Partie,  Chap.

  1     1,       I|         rue ; et les bâtisses, qui plus tard allaient devenir une
  2     1,       I|     progrès. Les gens se sentaient plus de goût à travailler dans
  3     1,       I|            une très grande et deux plus petites, firent une impression
  4     1,       I|             A côté, dans une salle plus claire et aménagée avec
  5     1,       I|          dansaient en rebondissant plus haut et plus fort sur le
  6     1,       I|          rebondissant plus haut et plus fort sur le bois dur et
  7     1,       I|         coincé ; on ne s’entendait plus ; s’il avait un mot à dire,
  8     1,       I|      moteur essoufflé n’en pouvait plus. Il fallait que le meunier
  9     1,       I|            sûr, ça vous descendait plus bas que l’estomac. Ils en
 10     1,       I|          heure. Ceux qui restaient plus près avaient parfois le
 11     1,       I|      fatigués. Ils ne fredonnaient plus de chansons ; ils ne parlaient
 12     1,       I|        chansons ; ils ne parlaient plus. Ils se mouvaient plus lentement,
 13     1,       I|   parlaient plus. Ils se mouvaient plus lentement, comme des ombres,
 14     1,      II|         venait ensuite Berzeel, le plus âgé des « huiliers ».~ ~ ~
 15     1,      II|           la ferme intention de ne plus s’arrêter avant son cher
 16     1,      II|        table. Dès lors, il n’était plus question de marcher. On
 17     1,      II|            dormir, le sommeil, non plus que le repos dominical,
 18     1,      II|       fabrique le lundi matin ; le plus souvent il n’y revenait
 19     1,      II|           excuse, promettait de ne plus recommencer. Il se mettait
 20     1,      II|           son établi une minute de plus qu’il n’était strictement
 21     1,      II|    aimaient pas du tout Pierken et plus d’une fois il avait été
 22     1,      II|           la fabrique, il était le plus fort, le meilleur, le plus
 23     1,      II|         plus fort, le meilleur, le plus agile et le plus endurant.
 24     1,      II|      meilleur, le plus agile et le plus endurant. Et, comme il le
 25     1,      II|             Tout de même, il était plus résistant qu’on aurait pensé
 26     1,      II|           il n’y avait pas d’homme plus amusant, plus spirituel
 27     1,      II|          pas d’homme plus amusant, plus spirituel dans toute l’équipe.
 28     1,      II|         regardait le verre avec la plus grande attention ; et alors
 29     1,      II|          Bientôt il n’y paraissait plus ; après s’être secoué comme
 30     1,      II|          deux « cabris », était le plus vindicatif, avec sa drôle
 31     1,      II|       faire avaler les bourdes les plus invraisemblables ; mais
 32     1,      II|        chez lui était réduite à sa plus simple expression. Une des
 33     1,     III|         sacs.~ ~ ~ ~Natse était la plus âgée. Elle devait être très
 34     1,     III|            Elle avait eu une sœur, plus jeune ou plus âgée qu’elle (
 35     1,     III|            une sœur, plus jeune ou plus âgée qu’elle (Natse ne savait
 36     1,     III|          les autres l’agaçaient de plus belle. L’incertitude de
 37     1,     III|          uniquement pour le rendre plus visible et, pour ainsi dire,
 38     1,     III|          Peut-être se croyait-elle plus en sûreté auprès du faible
 39     1,     III|         une terreur indicibles. En plus du ravaudage des sacs sa
 40     1,     III|     Sidonie, enfin, se trouvait la plus jeune de toute l’équipe :
 41     1,     III|          Mais, ce qu’il y avait de plus curieux, c’est qu’à se laisser
 42     1,     III|          huilier », elle ne savait plustourner la tête. Dans
 43     1,     III|           ses parents dans une des plus misérables masures d’une
 44     1,      IV|            du dehors n’y pénétrait plus et toutes avaient les pieds
 45     1,      IV|     huiliers », qui étaient encore plus mauvais sujets que tous
 46     1,      IV|             A coups d’insinuations plus ou moins voilées, elle déblatérait
 47     1,      IV|            elle repartait, pour ne plus entendre toutes ces insinuations
