Partie,  Chap.

  1     1,       I|              Depuis déjà trois bonnes heures, ces deux entêtés savants
  2     1,      II|               de l’un deux, vers huit heures du soir. Une légère brise
  3     1,      II|            Caracas. Puis, en quelques heures, le chemin de fer les avait
  4     1,     III|            bases sérieuses.~ ~Dès six heures du matin, le 12 août, le
  5     1,     III|               assez obscure.~ ~À neuf heures, le sergent Martial pensa
  6     1,     III|              lendemain, aux premières heures, le Simon-Bolivar dont les
  7     1,     III|               faisons en vingt-quatre heures ce qui a nécessité trois
  8     1,     III|          ceinture de forêts.~ ~À neuf heures, tous les passagers dormaient
  9     1,     III|          garçon passèrent ces longues heures dans le salon de l’arrière,
 10     1,     III|             fut pendant les dernières heures de la matinée que le steamboat
 11     1,      IV|             excursion de trois bonnes heures aux alentours de Las Bonitas,
 12     1,       V|            port fluvial que vers neuf heures du soir. Ayant quitté Las
 13     1,       V|         retard. Pendant quarante-huit heures, le temps fut particulièrement
 14     1,       V|       favorables conditions. Vers dix heures, les habitants de la bourgade
 15     1,      VI|              commencé. Que de longues heures, que de monotones journées
 16     1,      VI|             même embarcation, car les heures eussent paru moins interminables.
 17     1,      VI|              devint visible vers onze heures du matin, au pied de collines
 18     1,      VI|            était tombée aux premières heures de la nuit, mais elle reprit
 19     1,      VI|             tributaire se montra deux heures plus tard. C’est par cet
 20     1,      VI|           espèces européennes. À neuf heures, on se coucha, ou du moins
 21     1,      VI|   éclaterait-il pas avant une ou deux heures. Les nuages, d’une teinte
 22     1,      VI|                Par bonheur, vers huit heures du soir, lorsque la tempête
 23     1,     VII|          arrêtée pendant vingt-quatre heures à l’endroit où sont les
 24     1,     VII|         relâche durerait vingt-quatre heures. S’il ne survenait aucun
 25     1,     VII|              la matinée et, vers onze heures, il fut nécessaire de traverser
 26     1,     VII|          montres marquaient donc deux heures de l’après-midi, lorsque
 27     1,     VII|              des arbres.~ ~Vers trois heures, Valdez donna le signal
 28     1,    VIII|             Urbana. Arrivés vers cinq heures, la soirée leur suffirait
 29     1,    VIII|              se prolongea jusqu’à dix heures, et les hôtes du chef civil,
 30     1,    VIII|             longue durée.~ ~Vers deux heures, une rumeur lointaine, continue,
 31     1,    VIII|                Il était, alors quatre heures et demie du matin, et le
 32     1,    VIII|             oreilles.~ ~Pendant trois heures, la lointaine rumeur ne
 33     1,      IX|               retardé de vingt-quatre heures. Si l’intention des deux
 34     1,      IX|              ainsi que, quarante-huit heures auparavant, à la suite du
 35     1,      IX|              l’après-midi, vers trois heures, on arriva devant le hato
 36     1,      IX|              des mariniers. Vers cinq heures et demie du soir, les falcas,
 37     1,       X|               leur matériel. Vers six heures du soir, elles vinrent s’
 38     1,       X|             ils méritent.~ ~Vers onze heures, le vent ayant refusé, Valdez
 39     1,       X|      pluvieuse d’ailleurs, et, à cinq heures de l’après-midi, elles vinrent
 40     1,       X|              conditions, après tant d’heures désagréables que la rafale
 41     1,       X|               la garde de huit à onze heures fut confiée aux deux Français.
 42     1,       X|              les relèveraient de onze heures à deux heures du matin.
