Partie,  Chap.

 1     1,       I|       Dommage qu’on ne vous donnait jamais qu’un seul petit verre.
 2     1,      II|     ressemblait en rien à Berzeel ; jamais on ne se serait douté qu’
 3     1,      II|          pommes mûres. Il ne buvait jamais d’alcool, sauf la traditionnelle
 4     1,      II|         sans aucun espoir de gagner jamais autre chose que leur misérable
 5     1,      II|             amours. Ils ne rataient jamais une occasion de s’en amuser ;
 6     1,      II|   haïssaient. Elles ne l’appelaient jamais autrement que « le grand
 7     1,      II|           lui fît, il ne se fâchait jamais. C’était une manie habituelle
 8     1,      II|             Il ne s’en fâchait pas. Jamais il ne se fâchait. Il vous
 9     1,      II|         était au service militaire. Jamais il n’avait pu dire au juste
10     1,     III|             où confusion et erreur. Jamais on ne put savoir avec certitude
11     1,     III|        complaisance qu’elle n’avait jamais su ce qu’était le mal de
12     1,     III|             soixante ans et n’avait jamais songé à se marier. Et elle
13     1,     III|        unique, et il lui en resta à jamais un obscur frémissement de
14     1,     III|        parer.~ ~ ~ ~Elle ne portait jamais l’accoutrement terreux et
15     1,     III|             ouvrage, et ne manquait jamais d’aller jusqu’à « la fosse
16     1,      IV|             eût dit qu’elle n’avait jamais été jeune. Les hommes s’
17     1,      IV|             de ces histoires.~ ~ ~ ~Jamais elles n’en étaient rassasiées
18     1,      IV|      histoires, qu’on ne l’appelait jamais autrement que Justin-la-Craque.
19     1,      VI|          sur lui-même. On ne savait jamais dans quel état d’esprit
20     1,      VI|             d’ailleurs, ne tenaient jamais bien longtemps. Pour cela,
21     1,      VI|            jaune et plus tannée que jamais ; ses lourds cheveux noirs,
22     1,      VI|          Par bonheur pour eux tous, jamais M. de Beule ne s’attardait
23     1,      VI|              M. Triphon ne manquait jamais de venir montrer dans la «
24     1,      VI|           Dufour, qui ne manquaient jamais d’y assister.~ ~ ~ ~D’allures
25     1,      VI|         peut-être il ne posséderait jamais.~ ~ ~ ~Du reste, il ne savait
26     1,      VI|         tristesse vague. Ce n’était jamais bien profond et cela ne
27     1,      VI|           de s’attacher à elle pour jamais et de causer une peine infinie
28     1,     VII|            eût dit qu’ils n’avaient jamais respiré un autre air que
29     1,     VII|    moquaient, comme s’ils étaient à jamais délivrés maintenant de l’
30     1,     VII|           veau ! » plus stupide que jamais, sans doute ; et Pee, le
31     2,       I|                   Il désespérait de jamais rien obtenir d’eux, lorsqu’
32     2,       I|             de frère, il n’y aurait jamais rien à entreprendre. Il
33     2,     III|          village d’ailleurs n’avait jamais paru plus tranquille. C’
34     2,     III|             osait dire les choses ; jamais ils n’avaient entendu rien
35     2,      IV|             M. de Beule, ne mettait jamais les torts du côté de son
36     2,      IV|            bien pardonner. Mais, si jamais on ose recommencer, alors
37     2,       V|          fondre.~ ~ ~– Qui l’aurait jamais pensé ! Qui l’aurait jamais
38     2,       V|         jamais pensé ! Qui l’aurait jamais pensé ! gémissait-elle.~ ~ ~–
39     2,       V|          les deux ! annonça-t-elle. Jamais M. de Beule ne tolérera
40     2,      VI|           telle parce qu’il n’avait jamais pu l’avoir. Tous les autres,
41     2,      VI|            narquois si elle n’avait jamais songé aux garçons, elle
42     2,      VI|                     Ils ne disaient jamais « un litre », toujours «
43     2,      IX|            paroisse » et on n’était jamais sûr la veille de ce qui
44     2,       X|            soir tombait. Il n’avait jamais eu grand’chose à faire à
45     2,      XI|         pâles. N’avaient-elles donc jamais une révolte des sens ?~ ~ ~ ~
46     2,      XI|                 N’éprouvaient-elles jamais le besoin éperdu d’enlacer
47     2,      XI|           ses parents n’avaient-ils jamais fait une tentative pour
48     2,      XI|      Sidonie ne serait probablement jamais arrivée. A présent c’était
49     2,     XII|           est qu’il n’en épouserait jamais d’autre. Cela suffisait.
50     2,     XVI|      indéfiniment. Mais il n’aurait jamais cru, non, jamais, en être
51     2,     XVI|             aurait jamais cru, non, jamais, en être déjà à ce point
52     2,    XVII|             le serment solennel que jamais, quoiqu’il arrivât, il ne
53     2,     XIX|             comme s’ils ne devaient jamais s’ouvrir et deux menottes,
54     2,     XIX|             ainsi, tout était fini, jamais plus il ne remettrait les
55     2,     XIX|             pardonnât et jurait que jamais il ne la quitterait, jamais,
56     2,     XIX|         jamais il ne la quitterait, jamais, tant qu’il aurait un souffle
57     2,      XX|            Mais, quoiqu’il arrivât, jamais il ne quitterait Sidonie,
58     2,     XXI|            une offense et ne durait jamais longtemps. Au contraire.
59     2,    XXII|           café, où il n’allait plus jamais. Il y fit venir vin, liqueurs,
60     2,    XXII|           savait s’il se déciderait jamais à épouser Sidonie. Peut-être
61     3,      IV|             Elle n’en revenait pas. Jamais Berzeel ne passait son dimanche
62     3,      IV|               Mais Eleken ne disait jamais grand’chose ; elle préférait
63     3,      IV|         bien portants ne refusaient jamais l’avoine. Ils en dévoreraient
64     3,      IV|         Poulet Froid » ne se serait jamais risqué à enfreindre. A présent
65     3,    VIII|             qui autrement ne buvait jamais, courait maintenant en compagnie
66     3,      IX|              que s’ils recommencent jamais ou si j’ai à me plaindre
67     3,      IX|        jurer leurs grands dieux que jamais plus pareille chose n’arriverait
68     3,      XI|          derniers temps. Il n’avait jamais été tout à fait d’aplomb.
69     3,     XII| effarouchait plus les ouvrières, et jamais plus on n’entendait son