 48     1,      IV|          en eut assez et ne revint plus.~ ~ ~ ~Alors, Sefietje avait
 49     1,      IV|           assez et ne s’y laissait plus prendre.~ ~ ~ ~De ce jour
 50     1,      IV|    suppliaient Natse d’en raconter plus long. Mais Natse se méfiait ;
 51     1,      IV|  barytonnait ; sa bouche s’ouvrait plus large et il entonnait :~ ~ ~–
 52     1,       V|   bienheureuse demi-heure en était plus d’une fois gâtée.~ ~ ~ ~
 53     1,       V|       dédale et ils n’en sortaient plus.~ ~ ~ ~Souvent, après ces
 54     1,       V|           Les femmes ne chantaient plus et les hommes accomplissaient
 55     1,       V|            histoires ; et, pour la plus futile question, Léo lâchait
 56     1,      VI|            à la maison, ne l’avait plus quitté. C’était un pitoyable
 57     1,      VI|     existait pas au monde de chien plus fidèle et M. de Beule, touché,
 58     1,      VI|      méridionale, paraissait alors plus jaune et plus tannée que
 59     1,      VI|     paraissait alors plus jaune et plus tannée que jamais ; ses
 60     1,      VI|      habitait chez ses parents où, plus tard, il devait succéder
 61     1,      VI|          doucement, il s’en allait plus loin avec Kaboul, qui de
 62     1,      VI|            M. Triphon l’instant le plus palpitant de toute la journée ;
 63     1,      VI|            y avait toujours un peu plus de gaîté et d’animation
 64     1,      VI|    opulente, dont ils étaient tous plus ou moins amoureux. Mais
 65     1,      VI|            venaient les heures les plus pesantes de la journée.
 66     1,      VI|         jours. Lorsqu’on ne savait plus qu’en faire, on en donnait
 67     1,      VI|         mademoiselle Joséphine, la plus jeune, était plutôt jolie,
 68     1,      VI|            point de relations, pas plus qu’il n’en existait entre
 69     1,      VI|      sociale, eussent entre eux de plus intimes rapports que l’échange
 70     1,      VI|        reste de la journée n’avait plus grand intérêt pour M. Triphon.
 71     1,      VI|         passion pour elle. Lui non plus n’était pas heureux, seul
 72     1,      VI|     probablement, avec l’autre non plus. Il soupirait, se résignait,
 73     1,      VI|           de Guustje, qui était le plus faible des deux et encaissait
 74     1,      VI|        deux et encaissait beaucoup plus de coups qu’il n’en pouvait
 75     1,      VI|         veillait alors à ce que le plus parfait silence régnât dans
 76     1,      VI|          insomnies il sentait avec plus d’acuité sa grande solitude
 77     1,     VII|           villageois n’entendaient plus le tintamarre habituel des
 78     1,     VII|         hautes aux premiers plans, plus petites à mesure qu’elles
 79     1,     VII|          ces petits bonshommes pas plus grands que des criquets ;
 80     1,     VII|        tours de force, et, pour la plus insignifiante question,
 81     1,     VII|           rayonnement d’or. Un peu plus loin, on apercevait les
 82     1,     VII|   chauffeur, qui n’avait désormais plus rien à épier, plus à courir
 83     1,     VII|       désormais plus rien à épier, plus à courir après « La Blanche » ;
 84     1,     VII|         cette « espèce de veau ! » plus stupide que jamais, sans
 85     1,     VII|          biens de la terre étaient plus équitablement partagés ;
 86     1,     VII|            monde et n’obtenait pas plus en retour qu’il ne méritait
 87     1,     VII|           des champs, était encore plus belle infiniment que dans
 88     1,     VII|            soir était l’instant le plus délicieux de toute la journée.~ ~ ~ ~
 89     1,     VII|               Le soleil ne dardait plus ; rouge, il pendait sur
 90     2,       I|          exprimer. Feelken n’avait plus aucune envie de traiter
 91     2,       I|          Pierken.~ ~ ~– Ni moi non plus ! clama tout à coup Fikandouss-Fikandouss,
 92     2,       I|            n’irai pas, et Miel non plus ! répondit Bruun d’un ton
 93     2,      II|           le soir, on n’apercevait plus nulle part le moindre chiffon
 94     2,      II|      bonnes gens, qui ne parlaient plus des papiers rouges qu’en
 95     2,      II|         signifierait congé dans le plus bref délai.~ ~ ~ ~Le lendemain
