Chap.

 1      I|  ballonnets, et des vendeurs d’eau, avec leurs récipients de
 2     II|     des bourgades, des cours d’eau, les montagnes qui se profilent
 3      V|     trouvaient à peine assez d’eau pour atterrir. C’est alors
 4      V|       tender avec réservoirs d’eau et de combustible, un fourgon
 5      V|        le temps de refaire son eau et son combustible. Toutefois,
 6     VI|     venir à grands frais cette eau dont les jets rafraîchissants
 7     VI|       fut réduit à distiller l’eau de la Caspienne, comme on
 8     VI|   appareils ad hoc. Mais, si l’eau est nécessaire pour produire
 9     VI|    nécessaire pour vaporiser l’eau. Les lecteurs du XXe Siècle
10    VII|     fournir une seule goutte d’eau. Mais, avant de dire comment
11   VIII|        visibles, Artyk, dont l’eau est abondante, quoique légèrement
12      X|    arrosée par le Mourgab, – l’Eau blanche – ou par ses dérivations,
13      X|        désert, sans un filet d’eau. Aussi vient-on d’y forer
14   XIII| intermédiaires pour faire de l’eau et du combustible, – circonstance
15    XIV|       du Syr-Daria. Ce cours d’eau, qui baigne le pied des
16     XV|     des dépressions remplies d’eau saline, et une labiée naine,
17   XVII|       pont de bois. Ce cours d’eau descend des massifs de l’
18   XVII|             Vu un seul cours d’eau de quelque importance, le
19  XVIII|    pour le renouvellement de l’eau et du combustible. Sur la
20    XIX|      traverse un petit cours d’eau tributaire du Lob-Nor. Pendant
21     XX|       acharnés. Il sue sang et eau, sa fureur l’emporte, au
22   XXII|    peine entourés d’un mètre d’eau. Le pays où le Tarim promène
23   XXII|       là que se renouvellent l’eau et le charbon du tender.
24   XXIV|     arrosé de nombreux cours d’eau, et assez accidenté pour
25    XXV|      de service. Ses caisses à eau sont défoncées, et son chargement