120-fonda | fondu-saisi | sait--zinga
                             gras = Texte principal
     Partie,  Acte, Scènegris = Texte de commentaire

1 | 120 2 Per | humanité.~ ~ ~ ~25 mars 1843.~ ~ ~ ~Job et Magnus.~ ~ ~ ~ 3 | 25 4 Per, 0 (1)| Tome Ier, époque, maison de Souabe.~ ~ 5 1, VI | LUPUS, riant.~ ~ ~ ~Que vous a-t-il donc fait, bonhomme ?~ ~ ~ ~ 6 1, I | chute affreuse et sombre ! abaissement profond !~ ~Plus d’unité. 7 1, VII | Dieu, qui d’un souffle abat les sapins centenaires,~ ~ 8 1, VI | forcer Gêne, Utrecht, et Rome abâtardie ;~ ~Iconium plia sous toi ; 9 1, VI | une sombre expression d’abattement, d’indignation et d’épouvante. 10 1, VI | tours,~ ~Et l’aigle vient s’abattre au milieu des vautours !~ ~ ~ ~ 11 1, VI | Fantôme dont le pâtre abhorrait les approches,~ ~Le monde 12 1, III | soyez, parlez-moi, je m’abhorre ;~ ~Je ne vous en veux pas, 13 1, VI | Barberousse ! – Malheur à ce nom abhorré ! –~ ~Nos blasons sont cachés 14 1, II | effrayant, perdu dans les abîmes,~ ~Qui parle en ce tombeau 15 1, I | dans les guerres civiles.~ ~Abjection ! – L’empire avait de grands 16 Per | Sicile, lui apportait l’aboiement vivant et terrible du gouffre 17 1, VI | te sais traître, impie, abominable et bas.~ ~Je veux savoir 18 1, V | LE BURGRAVE DARIUS, abordant Hatto le verre à la main.~ ~ ~ ~ 19 Not, A | représentation, quelques abréviations peuvent, dans les premiers 20 1, V | geste les deux amants, qui, absorbés dans leur contemplation 21 Per | des sages ; faire de cette abstraction philosophique une réalité 22 1, I | affreux qui me suit et m’accable,~ ~Et devient plus difforme 23 1, II | Régina, toute jeune, pâle, accablée et se traînant à peine, 24 1, VII | les ans, fardeau sombre, accablement de l’homme,~ ~Rien n’a vaincu, 25 1, II | seul. Les vieux semblent accablés de fatigue et de douleur. 26 1, VI | prennent son parti, je les accepte tous,~ ~Pied contre pied, 27 Not, C | burgraves, il soulève des acclamations enthousiastes et unanimes. 28 Per | éclairés, et alors sera accompli le magnifique rêve de l’ 29 1, IV | temps, comme on fait pour accomplir un vœu,~ ~ ~ ~Montrant son 30 1 | degré de trois marches et accostée d’une porte bâtarde. Au 31 1, II | ramassent leurs outils, s’accouplent en silence et sortent la 32 Per | sympathique et intelligente qui accourt si volontiers au glorieux 33 1, II | En vain les meilleurs accoururent !~ ~Soixante-trois soldats 34 1, VI | oseraies,~ ~Vils, muets, accroupis, un poignard à la main,~ ~ 35 1, II | juste, tu fais bien, je t’accueille avec joie,~ ~Moi, maudit 36 Per | empreinte d’une guerre profonde, acharnée, implacable. Pas un rocher 37 1, IV | à Régina.~ ~ ~ ~Je veux achever ta guérison, moi !~ ~ ~ ~ 38 1, I | Cœur-de-Lion comme ils vendraient Achille !~ ~Ô chute affreuse et 39 Not, C | savent rêver et que les acteurs comme M. Geffroy savent 40 Per | moment en esprit les titres actuels de ces trois actes, lesquels 41 1, I | souterrain.