 96     2,      II|          Compostello se sentait de plus en plus ébranlée dans son
 97     2,      II|  Compostello se sentait de plus en plus ébranlée dans son antique
 98     2,     III|       ailleurs n’avait jamais paru plus tranquille. C’était une
 99     2,     III|          dénotait des citadins. Le plus âgé des quatre qui venaient
100     2,     III|      vraiment, sans se voir accusé plus tard d’y avoir participé
101     2,     III|      calmement lui demanda avec le plus grand sang-froid :~ ~ ~–
102     2,     III|            et, en premier lieu, du plus élémentaire de tous ces
103     2,     III|      enfourcha son dada ; et, sans plus s’occuper de Berzeel et
104     2,     III|           du corps se serra encore plus étroitement autour du tribun
105     2,     III|          Il semblait en proie à la plus vive indignation et ses
106     2,      IV|          Compostello, qui était la plus âgée et la plus sérieuse,
107     2,      IV|           était la plus âgée et la plus sérieuse, prit la parole ;
108     2,      IV|       tremblante.~ ~ ~– Je ne veux plus rien avoir à faire avec
109     2,      IV|          pour toutes, c’est fini ! Plus de socialistes à la fabrique !~ ~ ~–
110     2,      IV|       leurs histoires ; on ne peut plus vivre avec lui ! s’écria
111     2,      IV|     ouvriers ! Si ça ne leur plaît plus, ils n’ont qu’à s’en aller !
112     2,       V|        proie à la consternation la plus profonde et « La Blanche »
113     2,       V|       perverti et qu’on ne pouvait plus avoir confiance en personne.
114     2,       V|  Bouleversé, M. de Beule ne savait plus à quel saint se vouer. On
115     2,      VI|    impossible de demander à Léo la plus petite chose, sans qu’il
116     2,      VI|           tout à coup ? Ce n’était plus lui. Victorine, en larmes,
117     2,      VI|            hommes riaient toujours plus haut et Léo rugit à tue-tête,
118     2,     VII|           bien le mariage, dans le plus bref délai légalement possible,
119     2,    VIII|            ce vaurien ! Je ne veux plus le voir ici ! Je l’assommerais !~ ~ ~ ~
120     2,    VIII|             après une délibération plus calme avec sa femme, non
121     2,    VIII|          impossible de vous garder plus longtemps à la fabrique.~ ~ ~ ~
122     2,    VIII|          tête.~ ~ ~– Voici, ajouta plus doucement Mme de Beule,
123     2,      IX|   expression grave et concentrée ; plus aucun éclat de gaîté. On
124     2,      IX|    penchées sur leur ouvrage, sans plus chanter ; lorsqu’elles devisaient
125     2,      IX|      cessait et s’en allait un peu plus loin. Il essayait autant
126     2,      IX|         son fils.~ ~ ~ ~L’heure la plus pénible était celle où l’
127     2,       X|            aussi ne se montrait-il plus que très rarement dans la «
128     2,       X|          femmes » il ne paraissait plus du tout. On eût dit que
129     2,       X|           ne s’y aventura qu’après plus d’une semaine, dans l’espoir
130     2,       X|           histoire, il n’avait non plus remis les pieds, l’accueil,
131     2,       X|          fut différent, mais guère plus agréable. La jolie Fietje
132     2,       X|          soudain son expression la plus sérieuse, revêtue d’une
133     2,       X|     partait dans le dos. Il n’alla plus à La Pomme. Et dès lors,
134     2,       X|            soir, enfin, n’y tenant plus de nostalgie et de douleur,
135     2,       X|                  Il entendit aussi plus près, venant d’une des maisonnettes,
136     2,       X|            Triphon le suivit, sans plus lutter ni hésiter.~ ~ ~ ~
137     2,       X|          roue d’écoussoir ronflait plus fort, comme un bourdon puissant ;
138     2,       X|    hésitait ; il n’osait pas aller plus loin. En lui pénétrait la
139     2,       X|            pas. Il ne s’occupa pas plus de son fils que si celui-ci
140     2,       X|        ouvrage. M. Triphon n’avait plus rien à faire….~ ~
141     2,      XI|            inquiétude le reprirent plus fort. Si désespérément vide
142     2,      XI|         tout d’un coup il n’y tint plus, la démence le secouait.
