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Partie, Chap.
1 1, II| Comme vous voudrez, Jean...~ ~– Allons, s’écria Jean, 2 1, II| Jean...~ ~– Allons, s’écria Jean, voilà que tu oublies déjà 3 1, II| tant de douleurs... »~ ~Jean avait prononcé ces mots 4 1, II| Trop petit !... interrompit Jean en insistant sur la dernière 5 1, II| la tête dure ! reprit Jean. Est-ce que chaque jour 6 1, II| Pereire...~ ~– Que veux-tu, Jean ?... C’est terrible pour 7 1, II| Bon... bon !... s’écria Jean, en rougissant un peu. Ce 8 1, II| propos...~ ~– Que veux-tu, Jean ?... Habitude d’ancien sous-off !... 9 1, II| facilement...~ ~– J’en conviens, Jean, et ce n’est pas le colonel 10 1, II| sergent Martial.~ ~« Vois-tu, Jean, reprit-il, Dieu viendrait 11 1, II| foudre et vise au cœur !” »~ ~Jean se rapprocha du vieux soldat, 12 1, II| Il en méritera, répondit Jean en souriant, car c’est un 13 1, II| maintenant, mon ami, dit Jean, l’heure est venue de se 14 1, II| les soupçons.~ ~– Aussi... Jean, pourquoi as-tu voulu venir ?... ~– 15 1, II| Et comment ?... répondit Jean, dont le front s’obscurcit.~ ~– 16 1, II| le départ.~ ~– Bonsoir, Jean !~ ~– Bonne nuit, mon ami, 17 1, II| avec soin, s’assura que Jean tournait la clef et poussait 18 1, II| le panneau. Il entendit Jean, qui, avant de se mettre 19 1, II| le colonel de Kermor, et Jean, dont il a consenti à devenir 20 1, II| avaient voulu se lier avec Jean, qui avaient cherché à lui 21 1, II| bonnet de police, c’est que Jean l’avait obligé à se coiffer 22 1, II| compléter à San-Fernando. De là, Jean était résolu à continuer 23 1, II| s’il prétendait empêcher Jean de s’exposer aux dangers 24 1, II| nous protège, avait dit Jean... Oui !... qu’il nous protège... 25 1, III| La première fois que Jean énonça cette opinion du 26 1, III| état-major du Venezuela.~ ~Jean et le sergent Martial ne 27 1, III| Le sergent Martial et Jean, sur le spardeck, observaient 28 1, III| il s’était adressé à eux, Jean aurait pu être exactement 29 1, III| une extrême précision, et Jean comptait en tirer grand 30 1, III| son livre sous les yeux, Jean suivait d’un regard consciencieux 31 1, III| triple. De la plate-forme, Jean aperçut distinctement la 32 1, III| canne mélangée d’anis. Mais Jean, qui ne paraissait pas avoir 33 1, III| de prendre du repos, et Jean ne s’avisa pas de vouloir 34 1, III| mieux.~ ~Ces mesures prises, Jean ne fit qu’un somme jusqu’ 35 1, III| la Bouche de l’Enfer, que Jean signala en amont de l’île 36 1, III| importante de la rive gauche. Jean eût été désireux de les 37 1, III| songes-tu ! mon oncle, répondit Jean. S’il n’y avait pas de ces 38 1, III| gommes pharmaceutiques.~ ~Jean avait employé une partie 39 1, III| dangers qu’il avait courus, Jean les retrouverait, sans doute, 40 1, IV| et d’un rose délicat.~ ~Jean et le sergent Martial s’ 41 1, IV| des singes ?... demanda Jean.~ ~– Des singes, non... 42 1, IV| les cas, si les yeux de Jean sont quelquefois humides, 43 1, IV| sergent Martial dit alors à Jean :~ ~« C’est au moins un 44 1, IV| point à le cacher, répondit Jean.~ ~– Je n’aime pas qu’on 45 1, IV| des sottises ! répliqua Jean d’un ton résolu. Si le gouverneur 46 1, IV| cette langue espagnole que Jean parlait couramment :~ ~« 47 1, IV| le gouverneur, répondit Jean, qui se découvrit devant 48 1, IV| le gouverneur, répondit Jean.