Chap.

  1     IV|             Jusqu’à Pékin, comme ce major russe qui a pris place auprès
  2     IV|             Vous dites que c’est un major, monsieur Ephrinell ?~ ~ ~–
  3     IV|           russe, et on l’appelle le major Noltitz. »~ ~ ~Décidément,
  4     IV|           capitaine, avec lequel le major Noltitz s’entretient tranquillement.
  5     IV|      indemnes, le jeune Chinois, le major Noltitz, Fulk Ephrinell,
  6      V|          ailleurs, je compte sur le major Noltitz, qui est au courant
  7      V|              anglaise.~ ~ ~ ~ 3 – Major Noltitz, russe.~ ~ ~ ~
  8      V|           de l’autre. Le numéro 3 – major Noltitz – s’installe en
  9     VI|        quatre Russes, j’aperçois le major Noltitz. Il s’entretient
 10     VI|            deux Chinois, ni pour le major Noltitz, ni pour les époux
 11     VI|         wagon, je me croise avec le major Noltitz. Je me range par
 12     VI|             ai un vif regret que le major Noltitz n’ait pas la pensée
 13     VI|           de sifflet au passage, le major m’eût dit si telle ou telle
 14     VI|            la Chine. Et d’abord, le major Noltitz ?…~ ~« Le major,
 15     VI|             major Noltitz ?…~ ~« Le major, me répond Popof, a longtemps
 16     VI|          soi.~ ~ ~– Il me plaît, ce major Noltitz, ai-je répondu,
 17    VII|        dirai même pour cicérone, le major Noltitz.~ ~ ~ ~Notre connaissance
 18    VII|           faite très simplement. Le major est venu à moi, et je suis
 19    VII|             Siècle, et vous êtes le major Noltitz de l’armée russe.
 20    VII|      connaissez la mienne… »~ ~ ~Le major fit un signe d’assentiment.~ ~ ~«
 21    VII|         assentiment.~ ~ ~« Eh bien, major Noltitz, au lieu de demeurer
 22    VII|             Bombarnac, me répond le major en français et sans aucun
 23    VII|          vous avez lu Sainte-Beuve, major Noltitz, et peut-être ce
 24    VII|        votre disposition, répond le major, et je serai heureux d’avoir
 25    VII|                   Je vous remercie, major Noltitz. Je n’attendais
 26    VII|       Français…~ ~ ~– Et, répond le major, si vous voulez bien me
 27    VII|               m’écriai-je. Je vois, major, que j’ai affaire à un Parisien…~ ~ ~–
 28    VII|           voici ce que m’apprend le major Noltitz.~ ~ ~ ~C’est vers
 29    VII|          extraordinaire travail, le major Noltitz a soin de me rappeler
 30    VII|             Anglais, demandai-je au major Noltitz, de quel œil ont-ils
 31    VII|           va sans dire, réplique le major. Songez donc, les railways
 32    VII|         train ?~ ~ ~– Parfaitement, major Noltitz. C’est sir Francis
 33    VII|             ce que nous faisons, le major et moi.~ ~ ~ ~Il va de soi
 34    VII|            et il est convenu que le major abandonnera sa place du
 35    VII|           une demi-heure encore, le major et moi nous continuons à
 36    VII|     conscience tranquille.~ ~ ~ ~Le major Noltitz n’a rien à se reprocher,
 37   VIII|         après ce que m’a raconté le major Noltitz, elle garde encore
 38   VIII|            cela que par les yeux du major.~ ~ ~ ~Le train repart à
 39   VIII|      visiter Douchak, accompagné du major Noltitz, qui me sert encore
 40   VIII|          sir Francis Trevellyan. Le major me fait observer que la
 41   VIII|       trafic ! »~ ~ ~En causant, le major et moi nous parcourons Douchak.
 42   VIII|             conduit à interroger le major sur le degré de sécurité
 43   VIII|                 Cela est rassurant, major Noltitz. Et pour la partie
 44   VIII|          est autre chose, répond le major. À la surface du plateau
 45   VIII|         aurons des Célestes ?… Eh ! major, voilà qui me paraît inquiétant,
 46   VIII|          jaune !~ ~ ~– Je le crois, major, puisqu’elle doit un jour
