Partie,  Chap.

 1     1,       I| courroies diligentes qui tout le jour avaient volé comme des oiseaux
 2     1,      II|           devaient trimer chaque jour, du matin au soir, toute
 3     1,      II|     travail. Pendant le reste du jour, alors, il restait d’ordinaire
 4     1,     III|         monde avait été ébahi le jour où l’on avait appris ses
 5     1,     III|      fils de M. de Beule… Chaque jour, M. Triphon, ainsi que son
 6     1,     III|      rester si longtemps, chaque jour, dans la « fosse aux femmes ? »
 7     1,      IV|          noires solives, dans le jour vague de deux fenêtres aux
 8     1,      IV|          deux à trois heures par jour ; mais l’hiver on y gelait.
 9     1,      IV|          tout un temps, jusqu’au jour où, brusquement, il en eut
10     1,      IV|        plus prendre.~ ~ ~ ~De ce jour datait, selon Natse, la
11     1,       V|          y mettrait bon ordre un jour ou l’autre.~ ~
12     1,      VI|  toujours ouverte de la cour, le jour de l’entrée restait vide
13     1,      VI|        avec Feelken, parce qu’un jour, à une semonce de M. de
14     1,      VI|    étaient couchés.~ ~ ~ ~Chaque jour, il travaillait au bureau
15     1,      VI|        infinie à ses parents, le jour où ils sauraient… Il s’endormait
16     2,       I|         c’est quatre gouttes par jour au lieu de deux, dit Ollewaert.~ ~ ~–
17     2,      II|        en effet, à mesure que le jour du meeting approchait, le
18     2,     III|        vous le dépeindre sous un jour crû, sans mentir, tel qu’
19     2,     III|       ils pourraient réaliser le jour où cette puissance, organisée
20     2,       X|          un crime s’il allait un jour errer par là, s’il allait
21     2,      XI|         paroles.~ ~ ~ ~Encore un jour qui s’achevait, semblable
22     2,     XIV|          long des routes. Chaque jour je suis étonné de voir rentrer
23     2,      XV|          Triphon devenait chaque jour plus méfiant. Il avait l’
24     2,    XVII|    Berzeel et Ollewaert ; et, un jour, sa fureur éclata devant
25     2,   XVIII|      habitué à sa cage.~ ~ ~ ~Un jour qu’il y rôdait ainsi, contrôlant
26     2,     XIX|          naturellement – sous un jour qui n’était pas trop sombre.~ ~ ~ ~
27     2,     XIX|          et, pendant le reste du jour, pas un mot ni un regard.
28     2,     XIX|          que, peut-être, quelque jour, la réconciliation viendrait.~ ~ ~ ~
29     2,      XX| manquerait pas de l’apprendre un jour, que serait-ce alors ?~ ~ ~ ~
30     2,     XXI|         le fils du patron. Et un jour, au repos de quatre heures,
31     2,     XXI|          payez-nous un verre. Un jour comme aujourd’hui, ça en
32     2,    XXII|          y allait presque chaque jour, à leur pauvre maisonnette
33     3,       I|   socialiste qu’il lisait chaque jour, de la première ligne à
34     3,       I|          à quoi pensait Pierken, jour et nuit ; et il estimait
35     3,       I|        de la classe ouvrière. Un jour, il y avait rencontré le
36     3,      II|                   II~ ~Depuis ce jour, Pierken ne songeait plus
37     3,      II|       conciliabule deux fois par jour, aux repos de huit heures
38     3,      II|        de cinquante centimes par jour pour les hommes et de vingt-cinq
39     3,     III|        de cinquante centimes par jour pour les hommes et de vingt-cinq
40     3,     III|      centimes d’augmentation par jour !~ ~ ~– Pour les hommes…
41     3,      VI|          Beule à tel point qu’un jour il l’arrêta et lui demanda
42     3,     VII|       venir le dimanche comme un jour de crise décisive, où, de
43     3,       X|          elles.~ ~ ~ ~De tout le jour, ils n’avaient pas encore
44     3,      XI|         XI~ ~Ce fut le troisième jour seulement que Pierken et
45     3,      XI|                 Pour le reste du jour, de nouveau la parole fut
46     3,      XV|      passé….~ ~ ~ ~Au dehors, le jour était devenu lourd et terne,