Partie,  Chap.

 1     1,     III|     coucha, et le sergent Martial vint alors envelopper le cadre
 2     1,     III|          soirée, le Simon-Bolivar vint mouiller au fond d’une anse
 3     1,      VI|           fidèle à ses habitudes, vint soigneusement l’envelopper
 4     1,      VI|         qualité de Nantais. De là vint que celui-ci ne put retenir
 5     1,    VIII|      terminée, le sergent Martial vint s’étaler sur la sienne.~ ~
 6     1,    VIII|         du sol. Une intense fumée vint se mêler au nuage de poussière
 7     1,      IX|  invraisemblable exode de tortues vint les surprendre à leur campement.
 8     1,       X|         falcas.~ ~Jacques Helloch vint prendre sa carabine, déposée
 9     1,       X|               C’est alors que lui vint à l’esprit cette réflexion
10     1,     XII|       aérostat.~ ~Le soir, Valdez vint s’amarrer en aval de l’île
11     1,     XIV|        vers midi, Jacques Helloch vint à l’avant de la Moriche
12     1,      XV|     Gallinetta.~ ~Germain Paterne vint plusieurs fois au cours
13     1,      XV|        aux pressentiments, il lui vint à la pensée que l’étranger
14     1,      XV|          s’en alla avec Jean, qui vint passer le reste du jour
15     1,      XV|      Helloch débarqua aussitôt et vint retrouver le vieux soldat :~ ~«
16     2,       I|         lettre. Or, ledit notaire vint à décéder, alors que Jeanne
17     2,      II|     visiter son établissement. Il vint à bord des pirogues, dès
18     2,      II|       entre le Baré et Jorrès, il vint à la pensée de Jacques Helloch
19     2,     III|           du fleuve.~ ~M. Truchon vint, il y a quelque quarante
20     2,      IV| commissaire cette demande qui lui vint naturellement à l’esprit :~ ~«
21     2,      VI|      produisit, aucune attaque ne vint ni des Indiens Bravos, ni
22     2,       X|        Indien se fut réveillé, il vint, avec Jean, rejoindre Jacques
23     2,      XI|           C’est dans ce but qu’il vint s’installer au plus profond
24     2,    XIII|           un mois s’écoula, et il vint à l’esprit de Germain Paterne
25     2,     XIV|           là, mon Jacques, que te vint la pensée de ne point abandonner