Partie,  Chap.

 1     1,       I|         llanos, que les navires peuvent remonter pendant plus de
 2     1,     III|   passagers et les marchandises peuvent se transporter jusqu’à San-Fernando1
 3     1,     III|        qui, à la capitale même, peuvent dépasser douze à quinze
 4     1,     III|      orographique des côtes, ne peuvent apporter un adoucissement
 5     1,       V|    doute à San-Fernando, et qui peuvent nous aider à retrouver,
 6     1,      VI|        bateaux à vapeur, qui ne peuvent s’aventurer en amont de
 7     1,     VII|       dangereuses ?... ~– Elles peuvent l’être par leur nombre,
 8     1,     VII|    tombés à la renverse, ils ne peuvent plus se relever. »~ ~Juste
 9     1,      XI|   demander comment des pirogues peuvent le franchir sans y laisser
10     1,     XIV|     Guaviare, que les bâtiments peuvent remonter sur un millier
11     1,     XIV|        violences atmosphériques peuvent donc s’y exercer librement,
12     2,      II| contrées, d’autres éventualités peuvent se produire, qui ne sont
13     2,      II|     abondants que les indigènes peuvent les tuer à coup de flèches.
14     2,       V|         et, si cela est, ils ne peuvent être de ce côté de l’Orénoque ! »~ ~
15     2,       V|        ne veulent pas. Elles ne peuvent donc remplacer ces singes,
16     2,       V|         en vaines décharges, il peuvent les manier sans inconvénient.~ ~
17     2,      IX|        yeux sont bons... ils ne peuvent me tromper !... Je reconnais
18     2,     XIV|     tandis que ceux du Guaviare peuvent le remonter pendant mille
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