Partie,  Chap.

 1   1,      XI|   naturel. Puisque l’influence britannique s’étend sur les parages
 2   1,      XI|    mentionné, la prépondérance britannique est acquise sans conteste.
 3   2,       I|  bâtiments sont de nationalité britannique. Du reste, dans ces parages,
 4   2,       I|        ils forment la division britannique de l’Ouest-Pacifique, dont
 5   2,       I|     jamais répondre à un salut britannique, s’il s’en fait, – ce qui
 6   2,      II|    reconnu par le gouvernement britannique, assis sur le trône des
 7   2,      IV|                 IVUltimatum britannique~ ~Pendant cette dernière
 8   2,      IV|       la division de l’escadre britannique qui, cinq semaines auparavant,
 9   2,      IV|  première classe de Sa Majesté Britannique naviguant sous le pavillon
10   2,      IV|    représentants de Sa Majesté Britannique.~ ~ ~ ~Ceci bien établi,
11   2,       V|     trop souvent la protection britannique à ses protégés d’outre-mer.~ ~ ~ ~
12   2,     VII|   cette avant-garde de l’armée britannique ? Aussi les récriminations
13   2,    VIII| capitaine Durham, de la marine britannique, ont permis d’établir les
14   2,    VIII|    sous le couvert du pavillon britannique. Les Milliardais se tiennent
15   2,    VIII|       soumettre au protectorat britannique, c’est qu’en 1859 ils ont
16   2,      IX|        bras… un horrible pépin britannique ! »~ ~ ~
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