~ ~– Par l’Orénoque ou par 49 1, IV| aurait fait connaissance avec Jean, il serait bien difficile 50 1, IV| tout porté à interroger Jean sur l’objet de son voyage.~ ~« 51 1, IV| Et pourtant, ce pékin, Jean n’hésita pas à lui répondre :~ ~« 52 1, IV| C’est mon père, répondit Jean, et je suis venu au Venezuela 53 1, V| géographes, le sergent Martial et Jean de Kermor, un certain nombre 54 1, V| savaient maintenant que Jean allait à la recherche de 55 1, V| passage.~ ~Voilà donc pourquoi Jean de Kermor, résolu à retrouver 56 1, V| que le sergent Martial et Jean visitèrent Caïcara, tout 57 1, V| environ, était la première que Jean de Kermor et le sergent 58 1, V| vivement au jeune garçon, Jean ne pourrait que gagner à 59 1, V| au petit port de Caïcara, Jean et lui se démarchant pour 60 1, V| conversation ?... ~– Entre M. Jean de Kermor et le gouverneur, 61 1, V| patience. C’est alors que Jean de Kermor intervint en disant :~ ~« 62 1, V| Miguel tendit alors la main à Jean de Kermor, qui la serra 63 1, V| croire que le choix fait par Jean de Kermor et le sergent 64 1, V| Même entre les mains de Jean de Kermor, son léger fusil 65 1, V| bourrasque, et il fallait que Jean intervînt pour le calmer.~ ~« 66 1, V| dépenser...~ ~– J’en aurai, Jean, mais ce maudit Orénoque, 67 1, VI| pluies, le sergent Martial et Jean de Kermor purent voir d’ 68 1, VI| rive droite, Valdez dit à Jean :~ ~« Voici Capuchino, une 69 1, VI| arrêter, Valdez ?... demanda Jean.~ ~– C’est indispensable, 70 1, VI| aussi de remarquer, – et Jean put le constater de ses 71 1, VI| mon oncle ! » répondit Jean, en montrant une de ces 72 1, VI| couple de ces canards.~ ~Jean de Kermor remercia M. Miguel, 73 1, VI| les poignets... répétait Jean. Il est inutile de te donner 74 1, VI| lorsqu’il s’aperçut que Jean était plongé dans le sommeil, 75 1, VI| aspect qui devait frapper Jean de Kermor et le sergent 76 1, VI| Je te comprends, répondit Jean. Ici, l’Orénoque ressemble 77 1, VI| ressemble à la Loire...~ ~– Oui, Jean, à notre Loire au-dessus 78 1, VI| Dieu t’entende ! » murmura Jean.~ ~Et, tandis qu’il prononçait 79 1, VI| part, le sergent Martial et Jean de l’autre, vinrent en aide, 80 1, VII| pour les deux Français. Jean de Kermor, tout en se tenant 81 1, VII| paraît-il, excellente, dit Jean, qui s’en rapportait là-dessus 82 1, VII| simple question... dit alors Jean de Kermor, en s’adressant 83 1, VII| Tout autant, monsieur Jean, puisqu’on ne recueille 84 1, VII| intéressait directement Jean de Kermor, puisqu’il s’agissait 85 1, VII| sa place près de son ami Jean. Puis, ouvrant un des canastos 86 1, VII| régions peu connues ?... Jean n’ignorait pas que M. Chaffanjon 87 1, VII| amis, le sergent Martial et Jean de Kermor prirent congé 88 1, VII| termes :~ ~« Dis un peu, Jean, est-ce que tu crois à toutes 89 1, VII| arrivons un peu tard, répondit Jean, et il y a quatre mois, 90 1, VII| propres yeux...~ ~– Non, Jean, non !... Tout cela, c’est 91 1, VIII| Varinas, le sergent Martial et Jean de Kermor, comptaient ne 92 1, VIII| passagers de la Gallinetta. Jean de Kermor en fut d’autant 93 1, VIII| tout à fait un inconnu pour Jean, grâce au portrait que M. 94 1, VIII| extrême plaisir à causer avec Jean de Kermor en la langue du 95 1, VIII| Miguel, Felipe et Varinas, Jean crut bien s’apercevoir qu’ 96 1, VIII| que leur intention, reprit Jean, n’était pas de remonter 97 1, VIII| Lorsqu’ils sont partis, dit Jean, avaient-ils un guide... 