Partie,  Chap.

 1     1,     III|          elle avait reçus de son père, lorsque, à peine âgée de
 2     1,     III|           Triphon, ainsi que son père, faisait des rondes dans
 3     1,     III|          l’écart du village. Son père était jardinier de son état
 4     1,     III|    venait à la fabrique avec son père et s’en retournait le soir
 5     1,      VI|         il devait succéder à son père dans la direction de la
 6     1,      VI|      langue française auquel son père était abonné ; et il possédait
 7     1,      VI|         une des exigences de son père qu’il ne quittât point la
 8     2,       I|         osait pas contredire son père, et ne semblait du reste
 9     2,      IV|    espèce de veau ! » suivit son père, sans comprendre au juste
10     2,       V|      scène épouvantable entre le père et le fils, là devant elles.
11     2,       V|          entrer en ce moment. Le père et le fils restèrent là
12     2,      IX|        que possible d’éviter son père ; en réalité, il ne le voyait
13     2,       X|          présent, depuis que son père le boudait, c’était l’absolu
14     2,       X|         broderie, tandis que son père travaillait avec mauvaise
15     2,       X|        vieux moulin de bois. Son père était jardinier, et l’été
16     2,       X|          écoussoir. Peut-être le père de Sidonie, qui teillait
17     2,       X|      laissé Sidonie en paix, son père n’aurait pas eu à fournir
18     2,      XI|        volonté rancunière de son père lui laissait faire – si
19     2,      XI|          ton rassurant. C’est le père et Maurice qui reviennent.~ ~ ~ ~
20     2,      XI|     Triphon devint tout pâle. Le père et le frère ! Il n’y avait
21     2,      XI|         allait-il se passer ? Le père outragé ne lui montrerait-il
22     2,      XI|   entrèrent. Un moment ébahi, le père regarda fixement le visiteur
23     2,      XI|     ballants, vers l’âtre.~ ~ ~– Père Neyrinck…, commença M. Triphon
24     2,      XI|        et d’une pâleur livide. « Père Neyrinck… », reprit-il au
25     2,      XI|     raidi et presque tragique, « père Neyrinck, je suis ici… et
26     2,      XI|          tour M. Triphon et leur père. Le père avait l’air plutôt
27     2,      XI|         Triphon et leur père. Le père avait l’air plutôt gêné
28     2,      XI|      beaucoup d’argent.~ ~ ~ ~Le père hocha la tête ; il ne dit
29     2,      XI|   monsieur Triphon, dit enfin le père avec effort, tout en regardant
30     2,      XI|         ouvrit.~ ~ ~– Un cigare, père Neyrinck ? demanda-t-il
31     2,      XI|    monsieur Triphon, répondit le père avec un sourire de convoitise
32     2,      XI|        que j’aurai mangé, dit le père.~ ~ ~ ~Et il prit le cadeau
33     2,      XI|   bientôt ? demanda doucement le père à sa femme.~ ~ ~– C’est
34     2,     XII|         leur besogne. Lorsque le père ou Maurice se trouvaient
35     2,     XII|      promesse formelle.~ ~ ~ ~Le père et Maurice non plus ne voyaient
36     2,     XII|         ses visites répétées. Le père avait bien dit qu’il fallait
37     2,     XII|      beaucoup dans la maison, le père. Généralement, on le mettait
38     2,     XII|        était encore au momentpère et fils rentraient, les
39     2,     XII|    prenaient leur modeste repas. Père et fils étaient résignés
40     2,     XII|        en convenir entre eux, le père et le fils souhaitaient
41     2,     XIV| inquiètes.~ ~ ~ ~Bien sûr, ni le père, ni Maurice. Ce n’était
42     2,     XVI|        tête. Depuis des mois son père ne lui adressait plus la
43     2,     XVI|         Triphon en regardant son père d’un air mal assuré.~ ~ ~–
44     2,     XVI|          un regard mauvais à son père et gronda, tout frémissant :~ ~ ~–
45     2,   XVIII|         sa jeunesse, à côté d’un père tyran et d’une mère tyrannisée.
46     2,   XVIII|        était  dont il était le père et qui porterait son nom !
47     2,   XVIII|          scène violente avec son père, il n’avait plus essayé
48     2,     XIX|       toujours. En tout cas, son père ne savait rien, c’était
49     2,     XIX|     coussin de dentellière et le père Neirynck et Maurice fumaient
50     2,     XIX|       caressants souriaient ; le père Neirynck et son fils touchèrent
51     2,     XIX|      Sidonie : de la part de son père, à peine un grognement en
52     2,     XIX|       lit.~ ~ ~ ~Il entendit son père et sa mère monter pesamment
53     2,     XIX|     présence de ses parents. Son père était pourpre de colère
54     2,     XIX|     courait vers la chaumière du père Neirynck et y entrait en
55     2,     XIX|        articulait aucun son ; le père et Maurice s’affaissaient
56     2,      XX|    congestionné et féroce de son père, qui soufflait littéralement
57     2,      XX|          de l’histoire. Non, son père l’ignorait encore.~ ~ ~ ~
58     2,      XX|       presque mieux aimé que son père en sût d’avantage.~ ~ ~ ~
59     2,     XXI|          Triphon comprit que son père était retourné à la maison.~ ~ ~ ~
60     2,     XXI|         des machines, Bruun, son père, était aux aguets. Il valait
61     2,     XXI|     aussi que le prestige de son père était tombé à zéro. Il soufflait
62     2,    XXII|         le visage furieux de son père, les soupirs attristés de
63     3,       V|        Triphon sans regarder son père.~ ~ ~– Oh ! oui, mon garçon,
64     3,      VI|     éviter le nez à nez avec son père ; et Mme de Beule ne cessait
65     3,    VIII|           de ne pas regarder son père.~ ~ ~– Ça peut encore venir.
66     3,    VIII|    veillait sur Pierken comme un père sur son enfant, en faisant
67     3,    XIII|          heure, au moment où son père allait mettre la machine
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