Partie,  Chap.

 1     1,      II|            puis, il y avait là, le long du chemin, d’autres petits
 2     1,      II|          Oooouuuuuiiiii… », un long rugissement rauque et tellement
 3     1,      II|          toujours un pantalon trop long et trop large, qui lui retombait
 4     1,     III|       toujours de belles fleurs le long du mur, sous les fenêtres
 5     1,      IV|           Natse d’en raconter plus long. Mais Natse se méfiait ;
 6     1,     VII|           de la fabrique, comme un long cierge sale qui désignait
 7     1,     VII|    instants de repos, tout de leur long étendus sur la berge, à
 8     2,       I|    retentit profondément, comme un long cri de détresse, dans l’
 9     2,       I|            tous les jours, tout au long de leur existence, une besogne
10     2,       X|       échalas, sur le trottoir, le long des maisons. Il s’effaça
11     2,       X|           cette brume glaciale, le long de ces noirs chemins boueux,
12     2,      XI|          yeux le remercièrent d’un long regard pour sa violente
13     2,      XI|            âtre. Le fils aussi, un long garçon dégingandé, s’arrêta
14     2,      XI|         impatience fit entendre un long bâillement sonore et sautilla
15     2,    XIII|            et les étains ternis le long des murs ; le plafond bas
16     2,     XIV|           le dallage de briques le long du mur. Puis quelqu’un secoua
17     2,     XIV|        avec leurs gros chariots le long des routes. Chaque jour
18     2,      XV|     étrange sur M. Triphon, et son long nez rouge qui semblait rire
19     2,    XVII|       drôle de frétillement de son long nez rouge, qui faisait penser
20     2,   XVIII|     blanches fleurissaient déjà le long des ruisseaux redevenus
21     2,   XVIII|            recommença à marcher de long en large sous les sapins.
22     2,     XIX|           du ruisseau, s’élança le long de la rive, piqua dans la
23     2,     XIX|            La sueur lui coulait le long des joues, ses jambes se
24     2,     XIX|           était couché de tout son long sur le parquet ; à l’étage,
25     3,      VI|            ils trouvaient le temps long, déconcertés par ces journées
26     3,      XI| Ooooooooooo… » commença-t-il en un long trémolo sombre. Tout à coup,
27     3,      XV|        Komèl ne dit rien, mais son long nez rouge parlait pour lui.~ ~ ~ ~
28     3,      XV|          dur, si amer.~ ~ ~ ~En un long soupir d’épuisement, la
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