Partie,  Chap.

 1     1,       I|         de répit pour déjeuner. Lorsque le temps était beau, ils
 2     1,       I|      une nouvelle lueur de joie lorsque, sur le coup de six heures,
 3     1,     III|       Natse était très vexée. « Lorsque vous aurez mon âge, vous
 4     1,     III|        avait reçus de son père, lorsque, à peine âgée de dix-huit
 5     1,     III|     mauvaise humeur à sa femme, lorsque la jeune fille était venue
 6     1,       V|     unique petit verre, surtout lorsque Pierken avait ravivé en
 7     1,       V|          ça faisait mal. Aussi, lorsque M. de Beule ou M. Triphon
 8     1,      VI|   question formelle et directe. Lorsque M. de Beule avait enfin
 9     1,      VI|      cachette, dans sa chambre, lorsque ses parents étaient couchés.~ ~ ~ ~
10     1,      VI|    nuits d’hiver et de tempête, lorsque la pluie giclait contre
11     1,     VII|   Vivifiante était la fraîcheur lorsque Ollewaert, Léo et Free aiguisaient
12     2,      II|        et obscure injustice, et lorsque les ouvriers lui en demandèrent
13     2,      II|        conclurent les ouvriers. Lorsque Sefietje vint, vers six
14     2,     III|       éloquence et de violence, lorsque soudain un incident surgit
15     2,      IV| servants, et, vers neuf heures, lorsque M. de Beule vint faire sa
16     2,      IV|      les taupes dans le jardin. Lorsque Sefietje vint vers six heures
17     2,       V|         œuvre d’homme. Un soir, lorsque Sefietje vint faire sa ronde
18     2,      VI|      ils le savaient aussi. Et, lorsque vers midi Pol et le « Poulet
19     2,      VI|         de vider son verre ; et lorsque Ollewaert, qui avait repris
20     2,      IX|       ou même ne répondait pas, lorsque son humeur était par trop
21     2,       X|     comme il faisait autrefois, lorsque l’occasion était propice.
22     2,     XII|       fixes, dans leur besogne. Lorsque le père ou Maurice se trouvaient
23     2,     XII|       posaient aucune question. Lorsque M. Triphon y était encore
24     2,    XIII|        Comment s’arrangerait-il lorsque, le printemps et l’été venus,
25     2,     XXI|      mastiquaient leur tartine, lorsque M. Triphon, en sortant de
26     2,     XXI|     allait suivre son compagnon lorsque, en franchissant le seuil
27     2,    XXII|      sans joie vers la fabrique lorsque soudain, à un détour du
28     2,    XXII|         composait une attitude, lorsque soudain, d’un mouvement
29     3,       I|         fosse aux femmes » ; et lorsque Sefietje venait à dix heures
30     3,       I|           surtout vers le soir, lorsque la rouge lueur du couchant
31     3,     III| disparut dans la maison ; mais, lorsque les sabots des trois ouvriers
32     3,      IV|       les fureurs du patron. Et lorsque Pierken eût décrété que
33     3,      IV|       Un peu avant neuf heures, lorsque les volets furent fermés
34     3,      VI|     occupaient des chevaux ; et lorsque Vloaksken, le seul ouvrier
35     3,      VI|     timidité ne le retenait et, lorsque sa conviction était faite,
36     3,     VII| entretien avec M. de Beule ; et lorsque celui-ci, averti par Sefietje,
37     3,    VIII|       chacun leur maître.~ ~ ~ ~Lorsque six heures eurent sonné
38     3,       X|        la « fosse aux femmes », lorsque Sefietje y entra, régnait
39     3,      XI|     parole.~ ~ ~ ~A dix heures, lorsque Sefietje parut avec la bouteille,