 43     1,       X|    relèveraient de onze heures à deux heures du matin. Ce serait ensuite
 44     1,       X|             au moment où, – vers onze heures, – MM. Miguel et Felipe,
 45     1,       X|     employèrent à causer les quelques heures confiées à leur surveillance,
 46     1,       X|           anormal, lorsque, vers deux heures du matin, ils réintégrèrent
 47     1,       X|           gens, – il était alors cinq heures du matin, et l’aube pointait
 48     1,      XI|              1er septembre, – dès six heures du matin, les falcas quittèrent
 49     1,      XI| supplémentaires, durant les premières heures de navigation, – et ils
 50     1,      XI|    produiraient pendant les premières heures.~ ~Après le pansement, le
 51     1,      XI|          veiller durant les premières heures. Mêmes mesures ordonnées
 52     1,      XI|             pointe d’amont. Plusieurs heures furent ainsi gagnées, et
 53     1,      XI|         aisément franchie en quelques heures, même avec l’impedimentum
 54     1,      XI|      quittèrent Puerto-Real vers onze heures et demie du matin.~ ~Il
 55     1,      XI|            village, un peu après deux heures de l’après-midi.~ ~À cette
 56     1,     XII|               lendemain aux premières heures du soleil levant. La veille,
 57     1,     XII|             refusa même vers les cinq heures du soir.~ ~Les pirogues
 58     1,     XII|        endroit assez abrité.~ ~De six heures à sept heures, les chasseurs
 59     1,     XII|                  De six heures à sept heures, les chasseurs battirent
 60     1,     XII|               il leur fallut quelques heures pour remonter le raudal
 61     1,     XII|              de Garcita.~ ~Vers trois heures de l’après-midi, en suivant
 62     1,     XII|               s’arrêtèrent avant cinq heures du soir.~ ~Du reste, la
 63     1,     XII|         passage n’exigea que quelques heures sans débarquement.~ ~Cependant,
 64     1,     XII|        patrons purent durant quelques heures se servir des voiles, et
 65     1,    XIII|        San-Fernando. En quatre-vingts heures, s’il ne leur survenait
 66     1,    XIII|          sommes ici que pour quelques heures, répondit M. Miguel, et
 67     1,    XIII|             le fleuve.~ ~Il était six heures du soir, lorsque la Moriche,
 68     1,     XIV|              jamais duré que quelques heures.~ ~Après s’être tirés des
 69     1,     XIV|       parvinrent à rallier vers trois heures une grande île indiquée
 70     1,      XV|         ordinaire après deux ou trois heures. Les pirogues n’étaient
 71     1,      XV|             port...~ ~– Dans quelques heures, affirma Jacques Helloch,
 72     1,      XV|              soir arriva.~ ~Vers huit heures, Jean se disposa à regagner
 73     2,       I|              du passé~ ~ ~ ~Vers huit heures, dans la matinée du 2 octobre,
 74     2,      II|          fleuve.~ ~Le soir, vers cinq heures, les deux pirogues, bien
 75     2,      II|              piqûres vous donnent des heures de fièvre.~ ~– Ne sont-ce
 76     2,      II|         droite. À peine était-il cinq heures, et il restait deux heures
 77     2,      II|            heures, et il restait deux heures de jour. Toutefois, d’après
 78     2,      II|               roufs durant de longues heures.~ ~En amont de ces rochers
 79     2,      II|            inhabitable. »~ ~Vers cinq heures, les mariniers de la Moriche
 80     2,      II|          arrivèrent.~ ~À vingt-quatre heures de là, après une journée
 81     2,      II|      visiteurs se retirèrent vers dix heures, et le Baré, suivi de quelques
 82     2,     III|            Déjà, depuis quarante-huit heures, se dessinait à l’horizon
 83     2,     III|           hôtes pendant quarante-huit heures...~ ~– Pendant huit jours,
 84     2,     III|          jours.~ ~Il était alors sept heures du matin. Temps couvert,
 85     2,     III|         réparation pour quarante-huit heures, le sergent et son neveu
 86     2,     III|           dernière goutte.~ ~Vers dix heures du soir, Jacques Helloch
 87     2,      IV|            Paterne.~ ~– De six à sept heures », répondit M. Manuel.~ ~
 88     2,      IV|            que, pendant les premières heures, après les incisions, la
 89     2,      IV|          après une sieste de quelques heures, le commissaire proposa
 90     2,       V|            territoire.~ ~Vingt-quatre heures après, au terme d’une fatigante
