Partie,  Chap.

 1     1,      IV|              aurais bien dû prendre mon fusil...~ ~– Veux-tu donc tuer
 2     1,       V|               Jean de Kermor, son léger fusil ne resterait ni inactif
 3     1,      VI|       impénétrables, plusieurs coups de fusil retentirent à bord de la
 4     1,     VII|                  Mais que pouvaient son fusil de pacotille, son arc et
 5     1,     VII|               la pensée de prendre leur fusil en vue de varier le menu
 6     1,    VIII|           succédèrent.~ ~« Des coups de fusil !... affirma le sergent
 7     1,    VIII|               se défendaient à coups de fusil.~ ~En quelques instants,
 8     1,    VIII|                 deux hommes, à coups de fusil et de revolver.~ ~Déjà quelques
 9     1,    VIII|             accueillis par les coups de fusil du sergent Martial, de M.
10     1,      IX|           gibier qui venait à portée de fusil. Les canards et les ramiers,
11     1,       X|           Miguel, Varinas et Felipe, le fusil à la main, se précipitèrent
12     1,    XIII|                village, à une portée de fusil de la berge.~ ~Jacques Helloch
13     1,    XIII|                à cinq ou six portées de fusil, lorsqu’ils s’arrêtèrent
14     2,      II|               attendaient qu’un coup de fusil pour figurer sur la table
15     2,      IV|                les recevrait à coups de fusil, et nous leur ferions passer
16     2,     VII|                à une ou deux portées de fusil du campement, il y ait des
17     2,     VII|              lui. Que de beaux coups de fusil, des cabiais, des paresseux,
18     2,      IX| répercuteraient-ils pas un seul coup de fusil.~ ~Il va de soi que Jacques
19     2,      IX|          Germain Paterne avait pris son fusil de chasse, et sa boîte d’
20     2,       X|               de se défendre à coups de fusil. Et qu’auraient pu sa carabine,
21     2,      XI|                 cent hommes, pourvus du fusil moderne, approvisionnés