Partie,  Chap.

 1   1,      II|         et, en parfaite langue française, dit d’un ton aimable :~ ~ ~«
 2   1,       V|        en usage dans la marine française.~ ~ ~ ~En effet, en aucun
 3   1,     VII|        hollandaise, allemande, française, que pourraient envier les
 4   1,     VII|        mille francs en monnaie française, et Calistus Munbar se flatte
 5   1,    VIII|        la population d’origine française de notre regrettée Louisiane,
 6   1,       X|        se ressent de l’origine française de ses ancêtres. Sa fortune
 7   1,       X|     parle volontiers la langue française très en usage parmi les
 8   1,      XI|        est bon que l’influence française vienne la contre-balancer
 9   1,    XIII|   grand concours de population française, indigène, étrangère, acclamant
10   1,    XIII|        voir la division navale française, qui doit arriver vers la
11   1,    XIII|     ramenés par une expédition française en 1838. Quatre ans après,
12   1,     XIV| contentèrent de les fumer à la française. Et lorsque le mutoï lui
13   1,     XIV|       La division de l’escadre française du Pacifique vient d’être
14   1,     XIV|      indigènes et de l’escadre française.~ ~ ~ ~Calistus Munbar est
15   1,     XIV|     président de la République française, a-t-on jamais trouvé des
16   2,       I|     reçu avec toute l’urbanité française ? Puis, après le solstice
17   2,       V|  mazurkas et valses de l’école française. Aussi ne se gêne-t-il pas
18   2,      VI|         d’une ancienne famille française des Antilles, américanisée
19   2,    VIII|      merveilles de l’industrie française. Le mariage a été fixé à
20   2,      XI|        un côtre de nationalité française. C’est de ces diverses îles
21   2,      XI|   oublié, résidait une colonie française en voie de prospérité. Or,
22   2,     XII|   Avant son départ, la colonie française et leurs alliés indigènes