Partie,  Chap.

 1     1,    VIII|           ce qu’il en dit :~ ~« M. Marchal, un Vénézuélien déjà d’un
 2     1,    VIII|             C’est un vrai sage, M. Marchal. Il a abandonné la politique
 3     1,    VIII|           et tranquille. »~ ~Ce M. Marchal, dont quelques affaires
 4     1,    VIII|             cultivée au hato de M. Marchal.~ ~Cet excellent vieillard
 5     1,    VIII|      aventureux voyage ! ajouta M. Marchal. C’est un hardi pionnier,
 6     1,    VIII|          Vénézuélien.~ ~Lorsque M. Marchal et le chef civil surent
 7     1,    VIII|             Miguel ?~ ~Bien que M. Marchal n’en fût plus à connaître
 8     1,    VIII|           reçus à leur arrivée. M. Marchal les connaissait aussi, car,
 9     1,    VIII|           cher enfant, répondit M. Marchal, et ils comptaient stationner
10     1,    VIII|         leurs projets, répondit M. Marchal, ils ont  se diriger vers
11     1,    VIII|        garçon.~ ~– Non, déclara M. Marchal, à certaines époques, et,
12     1,    VIII|        sujet des deux Français, M. Marchal fut conduit à interroger
13     1,    VIII|            son père.~ ~Le vieux M. Marchal ne put cacher l’émotion
14     1,    VIII|             Mais ni vous, monsieur Marchal, ni monsieur le chef civil,
15     1,    VIII| dirigèrent-ils vers la berge.~ ~M. Marchal et le chef civil ne tardèrent
16     1,    VIII|   prononcer.~ ~« Attendons, dit M. Marchal. Je ne crois pas que la
17     1,    VIII|       cause.~ ~Le chef civil et M. Marchal, accompagnés des passagers
18     1,    VIII|     sablonneuses.~ ~« Cela, dit M. Marchal, c’est une poussière intense...
19     1,    VIII|        peine sensible, répondit M. Marchal. Seraient-ce donc les trépidations ?...
20     1,    VIII|            enfant ?... répondit M. Marchal. Ils ne soulèveraient pas
21     1,    VIII|          dit Jean, en regardant M. Marchal, si ce ne sont pas mes compatriotes...~ ~–
22     1,    VIII|            du cerro d’Urbana.~ ~M. Marchal avait voulu se joindre à
23     1,    VIII|       époque de la ponte ?...~ ~M. Marchal répondit à cette question,
24     1,    VIII|         ces deux hommes ?... Ni M. Marchal ni le chef civil ne parvinrent
25     1,    VIII|            compatriotes ?...~ ~MM. Marchal, Miguel, Felipe et Varinas,
26     1,    VIII|           C’est impossible, dit M. Marchal, et c’est inutile... On
27     1,    VIII|              le feu ! » s’écria M. Marchal.~ ~Le feu, – c’était la
28     1,    VIII|           cris d’épouvante...~ ~M. Marchal avait été compris, et les
29     1,    VIII|           le moyen, proposé par M. Marchal, devait réussir.~ ~Tout
30     1,    VIII|    trouvaient en sûreté près de M. Marchal, après y avoir gagné le
31     1,      IX|          civil de la Urbana, de M. Marchal et des habitants qui leur
32     1,      IX|          la Tigra, propriété de M. Marchal.~ ~Nul doute que si l’hospitalier
33     1,      IX|        journée à tout le moins. M. Marchal n’eût permis ni à Jacques
34     2,     III|   connaissance à la Urbana d’un M. Marchal...~ ~– Je sais... je sais !
35     2,     III|           du commissaire envers M. Marchal.~ ~« Et où la jalousie va-t-elle
36     2,     XIV|      arriva devant le rancho de M. Marchal à la Tigra. Là, promesse
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