Partie,  Chap.

 1     1,       I|        et de ses rivières. On y voyait se développer sur la mer
 2     1,       I|      fois que cette proposition voyait le jour, et l’on ne peut
 3     1,     III|    élément militaire. Or, on ne voyait pas là un seul des sept
 4     1,      VI|        canards sauvages. On les voyait voler à la surface des plaines,
 5     1,    VIII|       sur leurs amarres.~ ~On y voyait aussi une troisième falca
 6     1,       X|         alors M. Felipe, qui ne voyait pas trop à quoi tendaient
 7     1,       X|    Jacques Helloch. Celui-ci ne voyait pas sans appréhension un
 8     1,       X| distrait de sa surveillance, ne voyait rien... n’entendait rien...~ ~
 9     1,     XIV|     montants de l’arrière... Il voyait le danger, il n’en détournait
10     1,     XIV|    Martial fou de désespoir, on voyait Jacques Helloch soutenant
11     1,      XV| accroître son chagrin, et il le voyait si accablé, si désespéré...~ ~
12     2,      II|      être blanche à présent. On voyait que c’était une nature résolue,
13     2,      IV|   Jeanne, le sergent Martial ne voyait rien de suspect... et son
14     2,       V|      falcas. De cet endroit, on voyait poindre une chaîne de montagnes
15     2,       V|      déchirait parfois, et l’on voyait, semblait-il, des masses
16     2,      VI|      une crise funeste, si elle voyait la pirogue redescendre le
17     2,     VII|  habitées ou abandonnées, on ne voyait pas vestiges. Et, cependant,
18     2,     VII|        l’entrée de la forêt, on voyait voler des canards, des hoccos,
19     2,    VIII|      guayuco, taché de sang, on voyait sa poitrine trouée d’une
20     2,      IX|         des réalités, Jeanne se voyait déjà rendue à Santa-Juana...
21     2,      XI|    toutes ses peines, lorsqu’il voyait à quel degré de prospérité
22     2,    XIII|        que le colonel de Kermor voyait arriver l’heure de se séparer