98 1, VIII| intérieur.~ ~– Et, reprit Jean, sait-on quelle partie du 99 1, VIII| inondations ?... demanda Jean de Kermor.~ ~– Non, répondit 100 1, VIII| mais, sur un signe de Jean, il dut s’abstenir d’exprimer 101 1, VIII| réponse. Il prit les mains de Jean, il l’attira dans ses bras, 102 1, VIII| Oui, monsieur, répondit Jean. Est-ce que vous habitiez 103 1, VIII| lendemain au jour levant.~ ~Jean alla s’étendre sur sa couchette 104 1, VIII| a-t-il, Valdez ?... demanda Jean.~ ~– Je ne sais...~ ~– Est-ce 105 1, VIII| sur la plaine... observa Jean.~ ~– Des chasseurs... mon 106 1, VIII| Varinas.~ ~– Qui sait, dit Jean, en regardant M. Marchal, 107 1, VIII| si les pressentiments de Jean de Kermor ne l’avaient pas 108 1, VIII| vainement le retour ?... Jean de Kermor, – la pensée lui 109 1, VIII| des fauves.~ ~Cependant Jean insista afin qu’on se lançât 110 1, IX| des compatriotes, lui dit Jean de Kermor.~ ~– Un peu jeunes ! » 111 1, IX| l’oncle intérimaire de Jean de Kermor !~ ~Celui-ci dut 112 1, IX| mémoire...~ ~« Monsieur Jean, dit Jacques Helloch, lorsque 113 1, IX| causait d’un bord à l’autre. Jean, interpellé, ne pouvait 114 1, IX| M. Chaffanjon, ainsi que Jean le déclara : un singe, vidé, 115 1, IX| Et il a raison, monsieur Jean... répondit Jacques Helloch ; 116 1, IX| Toutefois il déclara à Jean qu’il entendait ne plus 117 1, X| de llanos.~ ~– Mon cher Jean, dit alors Jacques Helloch, – 118 1, X| reprit donc :~ ~« Mon cher Jean, je pense que nous ne retrouverons 119 1, X| bien avant dans la nuit, si Jean de Kermor ne l’eût détournée 120 1, X| Les Quivas, demanda Jean, ceux qui sont restés sur 121 1, X| les munitions... Mon cher Jean, vous pourrez, cette nuit, 122 1, X| lui, il se promit bien, si Jean dormait au moment où son 123 1, X| matin. Ce serait ensuite à Jean de Kermor et au sergent 124 1, X| causerie.~ ~Il est certain que Jean de Kermor inspirait une 125 1, X| Martial soit ou non l’oncle de Jean de Kermor, reprit Jacques 126 1, X| pouvait être l’oncle de Jean de Kermor, puisque le colonel 127 1, X| est pas le parent, dit-il, Jean ne peut pas davantage être 128 1, X| liens qui l’unissaient à Jean, s’appuyer sur une certitude 129 1, X| campagne entreprise par Jean, à la volonté duquel il 130 1, X| par le but que poursuivait Jean, les offres de services 131 1, X| du rouf de la Maripare.~ ~Jean surgit près du sergent Martial, 132 1, X| Rentrez dans le rouf, Jean, rentrez dans le rouf !... » 133 1, XI| reçut les premiers soins de Jean. Mais il ne suffit pas d’ 134 1, XI| touchés quelle affection Jean de Kermor témoignait au 135 1, XI| cet égard...~ ~– Mon cher Jean, ajouta Jacques Helloch, 136 1, XI| yeux.~ ~– Oui... mon cher Jean... répéta Jacques Helloch, 137 1, XI| Et il serra la main de Jean de Kermor, qui tremblait 138 1, XI| veux-tu, mon oncle... répondit Jean en le calmant. Il ne fallait 139 1, XI| Suivaient Jacques Helloch, Jean de Kermor et le sergent 140 1, XI| Décidément, Jacques Helloch et Jean étaient devenus une paire 141 1, XI| Felipe.~ ~– Pauvre bête ! fit Jean, en considérant l’aluate 142 1, XI| monsieur Helloch !... répondit Jean. Entre un singe et un homme...~ ~– 143 1, XI| déjà si grande, mon cher Jean !... N’est-il pas vrai, 144 1, XI| compagnons, le sergent Martial et Jean, Jacques Helloch et Germain 145 1, XI| est-il pas vrai, mon cher Jean ?