143     2,      XI|           hésitation avant d’aller plus loin.~ ~ ~ ~Là tout semblait
144     2,      XI|         chanson. Que fallait-il de plus au monde que le contentement !
145     2,      XI|            était-il pas mille fois plus heureux que lui qui, matériellement,
146     2,      XI|            ne serait-elle pas bien plus heureuse s’il réparait le
147     2,      XI|     attendrissement et il n’hésita plus. D’un pas ferme, il passa
148     2,      XI|          Le tisonnier ne tisonnait plus, les bobines cessèrent de
149     2,      XI|             vous ? répéta la voix, plus pressante.~ ~ ~– Moi, la
150     2,      XI|      arrêta, suffoqué, ne trouvant plus les mots. Tout son corps
151     2,      XI|          il était là, il ne savait plus que faire ni que dire. Il
152     2,      XI|          avec angoisse, je ne peux plus vivre ainsi, il me faut
153     2,      XI|            rien pu lui demander de plus maladroit ni de plus stupide :
154     2,      XI|            de plus maladroit ni de plus stupide : il le sentait.~ ~ ~–
155     2,      XI|          cédait à une appréciation plus saine et plus modérée. A
156     2,      XI|         appréciation plus saine et plus modérée. A quoi bon se désoler
157     2,      XI|           tacite, ils ne parlèrent plus du passé ; et M. Triphon
158     2,      XI|            qu’elle ne s’y trouvait plus. Nouveau silence. Les bobines
159     2,      XI|            sort ; un recul n’était plus possible.~ ~ ~ ~Les jeunes
160     2,      XI|           mère, qui avait prêté la plus vive attention à sa réponse,
161     2,      XI|            le frère ! Il n’y avait plus du tout pensé. Il se sentit
162     2,      XI|          sa gorge. Il n’en pouvait plus. Sidonie avait baissé la
163     2,      XI|            ce qui l’intéressait le plus. Maurice continuait à garder
164     2,      XI|           de neige, et Miel, l’air plus bête que nature avec ses
165     2,     XII|      petites sœurs alors n’osaient plus lever la tête et s’absorbaient,
166     2,     XII|            la situation présente ; plus tard elle se dénouerait
167     2,     XII|           occuperait de Sidonie et plus tard de l’enfant. Savoir
168     2,     XII|             Le père et Maurice non plus ne voyaient pas d’inconvénients
169     2,     XII|           et il n’en demandait pas plus. On lui laissait simplement
170     2,     XII|          toujours acceptés avec le plus vif empressement. Après
171     2,     XII|      consolation : il serait riche plus tard et toujours à même
172     2,     XII|            auraient été infiniment plus graves. Cette idée était
173     2,     XII|         que M. Triphon vînt un peu plus fréquemment les voir, à
174     2,    XIII|            maisonnettes semblaient plus petites et prenaient des
175     2,    XIII|       quelque soir. Avec les jours plus longs, le danger grandissait.
