Partie,  Chap.

 1     1,      II|          d’oublier que tu es mon oncle et que je suis ton neveu...~ ~–
 2     1,      II|        neveu soit tutoyé par son oncle ?... ~– C’est l’usage.~ ~–
 3     1,      II|        sévèrement traité par son oncle...~ ~– Sévèrement !... repartit
 4     1,      II|      joueras bien mal ton rôle d’oncle féroce...~ ~– Féroce !...
 5     1,      II|         à devenir ton neveu, mon oncle.~ ~– Ah ! si mon colonel
 6     1,      II|         ordre, puisque tu es mon oncle, et qu’un oncle doit toujours
 7     1,      II|        tu es mon oncle, et qu’un oncle doit toujours obéir à son
 8     1,      II|        résolus à jouer ce rôle d’oncle et de neveu ?... Dans quel
 9     1,      II|        il a consenti à devenir l’oncle.~ ~Aussi, avec quelle méticuleuse
10     1,      II|    garçon, durement mené par cet oncle bourru et peu sociable,
11     1,      II|        bottes à forte semelle, l’oncle, au contraire, était sanglé
12     1,      II|   encombrantes, les valises de l’oncle et de son neveu contenaient,
13     1,     III|        au fond de la cabine de l’oncle, contiguë à celle de son
14     1,     III|     repas. Il avait, près de son oncle, pris place à l’extrémité
15     1,     III|  résister aux injonctions de son oncle.~ ~Tous deux regagnèrent
16     1,     III|        Tout à fait conforme, mon oncle. Seulement, nous faisons
17     1,     III|        échappât à son soi-disant oncle.~ ~Le soir venu, le Simon-Bolivar
18     1,     III|                Y songes-tu ! mon oncle, répondit Jean. S’il n’y
19     1,      IV|        Sois sans inquiétude, mon oncle ! Il faut aller fort loin
20     1,      IV|        en amont du fleuve, que l’oncle et le neveu se trouveraient
21     1,      IV| réintégrer sa cabine... C’est un oncle qui a des façons de tuteur...~ ~–
22     1,      IV|          dit-il à ses hôtes, cet oncle et ce neveu dont vous parlez
23     1,      IV|       heure de l’après-midi.~ ~L’oncle et son neveu, depuis qu’
24     1,      IV|              C’est probable, mon oncle.~ ~– Un de ces généraux
25     1,      IV|     attirer des difficultés, mon oncle ?... dit le jeune garçon
26     1,      IV|      votre compagnon ?... ~– Mon oncle... c’est un Français comme
27     1,      IV|         certaine intimité avec l’oncle et le neveu ?... Cela n’
28     1,      IV|         nous vous inspirons, mon oncle et moi... Mais, si certain
29     1,       V|       Martial, qui se disait son oncle. Il y avait quatorze ans
30     1,       V|   Monsieur, veuillez excuser mon oncle... Son intention n’a pas
31     1,       V|       peu trop... sèche de votre oncle...~ ~– Celle d’un ancien
32     1,       V|        Je vous remercie pour mon oncle et pour moi, monsieur, répondit
33     1,       V|         des yeux de son terrible oncle deux éclairs accompagnés
34     1,       V|         faire plus poliment, mon oncle !~ ~– Je n’avais pas à être
35     1,       V|         eu tort ?... ~– Oui, mon oncle.~ ~– Et c’est toi qui as
36     1,       V|          raison ?... ~– Oui, mon oncle.~ ~– Merci, mon neveu ! »~ ~
37     1,       V|              Réfléchis donc, mon oncle !... N’est-il pas préférable
38     1,      VI|     point, l’intransigeance de l’oncle avait été absolue, et, d’
39     1,      VI|        ils n’y viennent pas, mon oncle ! » répondit Jean, en montrant
40     1,      VI|       bonsoir au neveu comme à l’oncle, et la curiare le ramena
41     1,      VI|       servait de chambre, et son oncle, fidèle à ses habitudes,
42     1,      VI|           Aussi avec quel soin l’oncle ajusta le voile protecteur
43     1,      VI|         ne le prendrons pas, mon oncle... nous le laisserons passer...
