Partie,  Chap.

  1     1,       I|            Varinas.~ ~Depuis déjà trois bonnes heures, ces deux
  2     1,       I|      département de l’Orénoque en trois provinces : Varinas, Guyana,
  3     1,       I|    militaire, haute de deux mille trois cents mètres, où s’appuient
  4     1,       I|        appuient les angles de ces trois États du Sud-Amérique, le
  5     1,       I|        habitants, qui comprennent trois cent vingt-cinq mille Indiens «
  6     1,       I|           et jouissaient tous les trois d’une considération méritée,
  7     1,       I|      globule de sang nègre.~ ~Ces trois géographes se rencontraient
  8     1,       I| hydrographique fut uniquement que trois personnes au lieu de deux
  9     1,       I|         de quelle discussion, ces trois personnages résolurent d’
 10     1,       I|         Donc, la nouvelle que les trois savants, membres de la Société
 11     1,       I|          résolue au confluent des trois fleuves. D’ailleurs, on
 12     1,       I|          lequel, après avoir reçu trois cents rivières et parcouru
 13     1,      II|         avaient fait, le voici.~ ~Trois semaines auparavant, après
 14     1,     III|      leurs partisans à saluer les trois géographes sur le quai d’
 15     1,     III|       pales. Dans ces conditions, trois ou quatre de ces raudals
 16     1,     III|         heures ce qui a nécessité trois ou quatre jours à notre
 17     1,     III|           obéissance.~ ~Quant aux trois collègues de la Société
 18     1,     III|         grande largeur, – environ trois mille mètres. Depuis trois
 19     1,     III|        trois mille mètres. Depuis trois mois, la saison des pluies
 20     1,      IV|  lendemain donc, – 15 août, – les trois collègues de la Société
 21     1,      IV|      assez fatigante excursion de trois bonnes heures aux alentours
 22     1,      IV|          que s’étaient donnée les trois géographes, et le gouverneur,
 23     1,       V|        dans l’une d’elles que les trois Vénézuéliens d’un côté,
 24     1,       V|    voyageurs fussent au nombre de trois ou de cinq, peu importait.
 25     1,       V|       jusqu’à San-Fernando...~ ~– Trois !... bougonna le sergent
 26     1,       V|        partager la pirogue de ces trois Bolivariens !~ ~– Tu as
 27     1,       V|           pourrait s’effectuer en trois semaines, exige le double
 28     1,      VI|     fleuve qui mesure ici près de trois mille mètres de largeur ?... ~–
 29     1,     VII|         bambous de la toiture, et trois ou quatre de ces paniers,
 30     1,     VII|  précisément sur les travaux qui, trois mois avant, attirent chaque
 31     1,     VII|        avaient emmené un guide et trois Indiens Mapoyos.~ ~– Et,
 32     1,     VII|          ombre des arbres.~ ~Vers trois heures, Valdez donna le
 33     1,    VIII|       possédait une population de trois cent cinquante à quatre
 34     1,    VIII|       laissa pas d’encourager les trois membres de la Société de
 35     1,    VIII|  recherche jusqu’au confluent des trois fleuves.~ ~« La science
 36     1,    VIII|           les oreilles.~ ~Pendant trois heures, la lointaine rumeur
 37     1,    VIII|   quelques-uns des habitants, les trois géographes, le sergent Martial
 38     1,    VIII|      venait au-devant d’elle, les trois ou quatre kilomètres qui
 39     1,      IX|                          IX~ ~ ~ ~Trois pirogues naviguant de conserve~ ~ ~ ~
 40     1,      IX|         plus de sécurité pour les trois embarcations à naviguer
 41     1,      IX|      campement, les accompagnait. Trois cents kilomètres les séparaient
 42     1,      IX|         avait duré un peu plus de trois semaines. Après avoir étudié
 43     1,      IX|    murmurait à part lui :~ ~« Les trois géographes, d’une part,
 44     1,      IX|           aube, les passagers des trois pirogues prirent congé du
 45     1,      IX|           vous conduise ! »~ ~Les trois falcas démarrèrent l’une
 46     1,      IX|   éprouverait aucun retard.~ ~Les trois falcas marchaient de conserve,
 47     1,      IX|        diversité de caractère des trois collègues, ils l’avaient
 48     1,      IX|           dans l’après-midi, vers trois heures, on arriva devant
 49     1,      IX|         furent partagés entre les trois pirogues. Assurément, le
 50     1,       X|        rive gauche du fleuve, les trois pirogues purent se dégager
 51     1,       X|     voiles, qui, gonflées deux ou trois minutes, pendaient ensuite
 52     1,       X|      voyageurs eussent occupé les trois chambres d’une maison unique, –
 53     1,       X|          maison unique, – et même trois chambres dont les portes
 54     1,       X|        Les quatre Français et les trois Vénézuéliens fraternisèrent
 55     1,       X|     trouveraient au confluent des trois fleuves ?... ~« Il s’agit
 56     1,       X|           Donc, les passagers des trois pirogues devraient exercer
 57     1,       X|          amphibies ?... ~– Oui... trois ou quatre de ces lamantins
 58     1,      XI|          au défaut de l’épaule de trois centimètres, sans atteindre
 59     1,      XI|          Varinas, – alors que les trois falcas marchaient en ligne
 60     1,      XI|           Germain Paterne vinrent trois ou quatre fois observer
 61     1,      XI|         de ces tourbillons.~ ~Les trois pirogues furent donc déchargées.
