Chap.

 1     II|  compagnon de voyage. J’ai l’idée que ce bonhomme me fournira
 2     II|      Et sur cette réponse, l’idée me vient que Fulk Ephrinell
 3     IV|   tromper leur faim.~ ~ ~ ~L’idée me vient de faire les cent
 4     VI|    de mettre en pratique une idée qu’avait eue notre grand
 5    VII|  exécution.~ ~ ~ ~Tiens, une idée ! Si c’était Zeitung, qui
 6    VII|     j’attends encore. Puis l’idée me vient de mettre à profit
 7    VII| place.~ ~ ~ ~Il me vient une idée que je crois bonne et qui
 8   VIII|  fourgon…~ ~ ~– Si c’est son idée.~ ~ ~– Eh bien, Popof, vous
 9     IX|  Tiens, dis-je en riant de l’idée qui me traverse l’esprit,
10     XI|    je ne saurais ni donner l’idée ni conseiller l’exemple.~ ~ ~ ~
11    XII| lumineuses…~ ~ ~– Excellente idée, Caroline ! Voyons, faites-nous
12    XII|      de la plume, donner une idée de cette merveille. Lorsque
13   XIII|     respiration l’a trahi. L’idée que je l’ai d’abord pris
14   XVII|           J’en reviens à mon idée ; il me faudrait un héros,
15  XVIII| train, et cela peut donner l’idée de l’attaquer !… Or, une
16  XVIII|    une !~ ~ ~« Hein ! quelle idée de vaudeville ou d’opérette !
17    XXI| Tcharkalyk. »~ ~ ~Excellente idée, à laquelle Popof, le mécanicien,
18    XXI|   lancé, je l’avoue, – a une idée… Et quelle idée !… Pourquoi
19    XXI|        a une idée… Et quelle idée !… Pourquoi ne reprendrait-on
20   XXII|       de nature à donner une idée du caractère impitoyable
21   XXIV|       Me voici seul.~ ~ ~ ~L’idée me prend alors de me promener
22   XXVI|    de sortie… J’ai comme une idée que le courtier a  prendre
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