176     2,     XIV|         peu d’huile. Il n’en avait plus et il lui fallait absolument
177     2,     XIV|          conversation tournait aux plus sombres pronostics, comme
178     2,     XIV|          soir-là. Il ne se sentait plus en sécurité. Ses adieux
179     2,     XIV|     oppressé, comme s’il ne devait plus la revoir.~ ~ ~ ~Il neigeait
180     2,      XV|       Triphon devenait chaque jour plus méfiant. Il avait l’impression
181     2,      XV|           Au moment où il entrait, plus un mot ; ou bien, ce qu’
182     2,      XV|         atmosphère encore beaucoup plus pesante qu’elle n’était
183     2,      XV|            on ne la voyait presque plus. Dès que son ouvrage était
184     2,     XVI|       éclata, et, bien qu’attendu, plus brusquement et avec plus
185     2,     XVI|           plus brusquement et avec plus de violence que M. Triphon
186     2,     XVI|          son père ne lui adressait plus la parole, ne s’occupait
187     2,     XVI|          Ou bien vous ne remettrez plus les pieds à la maison !~ ~ ~–
188     2,     XVI|        dément ; il ne se possédait plus ; sa femme ne cessait de
189     2,     XVI|               rugit-il. « Je n’ose plus me montrer dans la rue !
190     2,     XVI|       point d’avoir à choisir sans plus feindre ni tergiverser ;
191     2,     XVI|         obstacles et il n’en avait plus la force. Il ne sentait
192     2,     XVI|            la force. Il ne sentait plus que sa faiblesse : son infinie,
193     2,     XVI|         désolation, il ne trouvait plus d’autres mots : « C’est
194     2,    XVII|           où il allait. Il n’avait plus confiance en personne ;
195     2,    XVII|          ébruité.~ ~ ~ ~Il n’avait plus revu Sidonie. Il n’osait
196     2,    XVII|           circonstances devinssent plus favorables. Il lui disait
197     2,    XVII|        comme il était désolé de ne plus aller chez elle, de ne plus
198     2,    XVII|        plus aller chez elle, de ne plus avoir de ses nouvelles ;
199     2,    XVII|            de vagues allusions, le plus souvent d’un simple regard
200     2,    XVII|            sérieux et ils n’eurent plus d’attention que pour leur
201     2,    XVII|           avec véhémence et ne dit plus rien. Il se hâta vers la
202     2,    XVII|       fabrique, comme s’il n’avait plus une minute à perdre ; et
203     2,   XVIII|       alouettes, invisibles ou pas plus grosses en apparence que
204     2,   XVIII|         monsieur Triphon, c’est le plus grand désir de Sidonie que
205     2,   XVIII|     Sidonie que vous venez voir le plus vite possible votre joli
206     2,   XVIII|           en réalité il n’existait plus pour elle ; cette pensée
207     2,   XVIII|         cette idée intolérable. Ne plus songer à tout cela. C’était
208     2,   XVIII|        avenir ? Rien. Il n’y avait plus d’avenir pour lui. Plus
209     2,   XVIII|            plus d’avenir pour lui. Plus d’illusion, d’idéal, d’espoir :
210     2,   XVIII|      illusion, d’idéal, d’espoir : plus rien que la monotonie rampante
211     2,   XVIII|        était là son seul recours ? Plus que ça, Sidonie et rien
212     2,   XVIII|          avec son père, il n’avait plus essayé de revoir Sidonie,
213     2,   XVIII|    agitation sourde faisait battre plus rapidement son cœur. Déjà
214     2,   XVIII|           Triphon ne s’attarda pas plus que d’habitude : il observa
215     2,   XVIII|            seconde de raisonnement plus calme le retint. Il étouffa
216     2,   XVIII|            inutilité d’une attente plus longue et, la mine renfrognée,
217     2,     XIX|           apparente. Il était même plus communicatif que de coutume ;
218     2,     XIX|              D’abord il n’alla pas plus loin. Il avait ramassé une
219     2,     XIX|          pattes, et refusa d’aller plus loin.~ ~ ~« Kaboul !… Nom
220     2,     XIX|           bientôt il n’en pourrait plus. Des ailes pour aller plus
221     2,     XIX|         plus. Des ailes pour aller plus vite, pour atteindre, frémissant
222     2,     XIX|           il rêvait ? Il ne savait plus comment se tenir, de quel
