Chap.

 1     II|       pas surpris que ce fût un Américain, – je dirai plus, un Yankee.~ ~ ~ ~
 2     II|        m’arrête. Pourvu que cet Américain, – je parierais qu’il l’
 3     II|         a bit ! »[1] me dit mon Américain.~ ~ ~ ~Je souligne cette
 4     II|          À entendre ce courtier américain, il semble que la raison
 5     II|        prise. Oui… en face de l’Américain s’est installée une voyageuse
 6     II|      Avec ce que m’en a dit mon Américain, j’en fais une rivale du
 7    III|                 Et là-dessus, l’Américain franchit la porte et disparaît.
 8    III|        à bord ? demandai-je à l’Américain.~ ~ ~– Voici la quarante-deuxième
 9    III|         par jour… Voilà qui est américain !~ ~ ~ ~Après tout, la population
10     IV|         remonte par le capot. L’Américain est là, achevant de remettre
11     IV|        germanique ! me répond l’Américain.~ ~ ~– Savez-vous comment
12     IV|    Noltitz. »~ ~ ~Décidément, l’Américain est plus avancé que moi,
13     IV|   souffrir.~ ~ ~« Eh ! me dit l’Américain, voilà cette excellente
14     IV|    garderai bien de confier à l’Américain le secret de la caisse…
15      V|          N° 1 – Fulk Ephrinell, américain.~ ~ ~ ~N° 2 – Miss Horatia
16      V| passerelles, suivant le système américain. Au lieu d’être chambré
17      V|        se verra encore.~ ~ ~ ~L’Américain vient me rejoindre et adresse
18     VI|       Je ne sais si le pratique Américain murmure à l’oreille de la
19     VI|  docteur Tio-King.~ ~ ~« Pour l’Américain… reprend Popof.~ ~ ~– Fulk
20      X|      nous accostons le courtier américain et la courtière anglaise.~ ~ ~«
21    XVI|        la poste. Si un courtier américain et une courtière anglaise
22  XVIII|         lui plaira, me répond l’Américain. Passons aux témoins de
23  XVIII|             Il faut un ministre américain, et nous avons le révérend
24  XVIII|       mariage entre Anglaise et Américain, avec des témoins français,
25    XXV|         et Tcharkalyk ?… » ~ ~L’Américain ne savait pas si bien dire.~ ~ ~«
26   XXVI|    monsieur Bombarnac, répond l’Américain, et mes dents l’ont échappé