~ ~ ~ ~Eh bien je t’adjure à cette heure.~ ~Pardonne, 42 Per | purement mythologiques ; en admettant le conte et la légende, 43 1, VI (4)| beaucoup de braves gens qui n’admettraient pas les mangonneaux. Mangonneaux ! 44 Not, C | Barberousse et Magnus, ont été admirablement représentés par MM. Beauvallet, 45 1, I | centenaire ;~ ~L’Europe m’admirait debout sur nos sommets ;~ ~ 46 Per | qui fait que, tout en les admirant parce qu’ils sont grands, 47 1, I | des empereurs saliques,~ ~Adorer une chasse et baiser des 48 1, III | je t’aimerai ! mais je t’adorerai !~ ~Mais je te servirai ! 49 1, VII | sévère. Armures complètes adossées à tous les piliers.~ ~ ~ ~ 50 1, VI | fait signe du doigt de s’adresser à l’empereur, silencieux 51 Not, C | quelle intelligence vive et adroite ont été dites par tous la 52 1, IV | désormais, quoi qu’il puisse advenir,~ ~Ton temps à me prier. 53 1, IV | rappelant ce fils à mon âme affaiblie,~ ~Fait que je m’en souviens 54 1, I | VOIX.~ ~ ~ ~Caïn !~ ~ ~ ~S’affaiblissant comme si elle se perdait 55 1, III | donjon.~ ~ ~ ~ce vieillard affaissé~ ~Sous le poids inconnu 56 1, VI | leur brisait l’arche,~ ~Affrontaient le piquier ainsi que l’escadron,~ ~ 57 1, VII | centième année,~ ~Et qu’affrontant le ciel, bravant la destinée,~ ~ 58 | Afin 59 1, VI | Dans quelque antre d’Afrique, et parmi les ténèbres,~ ~ 60 1, VI | ramène mon Dieu !~ ~ ~ ~Il s’agenouille devant Barberousse, pui se 61 1, II | du voile noir et demeure agenouillé, immobile dans l’attitude 62 1, I | menace ; l’Angleterre~ ~Agite gibelins et guelfes ; le 63 1, VI | vous pillez la mère à l’agonie !~ ~Elle pleure, et, levant 64 1, I | a dit l’empereur ? et qu’ai-je répondu ?~ ~Je n’ai pas 65 1, III | main tremble. Il faut m’aider, me secourir…~ ~ ~ ~Il tire 66 1, III | croirais pas, quoique j’aie eu la joie~ ~De te voir 67 1, IV | flacons pleins de vin, des aiguières d’or et des plateaux chargés 68 1, III | bandits jaloux,~ ~Je vous aimai. Mes yeux, madame, allaient 69 1, IV | au soleil et le fer à l’aimant.~ ~Tout ce qu’il a promis, 70 Per | surtout deux cœurs qui s’aiment ; et qu’un couple chaste 71 1, III | devant elle.~ ~ ~ ~Mais je t’aimerai ! mais je t’adorerai !~ ~ 72 1, III | délivrances ?~ ~Si tu nous aimes !…~ ~ ~OTBERT.~ ~ ~ ~Dieu !~ ~ ~ ~ 73 1, III | aurions pu vivre, ensemble, aimés, heureux !~ ~Mon Otbert, 74 1, III | Rêve !~ ~Non, vous ne m’aimez pas, Otbert ! La nuit se 75 1, IV | tous ici tout ce que vous aimiez,~ ~Tout ce qu’avait saisi 76 1, III | Laisse-moi te contempler à l’aise !~ ~– Tu parlais tout à 77 Not, A | ne contient pas, il est aisé de s’en convaincre à la 78 Per | penseur.~ ~ ~ ~On comprendra aisément qu’au milieu de ces contemplations 79 Per | qu’il lui soit permis d’ajouter, dans le choix de tous les 80 Not, C | partout superbe et dramatique. Ajoutons qu’il y a dans le rôle de 81 1, V | de loup dont la gueule s’ajuste sur sa tête.