Partie,  Chap.

 1     1,       I|         impression d’assister à un travail surhumain. Il était dirigé
 2     1,       I|      chance et ses contretemps, le travail d’installation prit un été ;
 3     1,       I|      heures du matin commençait le travail. Le chauffeur ouvrait le
 4     1,       I|         tout se régularisait et le travail continuait en une monotonie
 5     1,       I|           s’impréciser comme si le travail s’achevait dans une atmosphère
 6     1,       I|        portes.~ ~ ~ ~La journée de travail était finie.~ ~
 7     1,      II|    rapports entre le Capital et le Travail. Cela le troublait profondément,
 8     1,      II|          ils produisaient par leur travail. Pourquoi était-ce ainsi ?
 9     1,      II|          et il s’acquittait de son travail uniquement par contrainte,
10     1,      II|           il leur avait fournie en travail, pour la misère qu’ils lui
11     1,      II|       apparentes et il faisait son travail comme les autres. C’était
12     1,      II|          relevait et reprenait son travail, un peu pâle encore et frémissant,
13     1,      II|          puis s’absorbait dans son travail. Pendant le reste du jour,
14     1,      II|           de les remplacer au gros travail des meules à broyer. Siesken,
15     1,     III|    ratatiné. Là, les années de dur travail avaient accompli leur œuvre.
16     1,     III|           Beule ; en dehors de son travail à la fabrique, elle avait
17     1,     III|           tout le monde y était au travail. Depuis la venue de Sidonie,
18     1,       V| agréablement la grise monotonie du travail forcé dans les « fosses »
19     1,       V|            où ils reprenaient leur travail monotone et esquintant.
20     1,       V|          de quitter un instant son travail pour se glisser en douce
21     1,      VI|  absorbaient entièrement dans leur travail.~ ~ ~ ~La silhouette comique
22     1,      VI|     affaires et il avait aussi son travail de bureau. Bientôt il disparaissait
23     1,      VI|         disposaient à reprendre le travail.~ ~ ~ ~Par beau temps, ils
24     1,     VII|    moissonneurs étaient partout au travail ; de tous côtés on voyait
25     1,     VII|     pressaient pas de reprendre le travail ; ils restaient là, étendus
26     1,     VII|         des rayons, accomplir leur travail ; et cette vue, ils en jouissaient
27     1,     VII|            de sa venue, puisque le travail se faisait de lui-même et
28     1,     VII|        deux heures on reprenait le travail ; et on en avait alors jusqu’
29     2,      VI|      passait, quitta un moment son travail aux meules verticales pour
30     2,     VII|          et graisseux, en tenue de travail, elle l’introduisit dans
31     2,      IX|            unique préoccupation du travail ; et les poulies ronflaient,
32     2,       X|            lin après sa journée de travail, afin de pourvoir à l’entretien
33     2,       X|            étaient encore en plein travail. Comme le voisin à sa roue
34     2,      XI|       insignifiant et insipide son travail à la fabrique et au bureau –
35     2,      XI|              tout y parlait de bon travail et de devoir ; lui seul
36     2,      XI|          se remit machinalement au travail. Les deux petites sœurs
37     2,      XI|          remirent machinalement au travail. Les bobines tapotaient
38     2,      XI|       terreuse de ses vêtements de travail. Il paraissait fatigué et
39     2,     XIV|      entrer.~ ~ ~– Continuez votre travail ; j’irai voir, dit la mère,
40     2,    XVII|                  Occupe-toi de ton travail, nom de Dieu ! grogna M.
41     2,   XVIII|        ouvertes d’étonnement, tout travail semblait arrêté.~ ~ ~ ~Mais
42     2,     XIX|            ne point l’y trouver au travail. Qu’est-ce que cela signifiait ?
43     2,     XXI|         ont vécu toute leur vie du travail de leurs ouvriers et, aujourd’
44     2,     XXI|        levés, prêts à retourner au travail.~ ~ ~ ~Les femmes se dirigeaient,
45     2,     XXI|     ouvriers pendant les heures de travail, je te flanque à la porte
46     3,       I|   interminables de leur fastidieux travail ; et c’était plutôt à voix
47     3,      II|           diminution des heures de travail. Pierken proposa qu’une
48     3,      II|          obtenir que la journée de travail fût limitée à dix heures
49     3,      II|         patron ; moins d’heures de travail et salaire supérieur ; s’
50     3,      II|        levés pour retourner à leur travail. A ce moment apparut Justin-la-Craque
51     3,     III| inclinèrent. Dans leur vêtement de travail, ils se firent aussi propres
52     3,     III|           ramener notre journée de travail de douze heures à dix, et
53     3,     III|           sa femme. Deux heures de travail en moins et cinquante centimes
54     3,       V|          estima rapidement que son travail comme chauffeur ne l’empêcherait
55     3,       V|    angoissée, tous ces gens ont du travail. Seul Vloaksken pourrait
56     3,      VI|         leurs hommes reprissent le travail.~ ~ ~ ~On les voyait assez
57     3,      VI|       contents et reprendraient le travail.~ ~ ~– Rien ; pas un centime !
58     3,     VII|           à diminuer la journée de travail d’une demi-heure et à doubler
59     3,    VIII|       Froid » avait donc repris le travail, sans rien dire. Le « Poulet
60     3,      IX|       finie et, tout à l’heure, le travail allait reprendre à la fabrique.
61     3,      IX|         graves, absorbés dans leur travail, comme s’il n’existait nul
62     3,      IX|            plus absorbés dans leur travail et les pilons tapaient avec
63     3,     XIV|    minables que dans leur tenue de travail. Le cercueil était recouvert
64     3,      XV|         point pour y reprendre son travail. Il avait gardé ses habits
65     3,      XV| accomplissaient machinalement leur travail. Pierken devait déjà être
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2010. Content in this page is licensed under a Creative Commons License