223     2,     XIX|       inconcevable. Remué jusqu’au plus profond de son être, il
224     2,     XIX|       ouvrir et deux menottes, pas plus grosses que des noix, semblaient
225     2,     XIX|           Il lui fallait partir au plus vite ; on le chercherait
226     2,     XIX|        Sidonie ; il reviendrait au plus vite, c’était promis, et
227     2,     XIX|      action d’éclat ? Il ne savait plus que répondre et restait
228     2,     XIX|          croyais que vous n’alliez plus revenir, dit Sefietje en
229     2,     XIX|        ranger sa vaisselle, ne dit plus rien. M. Triphon la regarda
230     2,     XIX|               M. Triphon ne savait plus trop que faire. Il était
231     2,     XIX|        ronfler, avec un ronflement plus fort de temps en temps,
232     2,     XIX|            tout était fini, jamais plus il ne remettrait les pieds
233     2,     XIX|          dit-elle enfin. Tu ne vas plus penser à cette malheureuse
234     2,     XIX|    terrifiée.~ ~ ~ ~Et, d’une voix plus douce, mais que le désespoir
235     2,      XX|           la chose que trois jours plus tard. Comment, et par qui,
236     2,      XX|      enfant devait naître, rien de plus naturel qu’il vînt au monde.
237     2,      XX|           il lui parlait désormais plus librement de l’histoire.
238     2,      XX|          maintenant, qu’il n’était plus capable de la quitter. Il
239     2,      XX|          en lui-même n’intéressait plus autant M. Triphon. Il était
240     2,     XXI|            lui et l’intéressait au plus haut point.~ ~ ~ ~Accroupis
241     2,     XXI|           proie aux sentiments les plus contradictoires, et volontiers
242     2,     XXI|           porte et tu ne remettras plus les pieds ici !~ ~ ~– Mais
243     2,     XXI|           Pierken, en apparence le plus calme de tous, lui cria
244     2,    XXII|      auprès de Sidonie, il n’avait plus revu ses camarades d’estaminet,
245     2,    XXII|        sans rien dire, de l’air le plus étonné.~ ~ ~– Quoi ! Tu
246     2,    XXII|          fond de l’âme, mille fois plus que l’avanie subie auprès
247     2,    XXII|            alors il ne se gênerait plus. Peu importait, dès lors,
248     2,    XXII|          parents.~ ~ ~ ~Il n’avait plus que Sidonie ; maintenant
249     2,    XXII|            au café, où il n’allait plus jamais. Il y fit venir vin,
250     2,    XXII|            cela coûtait gros, bien plus qu’il ne lui était alloué
251     2,    XXII|       par-là, qui seraient réglées plus tard, intérêts compris.~ ~ ~ ~
252     2,    XXII|        étaient ainsi et n’allaient plus autrement. Advienne que
253     2,    XXII| contentaient aussi et ne parlaient plus de rien. Seule, la mère
254     3,       I|       autres aussi étaient devenus plus silencieux et renfermés.~ ~ ~ ~
255     3,       I|         analogue. On n’y entendait plus que rarement leurs voix
256     3,       I|         conversations se faisaient plus animées et il arrivait même
257     3,       I|        union et la coopération. De plus en plus il était devenu
258     3,       I|            coopération. De plus en plus il était devenu un travailleur
259     3,       I|       temps aujourdhui de traiter plus longuement ce sujet d’ordre
260     3,      II|          jour, Pierken ne songeait plus à autre chose. Il y avait
261     3,      II|           heures, et ils n’avaient plus d’autre conversation.~ ~ ~ ~
262     3,      II|    meilleure qualité et des verres plus grands. Pour le reste, je
263     3,      II|          vous désirez, vous n’avez plus besoin de moi. Adieu. Arrangez-vous
264     3,      II|             On ne le reconnaissait plus ! Son regard avait quelque
265     3,     III|           ils n’auraient peut-être plus le temps. Pierken, toutefois,
266     3,     III|        disant que le cerveau était plus lucide avant le repas et,
267     3,     III|       êtres humains, monsieur, non plus des bêtes de somme. Oui,
268     3,     III|          fou.~ ~ ~ ~Et, ne sachant plus ce qu’il faisait, il alla
269     3,     III|        stupéfaits, ne comprenaient plus. Ils se regardaient entre
