Partie,  Chap.

 1     1,       I|         les ouvriers voyaient le soleil couchant dorer les pelouses
 2     1,      IV|      dans leur « fosse », car le soleil n’y donnait guère que deux
 3     1,      IV|      Parfois, lorsqu’un rayon de soleil entrait par les petites
 4     1,      IV|           Si un nuage cachait le soleil, les chants s’atténuaient
 5     1,     VII|      ensemble, pour retourner au soleil l’herbe fauchée et la mettre
 6     1,     VII|          pleine nature, au grand soleil radieux.~ ~ ~ ~Ils arrangeaient
 7     1,     VII|         alouettes chantaient, le soleil dardait et du foin coupé
 8     1,     VII|      séchait tout de même au bon soleil. Ils le voyaient, pour ainsi
 9     1,     VII|        loin comme une pivoine au soleil ; et nul ne comprenait l’
10     1,     VII|       reluquant Sidonie, qui, au soleil des champs, était encore
11     1,     VII|          alors jusqu’à ce que le soleil s’inclinât vers l’occident,
12     1,     VII|       toute la journée.~ ~ ~ ~Le soleil ne dardait plus ; rouge,
13     2,      II|         de la cour dans le tiède soleil d’automne, à écouter tout
14     2,     III|         air immobile tamisait un soleil dont la bonne chaleur en
15     2,   XVIII|         arômes grisants au tiède soleil d’avril. Les coucous jaunes
16     2,   XVIII|         ouvrage, le rectangle de soleil qu’y dessinait la porte
17     2,   XVIII|        sa montre. Six heures. Le soleil s’inclinait sur l’horizon,
18     2,   XVIII| rebondissaient et cognaient ; le soleil couchant tendait en diagonale,
19     3,      IX|          par les flèches d’or du soleil levant. On croyait humer
20     3,       X|           Au dehors le splendide soleil d’été illuminait la terre.
21     3,     XIV|        repeintes à neuf au tiède soleil. Le coq de cuivre au haut
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