Partie,  Chap.

 1     3,      II|            refusait, alors c’était la grève. Qu’est-ce que les camarades
 2     3,      II|           supérieur ; s’il refuse, la grève !~ ~ ~ ~Les ouvriers redevinrent
 3     3,      II|                    Bon. Alors tous en grève.~ ~ ~– Ça va de soi, s’il
 4     3,      IV|            Pierken eût décrété que la grève commencerait le lundi suivant,
 5     3,      IV|        apercevrait bien qu’il y avait grève, lorsqu’il ne verrait aucun
 6     3,      IV|       important, c’était que l’on fît grève.~ ~ ~ ~Le dimanche, au cours
 7     3,       V|              qui vive.~ ~ ~– C’est la grève, soupira Sefietje d’une
 8     3,      VI|               ou deux articles sur la grève de la fabrique de Beule ;
 9     3,     VII|         montreraient satisfaits et la grève prendrait fin, si M. de
10     3,     VII|             de la première semaine de grève et on sentait venir le dimanche
11     3,    VIII|       considérait plus comme étant en grève.~ ~ ~ ~M. de Beule se retira
12     3,      IX|             déjà à ses chaudières, la grève était finie et, tout à l’
13     3,      IX| disaient-elles, avaient entraîné à la grève tous les autres, contre
14     3,       X|            dont il avait mis fin à la grève.~ ~ ~– Ce que j’en pense ?…
15     3,       X|       calculant âprement ce que cette grève idiote leur faisait perdre
16     3,       X|           bien, c’est vite fini, leur grève ! » Les ouvriers faisaient
17     3,      XI|             article sur l’échec de la grève. On y tançait la population
18     3,    XIII|          surmonter la déception de la grève manquée. Lui, Pierken, avait