~ ~– Je ne me crois pas 146 1, XI| Et lequel ?... demanda Jean.~ ~– On dépose à la lisière 147 1, XI| cas, durant leur séjour, Jean de Kermor et le sergent 148 1, XI| événements de la journée. Jean prenait un vif plaisir au 149 1, XI| vœux il formait pour que Jean obtînt à San-Fernando d’ 150 1, XI| rapport.~ ~Et, au vrai, si Jean de Kermor était obligé de 151 1, XII| le sergent Martial et Jean de Kermor à bord de la Gallinetta, 152 1, XII| Il convient de dire que Jean de Kermor, alors seul à 153 1, XII| la plus vive sympathie à Jean de Kermor. Que celui-ci 154 1, XII| Quelque touché que pût être Jean, quelque reconnaissant qu’ 155 1, XII| séparer serait venu, lorsque Jean quitterait San-Fernando 156 1, XII| la route du retour, oui ! Jean serait très affecté de cette 157 1, XII| Helloch avait pu observer Jean au moment où il parlait 158 1, XII| trop cruel pour ce pauvre Jean, et je veux encore croire 159 1, XII| doute à cet égard... Là... Jean apprendra ce qu’est devenu 160 1, XII| du côté de l’Orénoque que Jean de Kermor va continuer ses 161 1, XII| agenouillé au fond du rouf, Jean avait tout entendu... Il 162 1, XIII| Jacques Helloch et son ami Jean marchaient à côté l’un de 163 1, XIII| notre compatriote, mon cher Jean, demanda Jacques Helloch, 164 1, XIII| C’est probable, mon cher Jean, et leur capitan, qui paraît 165 1, XIII| monsieur Helloch, répondit Jean. Oui... ces gens de courage 166 1, XIII| ajouta-t-il :~ ~« Mais, mon cher Jean, ce sont là des choses auxquelles 167 1, XIII| monsieur Helloch, répondit Jean, dont le visage rougit légèrement.~ ~– 168 1, XIII| vieillirai plus », répondit Jean, qui ne put s’empêcher de 169 1, XIII| que MM. Varinas et Felipe, Jean de Kermor et le sergent 170 1, XIII| était au village, répondit Jean, a vu un Indien sortir de 171 1, XIII| regrettable qu’avant leur départ, Jean, conformément à ce que racontait 172 1, XIII| Helloch fit rapidement entrer Jean dans la Gallinetta, avant 173 1, XIV| bien, ce matin, mon cher Jean ?... lui demanda-t-il en 174 1, XIV| vu bien d’autres ! Mais Jean... le fils de son colonel... 175 1, XIV| ne parvenait pas à sauver Jean, il périrait avec lui !...~ ~ 176 1, XIV| moment de la collision, Jean avait été précipité dans 177 1, XIV| secourir...~ ~Et à l’instant où Jean disparaissait, il avait 178 1, XIV| ce n’était pas celui de Jean...~ ~« Laissez-moi faire... 179 1, XIV| Jacques Helloch de rejoindre Jean, lequel, après être revenu 180 1, XIV| courage ! » répétait-il.~ ~Jean, les yeux fermés, privé 181 1, XIV| Entre ses bras s’abandonnait Jean, qui avait perdu connaissance. 182 1, XIV| Martial arriva au moment où Jean, ouvrant les yeux, adressait 183 1, XIV| bon Martial !... » murmura Jean.~ ~Puis ses yeux se refermèrent, 184 1, XIV| au jeune homme.~ ~Alors, Jean entre ses bras, accompagné 185 1, XV| Le sergent Martial et Jean de Kermor purent se loger 186 1, XV| traces du colonel de Kermor, Jean comptait se remettre en 187 1, XV| sergent Martial portait Jean entre ses bras, MM. Varinas, 188 1, XV| chambres, dans l’une desquelles Jean serait mieux installé que 189 1, XV| grondements de son oncle, Jean, ne se ressentant plus des 190 1, XV| monsieur Helloch, répondit Jean, et quand je le verrai... 