Partie,  Chap.

 1     1,       I|          fours la chauffaient, les hommes en emplissaient les sacs
 2     1,       I|           les mortaises.~ ~ ~ ~Les hommes peinaient, manches retroussées,
 3     1,       I|      sauvage. A quatre heures, les hommes avalaient encore une tartine
 4     1,      II|           II~ ~Régulièrement, neuf hommes étaient occupés dans l’huilerie
 5     1,      II|         ouvrières, pendant que les hommes se tordaient de rire. En
 6     1,      II|         bon, Free ? ricanaient les hommes.~ ~ ~– Comme du sucre !
 7     1,     III|       assez loin de la « fosse aux hommes » et séparé par une cour
 8     1,     III|          elle toute attention. Les hommes lui causaient une peur extrême
 9     1,     III|     possible le contact des autres hommes ; et pour Bruun, le chauffeur,
10     1,     III|        aussi sans aménité ; et les hommes, qui la détestaient franchement,
11     1,     III|        tourné. Par les femmes, les hommes à leur tour étaient mis
12     1,     III|          rouge au front.~ ~ ~ ~Les hommes rigolaient, la rappelaient :~ ~ ~–
13     1,     III|    Victorine, cramoisie.~ ~ ~ ~Les hommes se tordaient de rire. Mais,
14     1,      IV|             Sefietje détestait les hommes, tous les hommes. Elle était
15     1,      IV|     détestait les hommes, tous les hommes. Elle était hostile à l’
16     1,      IV|        avait jamais été jeune. Les hommes s’en moquaient en disant
17     1,      IV|      contre le mur, à la suite des hommes, eux aussi en train de faire
18     1,      IV|       présence gênante de tous ces hommes ; mais d’ordinaire elles
19     1,      IV|                Accroupis là, tous, hommes et femmes, leur pain noir
20     1,      IV|      lourdes pendeloques d’or. Les hommes contaient des farces grivoises,
21     1,       V|          ne chantaient plus et les hommes accomplissaient machinalement
22     1,       V|          Elles désapprouvaient les hommes, mais, au fond, elles en
23     1,      VI|     Triphon » l’accueillait et les hommes grattaient Kaboul à la poitrine,
24     1,     VII|           presque tous les autres, hommes et femmes ensemble, pour
25     1,     VII|           visage et la nuque ; les hommes, en bras de chemise, étaient
26     1,     VII|            dormir ; et parfois les hommes chatouillaient avec des
27     1,     VII|             selon leur humeur. Les hommes, eux, riaient toujours,
28     2,      II| casse-croûte, ils s’assirent tous, hommes et femmes, en rang d’oignons
29     2,      II|           sûrement  pleurer. Aux hommes elle ne dit rien, pas un
30     2,     III|      billes.~ ~ ~ ~Soudain, quatre hommes firent leur entrée ; au
31     2,       V|       haineuse et sourde, tous les hommes sont des coquins ; il n’
32     2,      VI|           heures, au moment où les hommes prenaient leur déjeuner
33     2,      VI|           se tinrent à l’écart des hommes. Ni à huit heures, ni à
34     2,      VI|    casse-croûte en commun avec les hommes. Ceux-ci, désireux de connaître
35     2,      VI|   fonctions accoutumées.~ ~ ~ ~Les hommes ricanaient.~ ~ ~– Rien de
36     2,      VI|         feu », se chuchotèrent les hommes à l’oreille. Et Ollewaert
37     2,      VI|        Feelken en riant.~ ~ ~ ~Les hommes glapissaient de joie, dans
38     2,      VI|            demanda Free.~ ~ ~ ~Les hommes riaient toujours plus haut
39     2,      VI|           sait ! » murmurèrent les hommes. Et Feelken, avec une drôle
40     2,      XI|         porte s’ouvrit et les deux hommes entrèrent. Un moment ébahi,
41     2,      XI|         aux huiliers », où les six hommes, luisants d’huile, se démenaient
42     2,     XII|     intéressait. En fait, les deux hommes ne savaient pas que M. Triphon
43     2,     XII|        pour n’en rien dire, si les hommes ne posaient aucune question.
44     2,   XVIII|            moins possible avec ces hommes qu’elle détestait violemment.~ ~ ~ ~
45     2,     XXI|                  Naturellement les hommes se soutiennent entre eux.
46     2,     XXI|            une ouvrière.~ ~ ~ ~Les hommes protestèrent avec véhémence ;
47     2,     XXI|     pépitapépitapépita !~ ~ ~ ~Les hommes se tordaient et là-bas les
48     2,     XXI|        côtés, comme un dément. Les hommes se précipitèrent dans l’
49     3,       I|          femmes aussi bien que les hommes. Lorsqu’elle avait passé,
50     3,       I|       fatigue descendaient sur les hommes et les femmes comme une
51     3,       I|           était Pierken, parmi les hommes ; et Victorine, sa fiancée,
52     3,      II|            de trois ouvriers, deux hommes et une femme, se rendît
53     3,      II|         centimes par jour pour les hommes et de vingt-cinq centimes
54     3,      II|         attitude raidie devant les hommes et se mit à bourdonner d’
55     3,     III|         centimes par jour pour les hommes et de vingt-cinq centimes
56     3,     III|          par jour !~ ~ ~– Pour les hommes… et vingt-cinq centimes
57     3,      IV|            femmes pas plus que les hommes – ne craignait les fureurs
58     3,      VI|         insistaient pour que leurs hommes reprissent le travail.~ ~ ~ ~
59     3,     VII|        plus sacrés, leur dignité d’hommes libres, pour un immonde
60     3,    VIII|           à peu de distance, trois hommes en conversation animée.
61     3,      IX|    solution de l’énigme.~ ~ ~ ~Les hommes semblaient de plus en plus
62     3,      IX|       recommençaient à bondir, les hommes s’affairaient autour des
63     3,       X|          et Muche le rattrapa. Les hommes respirèrent.~ ~ ~ ~Décidément
64     3,       X|            le monde à la fabrique, hommes et femmes, était déjà parti.
65     3,      XI|           dentelle.~ ~ ~ ~Les deux hommes avaient la mine sombre et
66     3,      XI|           existait encore quelques hommes parmi ce vil troupeau ;
67     3,      XI|         dans leur « fosse » et les hommes s’empressèrent d’en faire
68     3,      XI|          pilons rebondissants. Les hommes étaient silencieux et boudeurs.
69     3,    XIII|            y a ? s’exclamèrent les hommes.~ ~ ~– Là-haut ! Fikandouss !
70     3,    XIII|            ordonna-t-il.~ ~ ~ ~Les hommes se pressèrent vers la trappe.
71     3,     XIV|           cercueil descendait. Les hommes regardaient fixement, la
72     3,      XV|            de quatre heures et les hommes, avares de paroles, accomplissaient
73     3,      XV|        silhouettes, les formes des hommes devenaient celles de gnomes
74     3,      XV|         arbres ruisselaient et les hommes pensaient à Pierken, qui
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