Partie,  Chap.

 1   1,     III|      défendu de cracher dans nos rues…~ ~ ~– Nous n’avons pas
 2   1,     III|   construite. Les avenues et les rues, pourvues de vérandas au-dessus
 3   1,     III|      Excepté le long de quelques rues commerçantes, ces demeures
 4   1,     III|      bazars, ni ce mouvement des rues qui dénote l’existence commerciale.
 5   1,     III|         encore inconnue. Ici des rues animées par le va-et-vient
 6   1,       V|       bâtie, lorsque le plan des rues et des avenues est adopté,
 7   1,      VI|     vider de ses promeneurs, les rues des oisifs qui les parcourent.
 8   1,    VIII|        publique, au balayage des rues, à l’entretien des plantations,
 9   1,     XIV|          Puis, remontant une des rues qui s’amorce au quai où
10   1,     XIV|        de la cité.~ ~ ~ ~Là, les rues sont larges, aussi bien
11   2,      II|    samoane, répandue le long des rues de Pago-Pago, à travers
12   2,      IV|        En quelques instants, les rues de la ville, les toits des
13   2,      IV| éclairage des habitations et des rues, qui a fonctionné toute
14   2,      VI|           Il n’y a plus dans les rues que les escouades de la
15   2,      VI|          les avenues ni dans les rues, si ce n’est les escouades
16   2,    VIII|        amarrage des navires, des rues garnies de trottoirs planchéiés,
17   2,      IX|     Après avoir circulé dans les rues de Tampoo, sans qu’aucune
18   2,      IX|        se fait entendre dans les rues, et les paillotes sont vides.
19   2,      XI|         les autres à travers les rues avoisinantes.~ ~ ~ ~Quelle
20   2,     XII|         rencontrer même dans les rues. On ne va plus d’une section
21   2,    XIII|     Serpentine, à la surface des rues excentriques de la ville,
22   2,     XIV|    avenues de Milliard-City, les rues de ses quartiers commerçants,