191 1, XV| Cependant Jacques Helloch et Jean se revirent dans l’après-midi. 192 1, XV| au sergent Martial et à Jean, s’ils avaient eu la pensée 193 1, XV| peignit sur la figure de Jean, et ses yeux laissèrent 194 1, XV| faire ?... ~– Monsieur, dit Jean, mon père a quitté la France 195 1, XV| à cette époque, répondit Jean, non sans montrer une certaine 196 1, XV| jeune garçon, un mystère que Jean Helloch avait déjà pressenti. 197 1, XV| Mirabal très ému, attira Jean et l’embrassa affectueusement. 198 1, XV| Ne vous désespérez pas... Jean, – cette fois, il ne dit 199 1, XV| il ne dit pas : mon cher Jean ! – reprit Jacques Helloch, 200 1, XV| Je vous le répète... Jean... il ne faut pas renoncer... »~ ~ 201 1, XV| mort aussi... » répondit Jean, tandis que le sergent Martial 202 1, XV| auberge, le sergent Martial et Jean n’en sortirent plus de la 203 1, XV| présentation de M. Miguel, Jean eut une entrevue avec le 204 1, XV| récriminer devant le malheureux Jean, car c’eût été bénévolement 205 1, XV| mieux vaudrait peut-être que Jean eût péri... s’il ne doit 206 1, XV| Le lendemain, lorsque Jean arriva avec le sergent Martial 207 1, XV| plus secret incognito.~ ~Jean crut voir l’obscurité de 208 1, XV| exprimées par M. Mirabal.~ ~Jean, lui, se taisait, mais à 209 1, XV| le comprit bien, lorsque Jean lui dit :~ ~« Je vous remercie, 210 1, XV| vers le haut Orénoque, dit Jean, c’est là que j’irai...~ ~– 211 1, XV| est là que j’irai...~ ~– Jean... Jean !... s’écria le 212 1, XV| que j’irai...~ ~– Jean... Jean !... s’écria le sergent 213 1, XV| J’irai ! » répéta Jean d’un ton qui indiquait une 214 1, XV| seront achevés, déclara Jean, nous partirons pour Santa-Juana...~ ~– 215 1, XV| père a courus, répondit Jean, je n’hésiterai pas à les 216 1, XV| désespéré, s’en alla avec Jean, qui vint passer le reste 217 1, XV| Helloch observait aussi Jean, qui surveillait ce travail. 218 1, XV| arriva.~ ~Vers huit heures, Jean se disposa à regagner l’ 219 1, XV| dit-il.~ ~– Bonsoir... Jean... » répondit Jacques Helloch, 220 1, XV| suivre le jeune garçon...~ ~Jean marchait sans retourner 221 1, XV| résolution d’accompagner Jean...~ ~– Vous... accompagner 222 2, I| passer Jeanne pour son neveu Jean, dans l’espoir d’obvier 223 2, I| découvert, – à savoir que Jean de Kermor était Jeanne de 224 2, I| le dessus.~ ~« Pour vous, Jean... toujours Jean... dit-elle 225 2, I| Pour vous, Jean... toujours Jean... dit-elle en tendant la 226 2, I| s’inclinant.~ ~– Oui... Jean... mon cher Jean... répondit 227 2, I| Oui... Jean... mon cher Jean... répondit Jacques Helloch, 228 2, I| ne l’eusse pas fait avec Jean de Kermor ! affirma Jacques 229 2, I| par vous trahir... Non... Jean... rien que Jean...~ ~– 230 2, I| Non... Jean... rien que Jean...~ ~– Oui... Jean... tout 231 2, I| rien que Jean...~ ~– Oui... Jean... tout court... et même 232 2, I| court... et même notre cher Jean... pour varier un peu... 233 2, I| gens, le sergent Martial et Jean – ce nom lui sera conservé 234 2, I| de M. Mirabal qui pressa Jean sur son cœur, Jacques Helloch 235 2, I| Helloch et Germain Paterne, Jean et le sergent Martial s’ 236 2, II| Or, le sergent Martial et Jean avaient été extrêmement 237 2, II| veinte y cuatro », demanda Jean, très renseigné par la lecture 238 2, II| maintenant que le secret de Jean était connu de ses deux 239 2, II| mademoiselle...~ ~– Monsieur Jean... s’il vous plaît... monsieur 240 2, II| il vous plaît... monsieur Jean ! interrompit la jeune fille 241 2, II| Martial.