tous, ou à
 81     3,     VII|    repasser dans la rue ; et à dix heures, après la grandmesse, des
 82     3,     VII|         empoisonneur.~ ~ ~ ~A onze heures Justin-la-Craque vint sonner
 83     3,     VII|           et pourront finir à sept heures et demie ?…~ ~– Pour l’amour
 84     3,    VIII|     Triphon, en rentrant vers cinq heures, apporta cette étrange nouvelle :
 85     3,    VIII|          maître.~ ~ ~ ~Lorsque six heures eurent sonné à l’église,
 86     3,    VIII|           longtemps absent. A neuf heures et demie, il était de retour
 87     3,      IX|                        IX~ ~Quatre heures du matin : Sefietje était
 88     3,      IX|            l’oreiller.~ ~ ~ ~A six heures très exactement, Sefietje,
 89     3,       X|                          X~ ~A dix heures, le moment venu de faire
 90     3,       X|       vieux temps.~ ~ ~ ~Vers onze heures, un silence retomba, mélancolique,
 91     3,       X|                 Au repos de quatre heures, ils allèrent tous casser
 92     3,       X|           grand poids.~ ~ ~ ~A six heures, Sefietje revint pour la
 93     3,       X|     minutes avant la demie de sept heures, Bruun s’approcha des «
 94     3,       X|             tourner » jusqu’à huit heures comme jadis, ou arrêter
 95     3,      XI|        seul la parole.~ ~ ~ ~A dix heures, lorsque Sefietje parut
 96     3,      XI|     après-midi, au repos de quatre heures, Pierken et Fikandouss allèrent
 97     3,      XI|      silencieux et boudeurs. A six heures, de même que le matin, Pierken
 98     3,      XV|            Pierken.~ ~ ~ ~A quatre heures, Pierken parut dans la fabrique,
 99     3,      XV|           après le repos de quatre heures et les hommes, avares de
100     3,      XV|           de la ville.~ ~ ~ ~A six heures vint Sefietje avec sa bouteille.
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