 47   VIII|         réserve l’avenir, répond le major Noltitz en souriant. Pour
 48   VIII|         train ?~ ~ ~– Parfaitement, major, et c’est ce qui me rassure…~ ~ ~–
 49   VIII|            Pourquoi non ? répond le major Noltitz. C’eût été très
 50   VIII|            coûter cher…~ ~ ~– Bah ! major, le XXe Siècle n’est-il
 51   VIII|                 Mais non du voyage, major. »~ ~ ~Nous revenons alors
 52   VIII|            mystérieux, et, comme le major m’a quitté, je m’adresse
 53     IX|            Je me retrouve auprès du major Noltitz, qui observe avec
 54     IX|                Qui donc ? répond le major.~ ~ ~– Ce chef de pirates…
 55     IX|          recommande !~ ~ ~– Voyons, major, convenez que ce serait
 56      X|             Genghiz-Khan ?~ ~ ~ ~Le major Noltitz me cite à ce propos
 57      X|   Transcaspienne.~ ~ ~ ~J’ai dit au major Noltitz :~ ~ ~« Si ce n’
 58      X|       prévenir, me fait observer le major, c’est la nouvelle ville
 59      X|           tout entier, me répond le major, en confirmant le fait.
 60      X|                 Je propose alors au major Noltitz, – il était six
 61      X|            Consolez-vous, me dit le major Noltitz. Votre satisfaction
 62      X|    réservoirs de la ligne.~ ~ ~ ~Le major m’apprend que les ingénieurs
 63     XI|           Voilà ce que m’apprend le major Noltitz, en m’engageant
 64     XI|               Il est convenu que le major prendra avec moi le Decauville ;
 65     XI|       derniers coups de sifflet. Le major et moi, nous occupons un
 66     XI|            Dervaze est franchie, le major me quitte, et me voici errant
 67     XI|             et demie, accompagné du major Noltitz, que j’avais retrouvé
 68     XI|           voisines de celles que le major et moi nous occupons depuis
 69     XI|            après ce que nous dit le major Noltitz, que ces maintuys,
 70     XI|            à l’Afrique ? demanda le major Noltitz – Mais par la Russie,
 71     XI|              Gibraltar ? reprend le major.~ ~ ~– On passera dessous,
 72     XI|            fut guère compris que du major Noltitz, et j’entends M.
 73     XI|             sagement agi, ajoute le major. Avec les Anglais, c’était
 74     XI|           fort embarrassé.~ ~ ~ ~Le major Noltitz reprend alors la
 75     XI|      politique, dit en finissant le major, fait notre supériorité
 76     XI|           et qui n’échappa point au major.~ ~ ~ ~Interrogé sur la
 77     XI|          bien ce que m’avait dit le major Noltitz. Je fus alors amené
 78    XII|            je ne serai pas seul. Le major Noltitz est libre, il m’
 79    XII|       monsieur Caterna.~ ~ ~– Si le major Noltitz et vous étiez assez
 80    XII|          plus agréable, » répond le major en s’inclinant devant l’
 81    XII|         ville.~ ~ ~ ~En passant, le major nous montre la forteresse
 82    XII|      monsieur Bombarnac, demande le major, n’admirez-vous pas cette
 83    XII|             Tamerlan, je demande au major Noltitz si nous n’irons
 84    XII|           de ce célèbre Tartare. Le major me répond que nous le verrons
 85    XII|        recouru à la complaisance du major, qui voulut bien servir
 86    XII|            Ce Tamerlan, répondit le major Noltitz, fut l’un des plus
 87   XIII|         delà – je m’aperçois que le major Noltitz ne cesse d’observer
 88   XIII|          reprendre ma place près du major Noltitz.~ ~ ~ ~Et, avant
 89    XIV|                Aussi, me raconte le major Noltitz, un vieux Turkomène
 90    XIV|      fiancée qui paiera le port… Le major Noltitz, j’en suis certain,
 91    XIV|           les plus sympathiques, le major, M. et Mme Caterna, le jeune
 92    XIV|              Aussi ai-je demandé au major de me fournir quelques renseignements
 93    XIV|          autant mieux, me répond le major, que j’y ai tenu garnison
