Partie,  Chap.

 1   1,       I|        a découvert une sorte de vieux landau sonnant la ferraille,
 2   1,       I|           Laisse-moi faire, mon vieux Zorn. »~ ~ ~Puis, s’adressant
 3   1,      II|            Mais cette idée, mon vieux camaro, dit Pinchinat, elle
 4   1,      IV|      oublier, mes chers et déjà vieux amis !… J’oublierais plutôt
 5   1,     VII|       Université ou Académie du vieux monde, – à en croire Calistus
 6   1,    VIII|         à Frascolin :~ ~ ~« Mon vieux, tu n’aurais pas la monnaie
 7   1,    VIII|         surintendant, répond le vieux professeur. C’est encore
 8   1,    VIII|    aurait lieu de regretter ces vieux rochers, rugueux comme une
 9   1,       X|     indignation.~ ~ ~– Oui, mon vieux racleur de basse ! répond
10   2,       I|        leurs preuves ?…~ ~« Mon vieux Zorn, dit-il ce jour-là
11   2,       I|   bossués, contournés comme les vieux pommiers de la Normandie
12   2,       I| pommiers de la Normandie ou les vieux oliviers de la Provence.~ ~ ~ ~
13   2,      II|    Berlin… Berlin ! »~ ~ ~Et le vieux missionnaire ne peut retenir
14   2,     III|       une des plus anciennes du vieux continent, eût une origine
15   2,     III|             Baroque ou non, mon vieux Sébastien, répond Pinchinat,
16   2,     III|     frère avec les empereurs du vieux continent. Frascolin pousse
17   2,       V|        s’écrie Pinchinat, et ce vieux ménétrier de Zorn qui comptait
18   2,     VII| désespoir de penser que, de son vieux maître, il ne devait plus
19   2,    VIII|  Sébastien Zorn.~ ~ ~– Oui, mon vieux compagnon de cordes, répond
20   2,    VIII|        aimes, n’est-ce pas, mon vieux violoncelluloïdiste ! Eh
21   2,      IX|         à la main, comme au bon vieux temps. Dans les îles Fidji,
22   2,      IX|        tant que tu voudras, mon vieux Sébastien, répond Pinchinat,
23   2,       X|       Pinchinat. Ça te va-t-il, vieux bougon bougonnant ?… Quelque
24   2,     XIV|   quotidien soit assuré à leurs vieux jours !~ ~ ~ ~Le fragment
25   2,     XIV|     dire.~ ~ ~« Tu as tort, mon vieux Zorn, et deux quintes de