~ ~ ~ ~Derrière 82 1, VI | sept cités lombardes ;~ ~Albert l’Ours m’opposait dix mille 83 Per | Callidrome, à travers la mer des Alcyons, un vent lointain, venu 84 1, III | Pourquoi donc êtes-vous allée à ce festin ?~ ~ ~ ~RÉGINA.~ ~ ~ ~ 85 1, VI | en Allemagne encor deux Allemands :~ ~Vous et moi. – Vous 86 1, IV | mariage-là. Certe, on peut allier~ ~Le franc-archer Otbert 87 1, VI | méditation sombre. Une lanterne allumée est posée sur la dalle à 88 1, I | Haute-Lorraine est aux comtes d’Alsace,~ ~Et la Basse-Lorraine 89 1, VI | paîront cent mille marcs d’amende.~ ~ ~ ~Au comte Lupus.~ ~ ~ ~ 90 1, VI | épée.~ ~ ~ ~Rends-nous nos amis morts, qui hantent nos donjons~ ~ 91 Per | générations qui les suivent, amoindries par leurs vices croissants, 92 1, IV | avec tendresse.~ ~ ~ ~Mes amoureux,~ ~Dites-moi seulement que 93 Per | la pensée, dans toute son ampleur et dans toute sa puissance, 94 1, V | guerroyait, maintenant on s’amuse.~ ~Jadis c’était la force, 95 Per | poëtes, il explorait quelque ancien édifice démoli. Quelquefois 96 1, I | on distingue encore leurs anciennes professions.~ ~ ~ ~ 97 1, III | détesté,~ ~Où les crimes anciens aux nouveaux se confrontent,~ ~ 98 1, I | Cependant le Danois menace ; l’Angleterre~ ~Agite gibelins et guelfes ; 99 1, II | sur elle un regard plein d’angoisse et d’amour. Edwige la suit. 100 Not, C | convertir en des figures animées et vivantes les silhouettes 101 1, IV | pôles étoilés ;~ ~De durs anneaux de fer dans ma chair sont 102 Per | Quelles que soient les antipathies momentanées et les jalousies 103 Per | et fantasque promenade d’antiquaire et de rêveur.~ ~ ~ ~La vie 104 Per | que la guerre des titans antiques. Les titans sont des mythes, 105 1, I | lentement démembré,~ ~D’Anvers à Ratisbonne, et de Lubeck 106 1, III | Hatto !~ ~ ~ ~RÉGINA, l’apaisant.~ ~ ~ ~Plus bas. Il eût 107 Per | le flanc du Pélion. Il n’apercevait pas à l’horizon l’immense 108 1, V | entre eux, ne les ont pas aperçus.~ ~ ~ ~ 109 1, III | Mon Otbert ! du sépulcre aplanis-moi l’entrée.~ ~Faut-il te dire 110 Not, C | deuxième acte, dans son apostrophe aux burgraves, il soulève 111 Per | mille Océanides éplorées lui apparaissaient en foule dans les nuées 112 1, IV | au seuil de l’enfer deux apparitions,~ ~Vous, enfants dont le 113 1, IV | je le saisis ! – Tu vas m’appartenir.~ ~Ne perds pas désormais, 114 1, V | sombre sur lesquels ont apparu deux vieillards, l’un âgé 115 Per | des fantômes. Ces fantômes apparurent à l’auteur. Des châteaux 116 Per | qu’on vient de dérouler apparut à l’auteur, il songea sur-le-champ 117 Per | princes bandits un empereur apparût ; que dans une œuvre de 118 1, VII | défi de haine,~ ~Comme un appel funèbre aux peuples qu’on 119 1, III | Pourtant,~ ~Souvent vous m’appelez mon fils !~ ~ ~ ~JOB.~ ~ ~ ~ 120 1, IV | passé, mes maux, toujours appesantis,~ ~Vont retomber sur moi ?