~ ~– Oui... monsieur Jean ! » répondit Jacques Helloch, 242 2, II| C’est probable, répondit Jean, car ce cours d’eau est 243 2, II| monsieur Helloch, demanda Jean, votre opinion est conforme 244 2, II| Entièrement... mon cher Jean.~ ~– Pauvre Ventuari ! répondit 245 2, II| soit un Indien Piaroa, dit Jean, d’après ce que j’ai lu...~ ~– 246 2, II| rendait à Santa-Juana.~ ~Jean, vivement intéressé à tout 247 2, II| Jacques Helloch et Jean furent frappés du ton de 248 2, II| propos de cette Mission, Jean fut conduit à interroger 249 2, II| Une noble tâche... dit Jean.~ ~– La plus belle que je 250 2, II| Baré. Le sergent Martial et Jean, Jacques Helloch et Germain 251 2, II| accepté de même.~ ~Seul, Jean refusa les cigarettes, malgré 252 2, II| cacherait-il ?... demanda Jean.~ ~– Il n’y a là qu’une 253 2, III| berge. Là, tout d’abord, Jean crut devoir présenter une 254 2, III| monsieur Manuel... affirma Jean.~ ~– Et comment le saviez-vous, 255 2, III| monsieur Manuel, ajouta Jean, comme des services que 256 2, III| curiosité.~ ~– Je l’ai, répondit Jean, et, si vous le désirez, 257 2, III| Assomption, Jacques Helloch et Jean précédaient, en suivant 258 2, III| donc assez surpris, lorsque Jean eut énoncé les raisons qui 259 2, III| passage à Danaco, reprit Jean, vous n’avez plus eu de 260 2, III| Santa-Juana...~ ~– Et, ajouta Jean, puisse-t-il nous mettre 261 2, III| Helloch. – Et vous, mon cher Jean ?... ~– Je ne manquerai 262 2, III| cette occasion, répondit Jean, et si mon oncle est encore 263 2, III| une seconde fois, monsieur Jean...~ ~– C’est bon... c’est 264 2, III| C’est juste, ajouta Jean, cet excellent M. Miguel... 265 2, III| au sergent Martial et à Jean, puis regagnèrent leur pirogue.~ ~ 266 2, IV| Helloch depuis le jour où Jean avait fait place à Jeanne, 267 2, IV| sa situation d’oncle de Jean de Kermor irrévocablement 268 2, IV| lui, furieux contre tous. Jean n’aurait pas dû tomber dans 269 2, IV| matin, il fut réveillé par Jean que M. Manuel et ses fils 270 2, IV| matériel. Le soir même, Jean et le sergent Martial pourraient 271 2, IV| Monsieur Manuel, dit alors Jean, ne voulez-vous pas parler 272 2, IV| ces Guaharibos, s’écria Jean, et serait-il donc tombé 273 2, IV| je le connais !... Parle, Jean, et raconte comment il se 274 2, IV| pas à me comprendre. »~ ~Jean raconta alors cette histoire 275 2, V| avoir ?..~ ~– Eh bien... Jean... mon cher Jean... comme 276 2, V| bien... Jean... mon cher Jean... comme je dois vous appeler... 277 2, V| battait bien fort à ce « cher Jean », tandis qu’il regagnait 278 2, V| rencontrer à l’île Temblador, car Jean avait parlé de lui d’après 279 2, V| lorsque, un peu avant midi, Jean signala un nuage très bas 280 2, V| la surface des llanos.~ ~Jean, que Jacques Helloch avait 281 2, VI| sauvant la vie à notre cher Jean, dit Jacques Helloch, il 282 2, VII| Helloch, Germain Paterne, Jean, dont les forces revenaient 283 2, VII| Cependant, fit observer Jean, quand il s’est embarqué 284 2, VII| difficulté, fit observer Jean, se serait toujours présentée 285 2, VII| la savane...~ ~– Mon cher Jean, répondit Jacques Helloch, 286 2, VII| monsieur Helloch, affirma Jean. Je suis prêt à partir dès 287 2, VII| rien que de vous entendre, Jean, cela nous rendrait lestes 288 2, VII| En effet, répondit Jean. Je crois inutile de nous 289 2, VII| D’ailleurs, objecta Jean, qui sait si des recherches 290 2, VII| monsieur Helloch, reprit Jean, de n’emporter que l’indispensable 291 2, VII| est, à mon avis, mon cher Jean, le seul parti qui convienne, 292 2, VII| Avec mon père ! » murmura Jean.