Chap.

 1     II|  atteindrait-il son but, la mer étant plus calme au delà. Il essaya
 2    III|  dernier, sur le golfe Hauraki, étant peu profond, il a fallu
 3    III|      goût des choses sérieuses, étant d’un caractère observateur,
 4    III|         camarades, – les hommes étant allés vider un dernier verre
 5    III|        il eût pu les rejoindre, étant même admis qu’il fût possible
 6     IV|    literie complète, les cadres étant bien garnis de matelas,
 7     IV|       songer, et, d’ailleurs, n’étant point initiés aux choses
 8      V|      cette attitude de Jacques. Étant son aîné de plus de quatre
 9      V|        au pied du cap. Le temps étant clair, le ciel entièrement
10      V|        en différait absolument, étant composé de roches granitiques,
11     IX|         carte l’indiquait comme étant aride et sablonneuse, tandis
12     IX|         inquiettrois jours s’étant écoulés depuis le départ
13      X|         neuf heures, la marée s’étant fait sentir, un sourd craquement
14     XI|    échappaient.~ ~ ~ ~Briant, s’étant dirigé de ce côté, fut aussitôt
15    XII|     juin, après le souper, tous étant réunis dans le hall autour
16   XIII|        En attendant, le nandû n’étant point un carnassier, Service
17   XIII|        Puis quatre des grands s’étant attelés par des cordes à
18   XIII|        température supportable, étant donné le calme de l’air.~ ~ ~ ~
19   XIII|       La fondrière de Bog-woods étant glacée, il n’y eut point
20    XIV|  possibilité d’entrevoir.~ ~ ~ ~Étant donnée sa configuration,
21    XIV|        Sloughi-bay, le littoral étant échancré, il conviendrait
22    XIV|        essai de domestication n’étant point pour encourager.~ ~ ~ ~
23    XIV|    French-den.~ ~ ~ ~Les choses étant ainsi convenues, dès le
24    XIV|       autre.~ ~ ~ ~Le terrain n’étant plus marécageux, Gordon
25     XV|              Service et Webb, s’étant chargés des deux jeunes
26    XVI|         à Sloughi-bay. Le temps étant très beau, Gordon décida
27   XVII|    serait encore trop, Gordon ! Étant si nombreux, ils ne pourraient
28   XVII|         disparaître.~ ~ ~ ~Moko étant à l’arrière, Briant au milieu,
29   XVII|   pleine mer, la surface du lac étant circonscrite par une ligne
30   XVII|      Vers dix heures, le flot s’étant fait sentir, Briant, Jacques
31   XVII| entraîna rapidement. La lune, s’étant levée un peu après le coucher
32  XVIII|     belle ». Or, les deux camps étant arrivés chacun à cinq points,
33  XVIII|    indifférent. Quant à Briant, étant Français d’origine, il ne
34    XIX|      convenable, le Family-lake étant encombré de glaçons aux
35   XXII|         constitution robuste, n’étant d’ailleurs âgée que de quarante
36   XXII|       un certain temps. Le vent étant debout alors, il fut nécessaire
37   XXIV|   répondit Doniphan.~ ~ ~ ~Tout étant ainsi convenu, il n’y eut
38   XXIV|     minutes.~ ~ ~ ~L’expérience étant réalisée, on se relaya aux
39   XXIV|     étaient favorables, le vent étant régulier, ni trop faible
40    XXV|          et la convalescence, s’étant franchement manifestée,
41 XXVIII|  apprendre que, ses agissements étant découverts, il ne pourrait
42   XXIX|   cicatrisée, et, l’appétit lui étant revenu, il ne devait prendre
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