270     3,     III|          camarades. « Nous n’avons plus rien à faire ici. Allons
271     3,      IV|        exigeaient.~ ~ ~ ~Jusqu’aux plus serviles d’entre eux, ils
272     3,      IV|      moqués, était maintenant leur plus ferme soutien, leur guide
273     3,      IV|           qu’à obéir à ses ordres. Plus personne – les femmes pas
274     3,      IV|          personne – les femmes pas plus que les hommes – ne craignait
275     3,      IV|            Il trouvait cela mieux, plus digne, plus fort ; il fallait
276     3,      IV|            cela mieux, plus digne, plus fort ; il fallait y mettre
277     3,      IV|           tous les autres, du coup plus agressifs et plus intolérants
278     3,      IV|          du coup plus agressifs et plus intolérants que leur chef,
279     3,      IV|          Attachée aux de Beule par plus de quarante années de servage,
280     3,      IV|        famille comme les siens. De plus elle possédait un instinct
281     3,      IV|            sur la rue, vit avec la plus grande stupéfaction passer
282     3,      IV|          les autres dimanches ; en plus de sa patte folle, il titubait
283     3,      IV|     pommettes osseuses. Eleken non plus n’y comprenait rien.~ ~ ~ ~
284     3,      IV| risqua-t-elle avec prudence.~ ~ ~– Plus souvent ! trancha Sefietje,
285     3,      IV|           toujours Berzeel, encore plus saoul, mais non plus accompagné
286     3,      IV|        encore plus saoul, mais non plus accompagné du seul petit
287     3,      IV|         quelques instants, n’avait plus rien à faire, jeta un fichu
288     3,      IV|     apporter ; il était maintenant plus de huit heures. Rien d’étonnant
289     3,      IV|           l’ordre d’être rentré au plus tard à neuf heures et demie.
290     3,      IV|             n’avait donc pas paru, plus aucun doute ; et il n’était
291     3,      IV|              Elle n’hésita pas non plus à donner toute une botte
292     3,       V|      chaudières sous pression. Pas plus de Bruun que de « Poulet
293     3,       V|       tombe. Sefietje n’osait même plus y aller voir ; on eût dit
294     3,       V|            voyous ?… hurla-t-il du plus loin qu’il vit sa femme.~ ~ ~ ~
295     3,       V|     mendiants ! rugit M. de Beule. Plus un seul d’entre eux ne remettra
296     3,       V|      question partit surexciter au plus haut point M. de Beule.~ ~ ~–
297     3,       V|      paroxysme de la fureur.~ ~ ~– Plus de femmesnom de nom !
298     3,       V|           nom de nom ! tonna-t-il. Plus de ces roulures ici !~ ~ ~ ~
299     3,       V|         étudiaient avec le soin le plus minutieux, comme s’ils ne
300     3,       V|          Beule.~ ~ ~– Je n’en veux plus, sacré tonnerre de nom…
301     3,       V|        tonnerre de nom… je ne veux plus personne ! hurla M. de Beule
302     3,       V|          eux ou de moi, tiendra le plus longtemps !~ ~ ~ ~Il se
303     3,      VI|     Triphon, qui à présent n’avait plus rien du tout à faire, déambulait
304     3,      VI|            donc ton ouvrage un peu plus tranquillement, nom d’un
305     3,      VI|         Beule.~ ~ ~ ~Eleken ne dit plus rien et partit dans un envol
306     3,      VI|      partit dans un envol de jupes plus sourd, mais, pendant tout
307     3,      VI|            marchait à son côté, le plus souvent la seule femme dans
308     3,      VI|        veau, suivaient, tous l’air plus ou moins perdu et ahuri ;
309     3,      VI|            depuis qu’on n’y voyait plus fumer la haute cheminée
310     3,      VI|           fabrique, et n’entendait plus le tonnerre incessant des
311     3,      VI|    fabrique ne marche pas, moi non plus je n’ai pas grandchose
312     3,      VI|            m’sieu, il ne le ferait plus, affirma Justin.~ ~ ~ ~Et
313     3,      VI|          Non… non… il ne le ferait plus.~ ~ ~– Si vous leur accordiez
314     3,     VII|            vendre leurs droits les plus sacrés, leur dignité d’hommes
315     3,     VII|     Puis-je ? demanda Justin, sans plus de précision.~ ~ ~– Quoi ?
