Partie,  Acte, Scène

 1  Per                |      burgrave de Sareck.~ ~ ~ ~FRÉDÉRIC DE HOHENSTAUFEN.~ ~ ~ ~OTBERT.~ ~ ~ ~
 2  Per                |    Jupiter du douzième siècle, Frédéric Barberousse. Enfin il se
 3    1,    II         |         Car c’était l’empereur Frédéric Barberousse !~ ~Il dormait, –
 4    1,    II         |     faut croire la renommée,~ ~Frédéric s’est noyé devant toute
 5    1,    II         |               HAQUIN.~ ~ ~ ~Si Frédéric était vivant, – oui, j’y
 6    1,    II         |        KUNZ.~ ~ ~ ~Trèves veut Frédéric.~ ~ ~ ~GONDICARIUS.~ ~ ~ ~
 7    1,    II         |     nous pousse,~ ~Chez le duc Frédéric, père de Barberousse,~ ~
 8    1,    II         |      ce conte. En ce château~ ~Frédéric Barberousse avait nom Donato.~ ~
 9    1,    II         |         GONDICARIUS.~ ~ ~ ~Que Frédéric, du trône atteignant le
10    1,    VI         |     pliait devant lui. – Quand Frédéric Premier,~ ~Masqué, mais
11    1,    VI         |             LE MENDIANT.~ ~ ~ ~Frédéric de Souabe, empereur d’Allemagne.~ ~ ~ ~
12    1,    VI         |         Il reprend.~ ~ ~ ~Moi, Frédéric, seigneur du mont où je
13    1,    VI         |           Que voici l’empereur Frédéric Barberousse.~ ~ ~ ~La stupeur
14    1,    VI         | sortent. Quand ils sont seuls, Frédéric s’approche de Job et détache
15    1,     I         |       dans ma haute demeure.~ ~Frédéric Barberousse est maître en
16    1,    IV         |     Spire~ ~Élu mon petit-fils Frédéric, empereur.~ ~C’est un vrai
17  Not,     A         |         Car c’était l’empereur Frédéric Barberousse !~ ~Il dormait, –
18  Not,     A         |     faut croire la renommée,~ ~Frédéric s’est noyé devant toute
19  Not,     A         |     nous pousse,~ ~Chez le duc Frédéric, père de Barberousse,~ ~
20  Not,     A         |      ce conte. En ce château~ ~Frédéric Barberousse avait nom Donato.~ ~
21  Not,     A         |         GONDICARIUS.~ ~ ~ ~Que Frédéric, du trône atteignant le
22  Not,     B         |       au monde un souverain,~ ~Frédéric Deux, mon fils, qu’on vient