 91     2,       V|     occasionna une perte de plusieurs heures. La nuit était venue, lorsque
 92     2,      VI|              à s’établir que vers six heures, et les pirogues, deux heures
 93     2,      VI|         heures, et les pirogues, deux heures après, dépassaient l’embouchure
 94     2,      VI|              sous le rouf pendant des heures entières. Elle s’efforçait
 95     2,      VI|           côte, il restait de longues heures à l’entrée du rouf, regardant
 96     2,      VI|            soupirait-il.~ ~Vers trois heures de l’après-midi, tomba une
 97     2,      VI|              des pirogues.~ ~À quatre heures, le cerro Yaname, dont l’
 98     2,      VI|         produit son effet. Avant deux heures, cela serait décidé. Avant
 99     2,      VI|             serait décidé. Avant deux heures, on saurait s’il y avait
100     2,      VI|           kilomètres par vingt-quatre heures. Qu’importait ! Jeanne revenait
101     2,      VI|               rouf entre midi et deux heures. Enveloppée d’une légère
102     2,     VII|              franchir en vingt-quatre heures, et sans doute les communications
103     2,     VII|              un repos de vingt-quatre heures.~ ~« Mon cher Jean, dit-il,
104     2,     VII|               être revenus avant deux heures, et, dans tous les cas,
105     2,     VII|               arbres.~ ~Il était neuf heures du matin. Le soleil inondait
106     2,    VIII|                 Oui... environ quatre heures après.~ ~– Quatre heures
107     2,    VIII|              heures après.~ ~– Quatre heures après ?... Et pour quelle
108     2,      IX|               la sierra~ ~ ~ ~Dès six heures du matin, Jacques Helloch
109     2,      IX|           kilomètres par vingt-quatre heures, des piétons pourraient
110     2,      IX|       quittant Santa-Juana...~ ~À six heures du soir, Jacques Helloch
111     2,      IX|             appétit aidant après cinq heures de marche, les convives
112     2,      IX|             Valdez à prendre quelques heures de repos, et remonta vers
113     2,      IX|          illusion... mais vers quatre heures du matin, lorsque l’horizon
114     2,       X|              de Frascaès~ ~ ~ ~À cinq heures, le campement s’éveilla.~ ~
115     2,       X|         pouvait-il s’enlever en vingt heures ?~ ~Jacques Helloch revint
116     2,       X|            arriver d’ici vingt-quatre heures.~ ~« Et tu dis, demanda
117     2,       X|          Santa-Juana en une dizaine d’heures ?... demanda le sergent
118     2,       X|                  Donc, en six ou sept heures, Gomo se faisait fort d’
119     2,       X|                 Oui... en six ou sept heures, dit-il, le Père Esperante
120     2,       X|        avaient une avance de quelques heures, était-il impossible qu’
121     2,       X|    vraisemblable.~ ~Cependant, à neuf heures, Valdez, qui s’était éloigné
122     2,       X|     sommes-nous du gué ?... ~– À deux heures de marche environ, répondit
123     2,       X|              plut à le dire.~ ~À neuf heures quinze, les sacs refermés
124     2,       X|         semblent durer autant que des heures.~ ~Jeanne avait rejoint
125     2,      XI|         produire.~ ~Or, vers les cinq heures du soir, le 1er novembre,
126     2,      XI|         Quivas sont là-bas... à trois heures d’ici... dans la sierra...
127     2,     XII|           mettre en campagne.~ ~À six heures, deux Indiens montèrent
128     2,     XII|              gué de Frascaès.~ ~Trois heures après, ces cavaliers étaient
129     2,     XII|               déployée, que, dès cinq heures, ses Guaharibos stationnaient
130     2,     XII|          remit en route, et, vers six heures, la rive droite de l’Orénoque
131     2,     XII|           commença à tomber vers huit heures, les Guaharibos traversèrent
132     2,     XII|               jour reparut, vers cinq heures du matin, le Père Esperante
133     2,     XII|          Torrida.~ ~En moins de trois heures, il aurait pris contact
134     2,     XII|               se fût produit vers six heures du matin.~ ~Le jeune Indien
135     2,     XII|                     Un peu avant huit heures, le Père Esperante s’arrêta,
136     2,    XIII|             être franchie en quelques heures, et, dans l’après-midi,
137     2,     XIV|             engraver pendant quelques heures, et non celui de demeurer
138     2,     XIV|           furent pendant vingt-quatre heures les hôtes de cet excellent
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