 62     1,      XI|       piastres, et le portage des trois falcas se régla à un prix
 63     1,      XI|       permettait, on marchait par trois ou par deux. Le jeune garçon,
 64     1,      XI|        Tant que les voyageurs des trois pirogues ne seraient pas
 65     1,      XI|          accompagnèrent point les trois Vénézuéliens et les deux
 66     1,      XI|           serpent long de plus de trois cents pieds.~ ~Peut-être
 67     1,     XII|       Paterne~ ~ ~ ~Le départ des trois pirogues s’effectua le lendemain
 68     1,     XII|        une journée fatigante, les trois pirogues purent atteindre
 69     1,     XII|          celui de Garcita.~ ~Vers trois heures de l’après-midi,
 70     1,     XII|          ne faudrait pas moins de trois à quatre jours pour rejoindre.~ ~
 71     1,     XII|            dans l’après-midi, les trois falcas arrivèrent à ce village,
 72     1,    XIII|           ils n’étaient plus qu’à trois jours et demi de San-Fernando.
 73     1,    XIII|        étaient éloignés de deux à trois kilomètres, M. Miguel, son
 74     1,    XIII|          avant et à l’arrière des trois pirogues.~ ~Les carabines
 75     1,     XIV|         parvinrent à rallier vers trois heures une grande île indiquée
 76     1,     XIV|         de San-Fernando ?... ~– À trois kilomètres, répondit Jacques
 77     1,     XIV|        fleuve.~ ~– Eh bien... ces trois kilomètres, il faut les
 78     1,     XIV|        offerte, les équipages des trois pirogues parurent disposés
 79     1,     XIV|     ruisseau dont l’apport est de trois mille deux cents mètres
 80     1,     XIV|     soudain par les mariniers des trois falcas :~ ~« Chubasco...
 81     1,     XIV|   direction qu’elle imprimait aux trois pirogues.~ ~Ce qui n’est
 82     1,      XV|       tint à avoir pour hôtes ces trois notables de Ciudad-Bolivar.
 83     1,      XV|     minutieux de l’embouchure des trois fleuves, de longues stations
 84     1,      XV|      étaient hâtés de ramener les trois falcas au port de San-Fernando.
 85     1,      XV|           ordinaire après deux ou trois heures. Les pirogues n’étaient
 86     1,      XV|         de cette lettre qu’il y a trois mois... L’ami, auquel elle
 87     2,       I|     armées prussiennes.~ ~Deux ou trois semaines avant la déclaration
 88     2,       I|     Guaviare et de l’Atabapo. Les trois collègues ne voyaient pas,
 89     2,      II|           remplacer, en engageant trois Mariquitares et un Espagnol,
 90     2,      II|          tributaires de gauche, à trois cent cinquante kilomètres
 91     2,      II|      étiez-vous ?... ~– Depuis... trois semaines.~ ~– Non, ce n’
 92     2,     III|       cents mètres.~ ~Pendant les trois jours qui avaient suivi
 93     2,     III|           ai vu une fois... voilà trois ans environ... Il avait
 94     2,     III|        enquit le commissaire.~ ~– Trois Vénézuéliens, avec lesquels
 95     2,       V|        fleuve, qui n’était que de trois cent cinquante mètres, fût
 96     2,       V|       prêts à la défensive.~ ~Les trois cents mètres de l’Orénoque
 97     2,      VI|              soupirait-il.~ ~Vers trois heures de l’après-midi,
 98     2,      VI|        sort de la Parima, et dont trois cents affluents font ensuite
 99     2,     VII|   intersection des frontières des trois États.~ ~Si le fleuve s’
100     2,     VII|         voyage qui durera au plus trois ou quatre jours...~ ~– C’
101     2,     VII|     nécessitait un cheminement de trois ou quatre longues étapes
102     2,     VII|          reconnaissance à deux ou trois cents pas de la lisière...
103     2,    VIII|        Helloch.~ ~– Et à moins de trois cents pas... répondit Valdez.~ ~–
104     2,    VIII|          toiture. En tas, deux ou trois douzaines de fourmis bachacos
105     2,      IX|           dit-il enfin, il y a là trois ou quatre hommes qui rôdent
106     2,      IX|         avons-nous là que deux ou trois Indiens Bravos...~ ~– Que
107     2,       X|         la berge sur un espace de trois cents pas, et arrivèrent
108     2,       X|           rive, ayant près de lui trois individus, qui n’étaient
109     2,       X|          du bagne de Cayenne avec trois forçats, ses complices.~ ~
110     2,      XI|           Quivas sont là-bas... à trois heures d’ici... dans la
111     2,     XII|        vers le gué de Frascaès.~ ~Trois heures après, ces cavaliers
112     2,     XII|           de la saison pluvieuse. Trois mois plus tôt, la Gallinetta
113     2,     XII|        rio Torrida.~ ~En moins de trois heures, il aurait pris contact
114     2,     XII|     travers les broussailles, et, trois minutes après, ils revenaient,
115     2,     XIV|       Santa-Juana...~ ~– Tous les trois... ajouta Germain Paterne,
116     2,     XIV|       grâce au courant, exigerait trois ou quatre fois moins de
117     2,     XIV|         la bourgade.~ ~Il y avait trois mois, Jacques Helloch et
118     2,     XIV|            Felipe et Varinas. Les trois collègues s’y trouvaient-ils
119     2,     XIV|            maintenant, lequel des trois fleuves l’avait emporté,
120     2,     XIV|       question hydrographique des trois fleuves qu’ils ne l’étaient
121     2,     XIV|         purent serrer la main des trois passagers de la Maripare.~ ~
122     2,     XIV|    Guaviare n’est pas inférieur à trois mille deux cents mètre cubes...~ ~–
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