Partie,  Chap.

  1     1,       V|            désignées sous le nom de falcas. Lorsque le vent est propice,
  2     1,       V| relativement au colonel.~ ~Les deux falcas avaient des noms particuliers :
  3     1,       V|            point le Mississipi, les falcas ne sont pas des steamboats,
  4     1,       V|       navigation de l’Orénoque. Les falcas n’auraient pu ni remonter
  5     1,      VI|           donc hissées, et les deux falcas, vent arrière, remontèrent
  6     1,      VI|          Pendant cette journée, les falcas côtoyèrent quelques îles
  7     1,      VI|         tombée de la nuit, les deux falcas vinrent s’amarrer à l’île
  8     1,      VI|         destruction complète.~ ~Les falcas vinrent passer la nuit à
  9     1,      VI|             au nord-est, permit aux falcas de naviguer grand largue, –
 10     1,      VI|       après-midi, la navigation des falcas éprouva mille difficultés,
 11     1,      VI|             dut-on craindre, si les falcas ne se décidaient pas à mouiller,
 12     1,     VII|             important était que les falcas n’eussent pas souffert de
 13     1,     VII|          sage était de regagner les falcas, puisque la nuit promettait
 14     1,     VII|       survenait aucun incident, les falcas y arriveraient dans l’après-midi.~ ~
 15     1,     VII|           lieu du vent arrière, les falcas trouvaient le vent debout.
 16     1,     VII|           embouchure du Meta.~ ~Les falcas vinrent s’amarrer le long
 17     1,     VII|    nécessaire au ravitaillement des falcas.~ ~Cette halte de repos
 18     1,     VII|             avant le soir, les deux falcas vinrent relâcher au pied
 19     1,    VIII|          moyen Orénoque.~ ~Les deux falcas avaient accosté le revers
 20     1,    VIII|         Après avoir dîné à bord des falcas, les passagers se rendirent
 21     1,    VIII|            ressentait dans les deux falcas, le sol riverain n’en était
 22     1,    VIII|  accompagnés des passagers des deux falcas, se dirigèrent vers les
 23     1,      IX|            la Urbana, le départ des falcas fut retardé de vingt-quatre
 24     1,      IX|            conduise ! »~ ~Les trois falcas démarrèrent l’une après
 25     1,      IX|           aucun retard.~ ~Les trois falcas marchaient de conserve,
 26     1,      IX|           de retarder la marche des falcas.~ ~Par bonne chance, le
 27     1,      IX|      suffisantes pour permettre aux falcas de gagner contre le courant.
 28     1,      IX|        heures et demie du soir, les falcas, ayant dépassé le rio Caripo,
 29     1,      IX|          des autres raudals que les falcas devaient rencontrer aux
 30     1,      IX|             particulière. Comme les falcas naviguaient alors l’une
 31     1,       X|             localité déchue que les falcas auraient eu chance de se
 32     1,       X|       ruissellement lumineux.~ ~Les falcas se disposèrent bord à bord,
 33     1,       X|       centaine de pieds en aval des falcas.~ ~Jacques Helloch vint
 34     1,       X|       permettait de s’approcher des falcas, en refoulant le courant
 35     1,       X|              Soudain, alors que les falcas et les curiares n’étaient
 36     1,      XI|            six heures du matin, les falcas quittèrent ces dangereux
 37     1,      XI|      Varinas, – alors que les trois falcas marchaient en ligne sous
 38     1,      XI|            brise se maintenait, les falcas auraient fait le soir plus
 39     1,      XI|    ordonnées à bord des deux autres falcas par Martos et Parchal. En
 40     1,      XI|          cerros, et, vers midi, les falcas s’arrêtaient au petit village
 41     1,      XI|             et le portage des trois falcas se régla à un prix dont
 42     1,      XI|            chargés de remorquer les falcas à travers les remous de
 43     1,      XI|        tournant, ils aperçurent les falcas que leurs équipages remorquaient
 44     1,     XII|         suffirait pas à pousser les falcas contre le courant de l’Orénoque.
 45     1,     XII|             Pendant la matinée, les falcas ne gagnèrent que cinq kilomètres
 46     1,     XII|         courant est moins fort, les falcas purent s’aider de la brise
 47     1,     XII|             l’après-midi, les trois falcas arrivèrent à ce village,
 48     1,     XII|       favorisait plus la marche des falcas, et même eût-il soufflé
 49     1,    XIII|             de rester à bord de nos falcas.~ ~– Comme il te plaira.~ ~–
 50     1,    XIII|                Et les passagers des falcas n’allaient pas tarder à
 51     1,    XIII|         endroit où s’amarraient les falcas.~ ~Germain Paterne put observer
 52     1,    XIII|   suffisante charge à rapporter aux falcas. Peut-être auraient-ils
 53     1,    XIII|     passagers avaient atteint leurs falcas, dont les roufs suffiraient
 54     1,    XIII|        ramena vers Augustino.~ ~Les falcas, ne courant plus le risque
 55     1,     XIV|        tirèrent de leurs roufs, les falcas avaient pris le milieu du
 56     1,     XIV|           un four. Par malheur, les falcas marchant avec la brise,
 57     1,     XIV|            à l’arrière. Dès que les falcas commencèrent à perdre, chaque
 58     1,     XIV|             les mariniers des trois falcas :~ ~« Chubasco... chubasco ! »~ ~
 59     1,     XIV|        comme celles d’un océan, les falcas se jetèrent les unes sur
 60     1,     XIV|          pas de vue, et lorsque les falcas venaient bord à bord au
 61     1,     XIV|         tous deux vers la rive. Les falcas y arrivèrent enfin, et,
 62     1,      XV|          hâtés de ramener les trois falcas au port de San-Fernando.