 94    XIV|           vu par vos yeux, mon cher major. Mes lecteurs ne s’en plaindront
 95    XIV|      Londres sans docks ! répond le major.~ ~ ~– Et Paris sans théâtres !
 96    XIV|         monnaie.~ ~ ~– Je suis sûr, major, que vous allez me parler
 97    XIV|           profit la complaisance du major Noltitz, et, grâce à lui,
 98    XIV|        passerelle, je m’approche du major Noltitz, qui demande au
 99    XIV|                    En aucune façon, major.~ ~ ~– Pourtant ce doit
100    XIV|           parler. »~ ~ ~Pourquoi le major Noltitz a-t-il fait cette
101     XV|      touriste puisse visiter. Si le major Noltitz n’a jamais été au
102     XV|           saluer hors de France. Le major est dès lors très désireux
103     XV|             moi qui parle, c’est le major Noltitz.~ ~ ~ ~Les voyageurs
104     XV|             les Kirghizes.~ ~ ~ ~Le major me cite encore certains
105     XV|           et quel œil ! » dis-je au major, qui ne cesse d’adresser
106     XV|                   En même temps, le major Noltitz et la plupart de
107     XV|             anglo-indous ! »~ ~ ~Le major Noltitz est frappé comme
108     XV|       défunt ?… Je le vois bien, le major trouve cette façon d’agir
109     XV|            la solidité possible. Le major Noltitz et moi, nous observâmes
110    XVI|      arrivée du train à Kachgar, le major Noltitz m’avait dit ceci :~ ~ ~«
111    XVI|                    L’observation du major est très juste. Ce n’est
112    XVI|          menée, nous a conduits, le major et moi, à Kachgar, dont
113    XVI|            d’après ce que me dit le major, que sir Francis Trevellyan
114    XVI|           que Chapman et Gordon, le major Noltitz et moi n’avons pu
115    XVI|    justifiée, nous fait observer le major.~ ~ ~ ~En effet, M. et Mme
116    XVI|        effet, M. et Mme Caterna, le major, le jeune Pan-Chao et moi,
117    XVI|            Lorsque c’est le tour du major Noltitz, cela donne lieu
118    XVI|          une certaine attention. Le major Noltitz et moi, nous l’observons.
119    XVI|             pirate Ki-Tsang ! Et le major Noltitz qui passait son
120    XVI|             les épaules, lorsque le major me murmure à voix basse :~ ~ ~«
121    XVI|             offices ! »~ ~ ~Voyons, major, soyons sérieux !~ ~ ~ ~
122    XVI|            préoccuper davantage, le major Noltitz et moi, nous gagnons
123    XVI|            regagner notre wagon, le major Noltitz me prie de le suivre
124    XVI|                   Allons, dis-je au major, c’était décidément un grand
125    XVI|           Ou défensive », répond le major.~ ~ ~ ~Le seigneur Faruskiar
126   XVII|       comment occuper mon temps. Le major Noltitz n’a jamais visité
127   XVII|        villes conjointes, dis-je au major Noltitz. Cela, je le tiens
128   XVII|            cette fois, me répond le major, ce ne sont pas les Russes
129  XVIII|             ma mésaventure, même au major. Est-ce croyable ? à Paris,
130  XVIII|             paru suspect, me dit le major Noltitz, et c’est pour cela
131  XVIII|              Et j’ajoute, reprit le major, que le gouvernement chinois
132  XVIII|          Gobi…~ ~ ~– D’autant plus, major, que, d’après ce que vous
133  XVIII|                  Pensez-vous que le major Noltitz accepterait ?…~ ~–
134  XVIII|             Je m’adresse d’abord au major Noltitz, qui accepte volontiers
135  XVIII|          ils ne s’étonnent de rien, major. »~ ~ ~Même proposition
136    XIX|              je suis rejoint par le major Noltitz. Lorsqu’il m’eut
137    XIX|            En effet, répondis-je au major, je n’ai pas encore vu cette
138    XIX|      remplir notre mandat.~ ~ ~ ~Le major Noltitz et Pan-Chao ont
139    XIX|           par cette solennité, – le major, grave comme un chirurgien
