Partie,  Chap.

 1     1,       I|          Beule.~ ~ ~ ~A six heures du matin commençait le travail. Le
 2     1,       I|              Ranimés par l’air pur du matin, ils échangeaient des propos
 3     1,      II|       laquelle il demeurait, de grand matin il repartait, soi-disant
 4     1,      II|        ouvrage à la fabrique le lundi matin ; le plus souvent il n’y
 5     1,      II|              et parfois même le mardi matin, la face tuméfiée, les yeux
 6     1,      II|              traditionnelle goutte du matin et celle du soir apportées
 7     1,      II|        fabrique ; pendant le repos du matin et de l’après-midi, il en
 8     1,      II|       devaient trimer chaque jour, du matin au soir, toute leur vie,
 9     1,      II|             voix pendant les repos du matin et de l’après-midi.~ ~ ~ ~
10     1,      II|            que Sefietje apparaissait, matin et soir, avec la bouteille
11     1,      II|           Sefietje avec sa bouteille, matin et soir, c’était « Fikandouss-Fikandouss ».
12     1,     III|              Elles étaient six et, du matin au soir, ne faisaient autre
13     1,     III|               infecte ruelle ; chaque matin elle venait à la fabrique
14     1,       V|          sociale qu’il puisait chaque matin dans son petit journal.~ ~ ~ ~
15     1,      VI|             ferait pas autre chose du matin au soir que siffler des
16     1,      VI| divertissement. Régulièrement, chaque matin, M. de Beule allait prendre
17     1,     VII|         faucheurs, partaient de grand matin, la faux sur l’épaule, bientôt
18     1,     VII|           besogne à leur gré. Dans le matin vaporeux les alouettes quittaient
19     2,       I|         obtenir d’eux, lorsqu’un beau matin, son petit quotidien vint
20     2,       I|                qui accomplissaient du matin au soir, tous les jours,
21     2,       I|              la fabrique que le mardi matin, méconnaissable, le visage
22     2,      II|             délai.~ ~ ~ ~Le lendemain matin, à la fabrique, l’émotion
23     2,      II|          changeait pas. C’était lundi matin ; naturellement Berzeel
24     2,     III|            gens, des ouvriers qui, du matin au soir, d’un bout de l’
25     2,      IV|            compte.~ ~ ~ ~Le lendemain matin, la fabrique offrait un
26     2,      VI|                     VI~ ~Le lendemain matin, toute la fabrique savait
27     2,      VI|           fracas des pilons.~ ~ ~ ~Le matin, à dix heures, ce fut Eleken,
28     2,     VII|               venez m’apporter demain matin sa réponse.~ ~ ~– C’est
29     2,      IX|             pilons rebondissaient, du matin au soir, sans que la moindre
30     2,     XVI|      grognement hargneux, à son salut matin et soir. M. Triphon fut
31     3,       I|              en reparaissant le lundi matin à la fabrique, montrait
32     3,     III|          savez comme nous peinons, du matin au soir, pour vous et vos
33     3,      IV|               à la fabrique, le lundi matin. Pierken n’insista point.
34     3,      IV|             se présenter saoul demain matin à la fabrique et je le mets
35     3,       V|             demain ? A cinq heures du matin Sefietje était sur pieds.
36     3,       V|            aux chevaux leur ration du matin. Qui sait ? Il était peut-être
37     3,      VI|                 Justin, je t’ai vu ce matin en compagnie des gouapes !~ ~ ~–
38     3,      IX|                 IX~ ~Quatre heures du matin : Sefietje était déjà éveillée.
39     3,      XI|            six heures, de même que le matin, Pierken et Fikandouss refusèrent
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