 63     2,       I|           vivats saluèrent les deux falcas, lorsqu’elles se détachèrent
 64     2,      II|            au tirant d’eau des deux falcas. Mieux valait ne pas les
 65     2,      II|        ouest.~ ~À San-Fernando, les falcas avaient été ravitaillées
 66     2,      II|              le couchage à bord des falcas devait-il être maintenu,
 67     2,      II|       normales, – ce qui permit aux falcas d’atteindre dès l’après-midi
 68     2,      II|          les approvisionnements des falcas, – à la lisière des bois
 69     2,      II|           aucun des hommes des deux falcas ?~ ~Cela rendit Jacques
 70     2,      II|            les accompagna jusqu’aux falcas, dont les équipages dormaient
 71     2,     III|           Carida, la navigation des falcas, servie par une brise constante,
 72     2,     III| intéressante famille.~ ~Lorsque les falcas s’arrêtèrent devant Danaco,
 73     2,     III|            l’avarie de l’une de nos falcas, nous obligera peut-être
 74     2,     III|           la main aux passagers des falcas.~ ~Et, dans ce récit, non
 75     2,     III|             aider les équipages des falcas...~ ~– Et nous y travaillerons
 76     2,      IV|          une comme l’autre des deux falcas lui parurent être dans des
 77     2,      IV|           donc espérer que nos deux falcas pourront se tirer des raudals
 78     2,       V|            avec persistance, et les falcas rebroussaient assez rapidement
 79     2,       V|           pour remplir la voile des falcas. De cet endroit, on voyait
 80     2,       V|         varié du Cassiquiare.~ ~Les falcas marchaient donc sous petite
 81     2,       V|        voiles, qui eussent gêné les falcas dans une marche oblique
 82     2,       V|      tourbillonnaient au-dessus des falcas endormies près de la berge.~ ~ ~ ~
 83     2,      VI|           la race maudite.~ ~Et les falcas en furent tellement assaillies,
 84     2,      VI|           la bande d’Alfaniz.~ ~Les falcas repartirent le lendemain,
 85     2,      VI|         ailleurs, et, alors que les falcas naviguaient côte à côte,
 86     2,      VI|         étant déjà fort basses, les falcas risquèrent plusieurs fois
 87     2,      VI|        cette fatigante journée, les falcas dépassèrent le point où
 88     2,      VI|            jours qui suivirent, les falcas remontèrent non sans de
 89     2,      VI|              il fallait pousser les falcas au moyen des garapatos ou
 90     2,      VI|          nécessité d’abandonner les falcas, et, pendant une cinquantaine
 91     2,      VI|            d’eau sous les fonds des falcas. Tous les bateliers durent
 92     2,      VI|          quinze à vingt mètres. Les falcas remontèrent encore des rapides,
 93     2,     VII|             le long duquel les deux falcas gisaient à sec, à l’embouchure
 94     2,     VII|           aurions  abandonner les falcas. Il est vrai, d’avoir fait
 95     2,    VIII|         vous ne saviez pas que deux falcas sont arrivées hier soir ?~ ~–
 96     2,    VIII|           occuper les mariniers des falcas, et les préparatifs du voyage
 97     2,      IX|       granitiques, impraticable aux falcas et même aux curiares. Il
 98     2,      IX|           commis par Jorrès, si les falcas n’eussent été dans la nécessité
 99     2,      XI|   accompagné du patron de l’une des falcas, m’a trouvé dans la forêt,
100     2,     XII|     kilomètres en aval que les deux falcas avaient  s’arrêter.~ ~
101     2,     XII|          restés à la garde des deux falcas.~ ~Vers le sud-ouest, de
102     2,     XII|          Parchal, les mariniers des falcas, s’étaient élancés sur ceux
103     2,    XIII|           de la petite colonie. Les falcas remontèrent le fleuve, relâchant
104     2,    XIII|            se produire, et les deux falcas seraient prêtes à redescendre
105     2,     XIV|          personne.~ ~Comme les deux falcas devaient naviguer de conserve,
106     2,     XIV|          étape cette navigation des falcas à la descente de l’Orénoque.
107     2,     XIV|   commençant à se faire sentir, les falcas trouvèrent assez d’eau pour
108     2,     XIV|            de savoir. Or, comme les falcas exigeraient une relâche
109     2,     XIV|        femme revit l’endroit où les falcas s’étaient échouées sur la
110     2,     XIV|            tenue. Les passagers des falcas furent pendant vingt-quatre
111     2,     XIV|            Bref, le 25 janvier, les falcas atteignirent Caïcara.~ ~
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