Partie,  Chap.

 1     1,       V|         sergent Martial, qui se disait son oncle. Il y avait quatorze
 2     1,      VI|  Martial, et, comme celui-ci se disait qu’une politesse en vaut
 3     1,      XI|       que le sergent Martial se disait prêt à le faire. Comme Jacques
 4     1,      XI|        d’Atures. »~ ~Et Parchal disait vrai, mais ces Banivas sont
 5     1,     XIV|             On ne respire plus, disait alors M. Felipe à ses collègues,
 6     2,       I|   ressaisir des traces que l’on disait perdues... Où des étrangers
 7     2,       I|    cette enfant, celle que l’on disait avoir péri dans la catastrophe
 8     2,      II|       écoutant plutôt ce qui se disait aussi bien entre les passagers
 9     2,      IV|   prêtait l’oreille à ce qui se disait à son sujet.~ ~Jacques Helloch
10     2,       V|      Quivas, car, à ce que l’on disait dans le pays, ils cherchaient
11     2,       V| était-il bien informé, quand il disait que ces Quivas devaient
12     2,    VIII|     larmes. Un sûr instinct lui disait qu’il avait là, dans ces
13     2,      IX|   ramais avec lui... »~ ~Ce que disait le jeune garçon n’était
14     2,      XI|      ces territoires, et on les disait si enclins au pillage et
15     2,      XI| attention. L’éclair de ses yeux disait quelle colère l’animait
16     2,    XIII|              Et il fit comme il disait, – sans s’arrêter à des
17     2,     XIV|       la saison pluvieuse. Elle disait tout ce que pouvaient dire
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