Partie,  Chap.

 1   1,       I|        œuvre plus pénétrante des Mozart, des Haydn, des Beethoven,
 2   1,       I|     interprétaient les œuvres de Mozart, de Beethoven, de Mendelsohn,
 3   1,      VI|        Beethoven, des Haydn, des Mozart, en homme qui les connaît
 4   1,      VI|           Et du Mendelsohn ou du Mozart pour les tempéraments sanguins,
 5   1,     VII|         en la majeur : Op. 10 de Mozart.~ ~ ~ ~Les exécutants font
 6   1,    VIII|        Toujours des solutions de Mozart, de Beethoven, d’Haydn,
 7   1,       X|   quatuor en mi bémol, op. 10 de Mozart, le quatrième quatuor en
 8   1,    XIII|             Comprendra-t-elle le Mozart ou le Beethoven ?…~ ~– On
 9   1,     XIV|         en ré mineur : Op. 10 de Mozart ;~ ~Deuxième quatuor en
10   2,     III| Mendelssohn, Beethoven, c’est de Mozart que Sa Majesté parle avec
11   2,     III|      arrivée à Standard-Island ? Mozart !… Mozart !… L’un de vos
12   2,     III|      Standard-Island ? Mozart !… Mozart !… L’un de vos compositeurs
13   2,     III|       dit quelle aisance apporte Mozart en faisant à chaque mot
14   2,     III|          de la beauté plastique… Mozart n’est-il pas le seul qui
15   2,     III|       qui est le drame humain ?… Mozart, ce n’est pas un roi, –
16   2,     III|     porte ce titre : Don Juan de Mozart. Alors il l’ouvre, il en
17   2,     III|         pénétré et le mieux aimé Mozart, l’illustre Gounod : « Ô
18   2,     III|          l’illustre Gounod : « Ô Mozart ! divin Mozart ! qu’il faut
19   2,     III|      Gounod : « Ô Mozart ! divin Mozart ! qu’il faut peu te comprendre
20   2,     III|  admirable fugue en ut mineur de Mozart, si parfaite, si dépourvue
21   2,      VI|          l’applaudir. L’œuvre de Mozart, de Beethoven, d’Haydn,
22   2,     XIV|          fa majeur de l’Op. 9 de Mozart vaut-il à ces virtuoses,