140    XIX|             trompent pas, me dit le major Noltitz, il doit y avoir
141    XIX|         hors du train ! » me dit le major.~ ~ ~ ~
142     XX|   interrogeons Popof, tandis que le major Noltitz ne cesse d’observer
143     XX|      inexprimable. En ce moment, le major me dit à voix basse :~ ~ ~«
144     XX|             ne croirai jamais cela, major !~ ~ ~– Comme vous voudrez,
145     XX|             millions…~ ~ ~– Allons, major, ce n’est pas l’heure de
146     XX|      emportées en cas d’attaque. Le major Noltitz, M. Caterna, Pan-Chao,
147     XX|          seigneur Faruskiar, que le major Noltitz soupçonne si injustement ?…
148     XX|          voix et du geste…~ ~ ~ ~Le major Noltitz et moi, nous nous
149     XX|          dans son fourgon…~ ~ ~ ~Le major Noltitz, qui se trouve près
150     XX|  malfaiteurs hors de combatVenez, major… »~ ~ ~Mais ce que nous
151    XXI|                  Eh bien, dis-je au major, j’espère que vous êtes
152    XXI|        Diable, il est difficile, le major Noltitz !~ ~ ~ ~Mais allons
153    XXI|          panser elle-même.~ ~ ~ ~Le major a fait transporter les blessés
154    XXI|         réunis pour la discuter, le major Noltitz, Pan-Chao, Fulk
155    XXI|       chronique !~ ~ ~ ~Dire que le major Noltitz s’est illusionné
156   XXII|            Horatia Bluett.~ ~ ~ ~Le major Noltitz et moi, M. Caterna
157   XXII|         conjoints de plus.~ ~ ~ ~Le major Noltitz, Pan-Chao et moi,
158   XXII|           de mistress Ephrinell, le major Noltitz à la droite de Fulk
159   XXII|             Chine ?… m’a demandé le major Noltitz.~ ~ ~– Aux Célestes,
160  XXIII|        attaque de Ki-Tsang. Allons, major Noltitz, allons, Pan-Chao,
161  XXIII|          pour Yokohama ? demande le major Noltitz.~ ~ ~– C’est là
162  XXIII|            retard, fait observer le major. Nous serons en gare de
163   XXIV|      précipite…~ ~ ~ ~Décidément le major Noltitz ne s’était pas trompé
164   XXIV|       arrête enfin…~ ~ ~ ~Popof, le major, M. Caterna, la plupart
165    XXV|      groupés à la tête du train, le major Noltitz, le baron allemand,
166    XXV|      bandits… »~ ~ ~Jusqu’alors, le major Noltitz n’avait point pris
167    XXV|    compagnon Ghangir ? » reprend le major.~ ~ ~ ~Pas de réponse.~ ~ ~«
168    XXV|        dernier wagon ? » demande le major Noltitz.~ ~ ~ ~Aucun d’eux
169    XXV|              Eh bien ! dit alors le major Noltitz, le malfaiteur qui
170    XXV|          accusation formulée par le major Noltitz.~ ~ ~« Comment,
171    XXV|            en scène alors.~ ~ ~« Le major ne se trompe pas, dis-je.
172    XXV|            trompé, me dit à part le major Noltitz.~ ~ ~– Il n’est
173    XXV|         Onze kilomètres, reprend le major, c’est l’affaire d’une heure
174    XXV|            raison, Popof, répond le major Noltitz, et, de plus, soyons
175    XXV|            offrent d’accompagner le major Noltitz. Mais, d’un commun
176   XXVI|             de son fiancé.~ ~ ~ ~Le major Noltitz demeurera dans le
177   XXVI|           nos compliments. Aussi le major Noltitz et moi rejoignons-nous
178   XXVI|                  Et puis, ajoute le major, vous vous êtes marié en
179   XXVI|    ultra-britannique, tandis que le major Noltitz n’a pu retenir un
180  XXVII|                  Là, je retrouve le major Noltitz, M. et Mme Caterna,
181  XXVII|            ce brave garçon ! dit le major Noltitz. Il faut nous rendre
182  XXVII|             mère. Puis Pan-Chao, le major Noltitz, M. Caterna et moi,
183  XXVII|             couramment le russe, le major et moi nous pouvons prendre
184  XXVII|           cette abomination… dit le major Noltitz.~ ~ ~– Il faut l’
185  XXVII| Céleste-Empire !~ ~ ~ ~Numéro 3, le major Noltitz : Il s’occupe des
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