~ ~Un nuage de doute avait 293 2, VII| accompagnerais volontiers... dit Jean.~ ~– Si je te le permettais, 294 2, VII| vingt-quatre heures.~ ~« Mon cher Jean, dit-il, votre oncle est 295 2, VII| monsieur Paterne, ajouta Jean, et pour peu qu’il y ait 296 2, VIII| de parenté qui unissait Jean au colonel de Kermor. Alfaniz 297 2, VIII| le sergent Martial, pour Jean et pour Germain Paterne, 298 2, VIII| accueil au jeune Indien, et Jean l’attira, le combla de caresses, 299 2, VIII| providentielle, puisque Jean, lui ayant demandé s’il 300 2, VIII| Entre-temps, Gomo avait appris de Jean quel but ses compagnons 301 2, VIII| Gomo les accompagnait, et Jean avait eu la permission de 302 2, VIII| fois.~ ~La fosse comblée, Jean s’agenouilla sur le bord, 303 2, VIII| On revint au campement.~ ~Jean n’avait pas été trop fatigué. 304 2, IX| marchaient en tête, puis Jean et Gomo, suivant la direction 305 2, IX| vous en prie... mon cher Jean... répondait-il, permettez-moi 306 2, IX| que le sergent Martial et Jean en avaient déjà vu, lorsqu’ 307 2, IX| orographique du Roraima.~ ~Jean et Gomo marchaient l’un 308 2, IX| connais bien ?... demanda Jean.~ ~– Oui... je le connais... 309 2, IX| Gallinetta.~ ~Naturellement, Jean se défendait de ce que l’ 310 2, IX| choisir sa place, dès que Jean eut été se coucher au fond 311 2, IX| fond de laquelle dormaient Jean, Gomo, le sergent Martial, 312 2, X| Le premier à se lever fut Jean. Tandis qu’il allait et 313 2, X| réveillé, il vint, avec Jean, rejoindre Jacques Helloch 314 2, X| sera-t-il capable... lui... Jean....~ ~– Votre neveu, sergent 315 2, X| c’est même pour cela que Jean est mon neveu... Comprends-tu ? »~ ~ 316 2, X| vite pour vous, mon cher Jean ?... ~– Non, monsieur Helloch, 317 2, X| jeune cerf...~ ~– Monsieur Jean, répliqua Gomo, s’il le 318 2, X| Torrida.~ ~Jacques Helloch, Jean, le sergent Martial, Gomo 319 2, X| Oui, pourquoi... ajouta Jean, et pourquoi Valdez a-t-il 320 2, XI| homme, ajouta-t-il, se nomme Jean de Kermor. »~ ~À l’énoncé 321 2, XI| degré de la surprise.~ ~« Jean de Kermor ?... répéta-t-il... 322 2, XI| est son nom ?... ~– Oui... Jean de Kermor.~ ~– Ce jeune 323 2, XI| que m’a raconté mon ami Jean, – ils se sont rencontrés 324 2, XI| demanda-t-il à Gomo, pourquoi Jean de Kermor vient-il à Santa-Juana ?... ~– 325 2, XII| Puis, elle se reportait sur Jean de Kermor... sur cet enfant 326 2, XII| garçon...~ ~– Oui... mon ami Jean...~ ~– Et tous deux se rendaient 327 2, XII| voyant à quelques pas ce Jean qu’il croyait le fils du 328 2, XIII| sous le nom et l’habit de Jean, le voyage sur l’Orénoque, 329 2, XIII| trouble, d’appeler : mon ami Jean !...~ ~Comme la jeune fille 330 2, XIII| savaient que « monsieur Jean » était Mlle Jeanne de Kermor.~ ~ 331 2, XIII| mes précautions... C’était Jean... un jeune gars de Bretagne... 332 2, XIV| belle jeune femme le neveu Jean qui avait occupé avec son 333 2, XIV| surprise, lorsqu’ils virent Jean... leur cher Jean... au 334 2, XIV| virent Jean... leur cher Jean... au bras de Jacques Helloch, 335 2, XIV| Helloch.~ ~– Vous avez épousé Jean de Kermor ?... s’écria M. 336 2, XIV| Kermor ?... ~– Est la sœur de Jean ! répondit en riant Germain 337 2, XIV| point abandonner ton cher Jean... de l’accompagner au milieu