Partie,  Chap.

 1   1,       V|          la fois le bonheur et le malheur d’être modernes, – bonheur
 2   1,       V|          communications urbaines, malheur pour le côté artiste et
 3   2,       I|    bonheur pour ces Malais, – par malheur pour Standard-Island, –
 4   2,      IV|         une direction opposée. Le malheur est que la navigation soit
 5   2,      IV|        Cette hypothèse n’est, par malheur, que trop admissible.~ ~ ~ ~
 6   2,    VIII|       besoins de l’existence. Par malheur, les indigènes sont enclins
 7   2,      IX|          un seul matelot ?… Si ce malheur arrive, tout espoir de délivrer
 8   2,      IX|         toute autorité…~ ~ ~« Par malheur, nous ne pouvons rien tenter
 9   2,       X|            Qu’est-il arrivé ?… Un malheur… un décès abord ?… Ce serait
10   2,      XI|         se reproduisent plus. Par malheur, la race kanaque tend à
11   2,      XI|           empêcher. Le plus grand malheur serait que l’artillerie
12   2,      XI|         qu’on les repoussera… Par malheur, s’ils ne sont pas supérieurs
13   2,     XII| aurait-elle pu prêter à rire. Par malheur, la double manœuvre est
14   2,     XII|                Or, pour comble de malheur, le ciel a été si constamment
15   2,    XIII|  communications interrompues. Par malheur, l’île à hélice a dérivé
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