Partie,  Chap.

 1   1,      IV|       Une jolie paire de gants, cher monsieur Munbar !~ ~ ~–
 2   1,      VI|   répond Frascolin.~ ~ ~– C’est cher ?…~ ~– Plus que cher… Nous
 3   1,      VI|        est cher ?…~ ~– Plus que cher… Nous en avons pour deux
 4   1,      VI|                Calmez-vous, mon cher Zorn, dit l’Américain. Veuillez
 5   1,      VI|       cela soit impossible, mon cher Frascolin ? s’écrie le surintendant
 6   1,      VI|         Je vous demande pardon, cher monsieur Yvernès, on les
 7   1,     VII|           Comme vous dites, mon cher Frascolin, somme qui provient
 8   1,     VII|        jour-là, infiniment plus cher. Les places sont toutes
 9   1,     VII|          parce que c’était trop cher pour eux.~ ~ ~– Alors leur
10   1,    VIII|           Je sais… je sais… mon cher compatriote. Mais, d’après
11   2,       I|      accomplir leur vœu le plus cher, nous croyons être en droit
12   2,       I|        dit une fois :~ ~ ~« Mon cher enfant, y a-t-il donc ici
13   2,      II|               Si j’y tiens, mon cher Frascolin ! J’en rêve nuit
14   2,      II|        Comme vous le dites, mon cher fils, les Samoa ne sont
15   2,      II|       Allemagne…~ ~ ~– Non, mon cher enfant, répond le supérieur,
16   2,     III|         venue, le Christmas, si cher aux protestants et aux catholiques,
17   2,       V|      sauvages de vos rêves, mon cher Pinchinat !~ ~ ~– Décidément,
18   2,       V|      Pinchinat. Voyez-vous, mon cher Calistus – et même permettez-moi
19   2,       V|  Pinchinat !~ ~ ~– Eh bien, mon cher Eucalistus, on n’a pas raclé
20   2,     VII|    demandé des nouvelles de son cher blessé ?~ ~ ~ ~Enfin tout
21   2,      IX| Pinchinat. Mais un conseil, mon cher Eucalistus ! Quand vous
22   2,      XI|    sauve. Son salut lui a coûté cher, – Cyrus Bikerstaff tué