316     3,    VIII|          Froid » ne se considérait plus comme étant en grève.~ ~ ~ ~
317     3,    VIII|                   Rien ne clochera plus ; il a eu une rude leçon ;
318     3,      IX|            à écouter et n’entendit plus rien. Mais l’inquiétude
319     3,      IX|        donc qu’ils ne sont pas les plus forts, les petits bonshommes !~ ~ ~–
320     3,      IX|          pas à revenir… Je ne veux plus la voir à la fabrique !
321     3,      IX|           que M. Triphon n’existât plus pour lui, il ne trouvait
322     3,      IX|           occasion, il n’en serait plus de même, soyez sûr.~ ~ ~ ~
323     3,      IX|           Les hommes semblaient de plus en plus absorbés dans leur
324     3,      IX|       hommes semblaient de plus en plus absorbés dans leur travail
325     3,      IX|      Est-ce que Pierken ne revient plus ?~ ~ ~– Mais si, mais si,
326     3,      IX|           la « fosse aux femmes », plus rien qui les empêchât de
327     3,      IX|            grands dieux que jamais plus pareille chose n’arriverait
328     3,       X|        uuuuiiii… » qu’on n’avait plus entendu depuis des semaines.
329     3,       X|          feignant l’indignation la plus profonde. Rien qu’un bol
330     3,       X|           entra, régnait encore la plus vive effervescence. Aussitôt
331     3,       X|         Les ouvriers ne chantaient plus, ne parlaient plus, accomplissaient
332     3,       X|      chantaient plus, ne parlaient plus, accomplissaient leur besogne
333     3,       X|         mieux, à l’avenir, n’avoir plus rien de commun avec elles.~ ~ ~ ~
334     3,       X|         leur rancune. Il n’y avait plus que quelques rares curieux
335     3,      XI|        bonjour aux camarades, sans plus ; puis, de toute la journée,
336     3,      XI|               Les autres ne dirent plus rien, renfermés dans leur
337     3,      XI|        pour troquer ses droits les plus sacrés contre un verre d’
338     3,      XI|          colères, pour les chasser plus vite. Frémissantes de peur,
339     3,     XII|            de jadis, il ne restait plus rien. Il ne riait plus,
340     3,     XII|     restait plus rien. Il ne riait plus, ne criait plus, n’effarouchait
341     3,     XII|           ne riait plus, ne criait plus, n’effarouchait plus les
342     3,     XII|        criait plus, n’effarouchait plus les ouvrières, et jamais
343     3,     XII|           les ouvrières, et jamais plus on n’entendait son obsédant
344     3,    XIII|                Bah !… nous n’avons plus rien à faire ici, opina
345     3,     XIV|         dimanche, ils paraissaient plus hâves, plus minables que
346     3,     XIV|           paraissaient plus hâves, plus minables que dans leur tenue
347     3,     XIV|           en entier. Il ne restait plus qu’un tout petit coin qui
348     3,      XV|            son égard, il n’y avait plus chez eux aucune animosité.
349     3,      XV|           leurs yeux et ne faisait plus partie de leur entourage.
350     3,      XV|     regrettaient son départ.~ ~ ~– Plus tard, vous ferez tous comme
351     3,      XV|     appartenir à une autre sphère, plus élevée. Les camarades sentirent
352     3,      XV|           et le crépuscule tendit, plus tôt que de coutume, des
353     3,      XV|         ouvriers ne s’inquiétaient plus du tout de ce qu’il leur
354     3,      XV|                   La pluie tombait plus drue, en lourdes nappes.
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