Partie,  Chap.

 1     1,       I|       les sources de ce cours d’eau dans les montagnes de la
 2     1,       I|         des premières gouttes d’eau de l’Orénoque, – oui ! malgré
 3     1,       I|         sur la carte le cours d’eau en discussion, pourquoi
 4     1,       I|    robinet d’où sort un cours d’eau que les économistes regardent
 5     1,       I|        vraiment que ces cours d’eau menaçaient de changer de
 6     1,     III| Colombie, il tirait aussi peu d’eau que possible, étant plat
 7     1,     III|         limitrophes des cours d’eau. C’est à travers ces immenses
 8     1,     III|      autre, c’est toujours de l’eau qui coule en suivant sa
 9     1,     III| embouchure du Caura. Ce cours d’eau est l’un des plus considérables
10     1,      IV|        la propriété de pomper l’eau du sol au point de le rendre
11     1,       V|       flotter à la surface de l’eau. On le porte sur la rive,
12     1,      VI|        pluie fine, presque de l’eau pulvérisée, qui cessa même
13     1,     VII|      que leur contenu, délayé d’eau, tombe au fond du canot.
14     1,     VII|    chauffe afin d’en évaporer l’eau, et elle devient claire.
15     1,    VIII|      détermination d’un cours d’eau. Ces passions-là conduisent
16     1,       X|       cinq cents mètres cubes d’eau par seconde.~ ~– Ne vient-il
17     1,       X|   éléments, le moindre bruit, l’eau fendue par une embarcation,
18     1,     XII|      Orénoque, coulant à pleine eau, gardait une profondeur
19     1,     XII|       confluaient leurs cours d’eau favoris. Ils auraient alors
20     1,     XIV|         préférable de fondre en eau plutôt que d’être menacé
21     1,     XIV|        bord d’énormes paquets d’eau. À demi enfoncées sous cette
22     1,     XIV|     donna une telle bande que l’eau embarqua par-dessus le plat-bord.~ ~
23     1,     XIV|         maintint au-dessus de l’eau, et il se laissa dériver
24     1,     XIV|     Jacques Helloch sortit de l’eau et prit pied.~ ~Entre ses
25     2,      II|        donc suffire au tirant d’eau des deux falcas. Mieux valait
26     2,      II|        verse une énorme masse d’eau par sept bouches disposées
27     2,      II|   répondit Jean, car ce cours d’eau est le plus important de
28     2,     III|    suite de ce choc, une voie d’eau s’était déclarée, peu importante,
29     2,     III|        c’est-à-dire la « Grande Eau », en dialecte tamanaque, «
30     2,     III|    assez pour s’assurer que son eau est bien celle de l’Orénoque ! »~ ~
31     2,      IV|     découvert, son plan à vau-l’eau, tant de précautions prises
32     2,      IV|          allait être remise à l’eau, près de la Moriche qui
33     2,      IV|         relatives à la mise à l’eau de la Gallinetta, M. Manuel
34     2,       V| pirogues, car c’est au manque d’eau qu’il faut attribuer les
35     2,       V|        le voisinage des cours d’eau, en recherchant de préférence
36     2,       V|       il se présente un cours d’eau, fleuve, rio ou bayou, elles
37     2,       V|        par millions les cours d’eau du Venezuela.~ ~Sous les
38     2,      VI|         étanchait avec un peu d’eau fraîche la soif qui la dévorait,
39     2,      VI|       fleuve profitait de cette eau abondamment versée des nuages
40     2,      VI|  raudals assez difficiles, et l’eau était si basse, par endroits,
41     2,      VI|    opération. En se mettant à l’eau, les hommes déchargèrent
42     2,      VI|        faute de trouver assez d’eau dans le lit du fleuve. L’
43     2,      VI|       laissaient pas un pouce d’eau sous les fonds des falcas.
44     2,      VI|         de désappointement.~ ~L’eau avait baissé de cinquante
45     2,     VII|    seraient exposés à manquer d’eau. Et puis, avec quelle bourgade,
46     2,      IX|        ne seraient pas privés d’eau sur leur parcours. Au dire
47     2,      IX|         La direction du cours d’eau se maintenait toujours vers
48     2,       X|     plus que de minces filets d’eau aisément franchissables.~ ~«
49     2,     XII| avaient-ils traversé le cours d’eau pour courir les forêts de
50     2,     XII|    bayous, encore remplis d’une eau dormante.~ ~Après une halte
51     2,     XIV|   droite, où la profondeur de l’eau était suffisante. À partir
52     2,     XIV|       falcas trouvèrent assez d’eau pour éviter un déchargement,