Partie,  Chap.

 1     1,       I|  continuait en une monotonie sans fin.~ ~ ~ ~A huit heures, les
 2     1,       I|        une ronde obstinée et sans fin ; les pilons dansaient une
 3     1,     III|           circonstance avait à la fin, non sans peine, fait pencher
 4     1,      VI|     encadrait dans l’ouverture le fin et pur profil de Sidonie,
 5     1,      VI|          coups de dents mettaient fin à la lutte. Et Kaboul, très
 6     1,      VI|           demie le souper prenait fin. M. de Beule se calait dans
 7     1,     VII|             Chaque année, vers la fin de juin, les villageois
 8     2,       V|            avait tout de même, en fin de compte, fait œuvre d’
 9     2,       V|         cette fois-ci, c’était la fin de tout. Lotje, Sidonie
10     2,       X|          soir brumeux et froid de fin novembre. La rue était déserte ;
11     2,      XI|          et le profil était resté fin et pur, un peu aminci sous
12     2,     XII|          ce temps d’hiver ; et en fin de compte la mère se résigna,
13     2,     XIV|    épiloguer sur ce chapitre sans fin et que tout le reste était
14     2,     XVI|           un petit tour, dit à la fin M. Triphon en regardant
15     2,   XVIII|      occident, qui racontait sans fin, de sa voix monotone et
16     2,      XX|         pour son fils ; mais à la fin du dîner, au moment où il
17     3,      IV|           ils se révoltaient à la fin, prêts à une farouche résistance.
18     3,      VI|       quitterait son service à la fin du mois.~ ~ ~ ~Des bruits
19     3,     VII|  satisfaits et la grève prendrait fin, si M. de Beule consentait
20     3,     VII|   quitterait pas son service à la fin du mois. Mme de Beule et
21     3,     VII|  réconciliateur. On était vers la fin de la première semaine de
22     3,       X|           façon dont il avait mis fin à la grève.~ ~ ~– Ce que
23     3,       X|        jadis.~ ~ ~ ~Mais, vers la fin de la longue journée de
24     3,      XI| abstinents.~ ~ ~ ~Un peu avant la fin de la journée une ombre
25     3,      XV|           splendide touchait à sa fin ; on sentait le premier