44     1,      VI|              Un peu de patience, oncle Martial, et bien que le
45     1,     VII|        regards fulminants de son oncle, eut l’occasion de faire
46     1,     VII|         d’en savoir plus que son oncle !~ ~– C’est entendu, mon
47     1,     VII|     voyages.~ ~– Tu as tort, mon oncle. Cela est très croyable,
48     1,     VII|       gamelle, n’est-ce pas, mon oncle ?~ ~– Et pourquoi, s’il
49     1,      IX|        sans surprise, pourquoi l’oncle et le neveu n’auraient pas
50     1,      IX|       lorsqu’ils apprirent que l’oncle et le neveu étaient français, –
51     1,      IX|       plus en plus insociable, l’oncle intérimaire de Jean de Kermor !~ ~
52     1,      IX| singulier que ce grognard soit l’oncle du jeune de Kermor ?... ~–
53     1,      IX|          il leur convient d’être oncle et neveu, cela les regarde. »~ ~
54     1,      IX|         main.~ ~« Cependant, mon oncle, il est difficile de refuser...
55     1,       X|    graves...~ ~– Est-ce bien son oncle ?... interrompit Germain
56     1,       X|    sergent Martial soit ou non l’oncle de Jean de Kermor, reprit
57     1,       X|       est lui qui a entraîné son oncle... Non... décidément, ce
58     1,       X|        ce grognard n’est pas son oncle, car il me semble bien me
59     1,       X|        Martial ne pouvait être l’oncle de Jean de Kermor, puisque
60     1,      XI|       pas d’être le neveu de son oncle et d’y déployer tant de
61     1,      XI|        nous en tenir... et votre oncle... je veux dire le sergent
62     1,      XI|        par le médecin...~ ~– Mon oncle, ajouta le jeune garçon,
63     1,      XI|                 Que veux-tu, mon oncle... répondit Jean en le calmant.
64     1,      XI|        un geste. D’ailleurs, mon oncle ne me permettrait pas...
65     1,     XII|           qui n’est pas plus son oncle que je ne suis sa tante !...
66     1,    XIII|         neveu...~ ~– Pardon, mon oncle, je ne me vieillirai plus »,
67     1,      XV|    malgré les grondements de son oncle, Jean, ne se ressentant
68     1,      XV|       que longtemps après... Mon oncle... le sergent Martial...
69     1,      XV|                 Parce que... mon oncle et moi... nous n’avons eu
70     2,       I|       son coin, honteux comme un oncle qui a perdu son neveu.~ ~
71     2,       I|          et que tu n’es plus mon oncle !... Mais monsieur Helloch
72     2,       I|     Martial... Il est devenu mon oncle, et je suis devenue son
73     2,       I|         et ajouta :~ ~« Non, mon oncle, non, il ne faut pas se
74     2,     III|         répondit Jean, et si mon oncle est encore endormi...~ ~–
75     2,      IV|        détruites, sa situation d’oncle de Jean de Kermor irrévocablement
76     2,      IV|       dont il n’était pas même l’oncle, à quelles réflexions se
77     2,      VI|          du sergent Martial, son oncle n’étant pas parvenu à le
78     2,      VI|              Cela va bien... mon oncle ! » lui dit-elle en souriant,
79     2,     VII|         cher Jean, dit-il, votre oncle est de bon conseil... Cette
80     2,      IX|         que le neveu obéît à son oncle.~ ~Germain Paterne et Valdez
81     2,       X|      dernier :~ ~« Vous êtes son oncle ?... demanda-t-il.~ ~– Un
82     2,    XIII|     Bretagne... un neveu que son oncle faisait voyager dans ce
83     2,     XIV|        et pense à ton bonhomme d’oncle... qui ne t’oubliera jamais !... ~ ~
84     2,     XIV|        qui avait occupé avec son oncle Martial une des cases du
85     2,     XIV|           pas content du tout, l’oncle à son neveu ! »~ ~Pendant
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2010. Content in this page is licensed under a Creative Commons License