Partie,  Chap.

 1     1,       I|      se développait l’aire de neuf cent soixante-douze mille
 2     1,     III|     de l’Orénoque se réduit à neuf cents mètres, pour retrouver
 3     1,     III|     rendre assez obscure.~ ~À neuf heures, le sergent Martial
 4     1,     III|       ceinture de forêts.~ ~À neuf heures, tous les passagers
 5     1,       V|      ce port fluvial que vers neuf heures du soir. Ayant quitté
 6     1,       V|     dix Indiens, un patron et neuf hommes.~ ~La partie postérieure,
 7     1,       V|    répondait de son équipage, neuf solides indigènes très familiarisés
 8     1,       V|    serait pas moins heureuxneuf Banivas, également, sous
 9     1,      VI|    des espèces européennes. À neuf heures, on se coucha, ou
10     1,      IX|     Parchal, et pour équipage neuf Indiens, dont il n’y avait
11     1,      XI|      l’amont et l’aval est de neuf mètres. Et c’est à travers
12     1,    XIII|       ans, moins deux mois et neuf jours, affirma le sergent
13     2,      II|    volontiers. Toutefois, des neuf hommes de son équipage,
14     2,     VII|   premiers arbres.~ ~Il était neuf heures du matin. Le soleil
15     2,       X| vraisemblable.~ ~Cependant, à neuf heures, Valdez, qui s’était
16     2,       X|     il se plut à le dire.~ ~À neuf heures quinze, les sacs
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