~ ~ ~ ~ 121 1, VII | L’échelle de l’Empire appliquée à son mur ?~ ~Vous a-t-on 122 Per | venu de la Sicile, lui apportait l’aboiement vivant et terrible 123 1, VI | vieux Job est esclave et t’apporte sa tête.~ ~Maintenant, si 124 Per | tout ce qu’elles peuvent apprendre à un penseur.~ ~ ~ ~On comprendra 125 1, II | croissante. Jossius s’est approché des premiers dès qu’il a 126 1, VI | dont le pâtre abhorrait les approches,~ ~Le monde entier m’a cru 127 1, VI | et quelques pages se sont approchés de la fenêtre et regardent 128 1, IV | Ensemble, l’un sur l’autre appuyant votre marche,~ ~De la vieille 129 1, III | EDWIGE.~ ~ ~ ~OTBERT.~ ~ ~ ~Appuyez-vous sur moi. – Là, marchez doucement.~ ~– 130 1, VI | hantent nos donjons~ ~Quand l’âpre vent des nuits pleure à 131 1, II | lors il a sur ce manoir~ ~Arboré pour jamais ce sombre drapeau 132 1, VI | prenez les plus grands arbres,~ ~Et sur ce mont, qui jette 133 1, I | yeux ardents,~ ~Veillent l’arc et la lance au poing, l’ 134 1, III | suis le vieux Satan, sois l’archange vainqueur !~ ~ ~ ~OTBERT, 135 Per | passion que comprendront les archéologues et les poëtes, il explorait 136 1, VI | Le sais-tu ? Tu te dis l’archer Otbert.~ ~ ~ ~Aux seigneurs.~ ~ ~ ~ 137 1, VII | trêves,~ ~Le comte palatin, l’archevêque de Trèves,~ ~Et, depuis 138 1, I | partout, bandits aux yeux ardents,~ ~Veillent l’arc et la 139 Per | quelque escalier de lave et d’ardoise, et il montait jusqu’au 140 1, V | LE CAPITAINE.~ ~ ~ ~L’argentier juif Perez~ ~N’a point encor 141 1, VI | milles d’ici,~ ~À toute arme, en champ clos, sans délai, 142 1, II | peut voyager que par bandes armées.~ ~ ~ ~KUNZ.~ ~ ~ ~Par les 143 1, IV | clairons, trompettes, hérauts d’armes.~ ~ ~ ~ 144 1, VI | triple ligne de soldats armés jusqu’aux dents, au-dessus 145 1, VI | Sans quartier, réservés d’armet et de bavière,~ ~À face 146 1, V | grande bannière noire sans armoiries.~ ~ ~ ~Otbert, les yeux 147 1, VII | jamais,~ ~Ni la guerre arrachant les burgs de leurs sommets,~ ~ 148 1, III | Pour pouvoir à jamais l’arracher de ton cœur !~ ~Si, quand 149 Per | forêts déracinées, ces blocs arrachés et rompus, ces lacs changés 150 1, IV | Et brave. Dès longtemps j’arrange dans ma tête~ ~Ce mariage-là. 151 1, IV | on le pense !~ ~Voyons, arrangeons tout. Je crains Hatto. Silence !~ ~ 152 1, VI | OTBERT, tirant son épée et arrêtant du geste les soldats.~ ~ ~ ~ 153 Per | forme du drame une fois arrêtées, l’auteur résolut d’écrire 154 1, II | Job court vers eux. Ils s’arrêtent.~ ~ ~ ~JOB.~ ~ ~ ~Un cercueil !~ ~ ~ ~ 155 1, IV | heure où le soir tombe,~ ~J’arrivai, pâle et froide, en ce château 156 Per | gémissements du colosse arrivaient jusqu’à lui, passant ; et 157 1, VI | sur un plat d’or,~ ~S’il arrivait qu’un vieux passât devant 158 Per | le Maudit, cette âme qui, arrivée au bord de la tombe, ne 159 1, V | un signe, et derrière lui arrivent en foule les princes, les 160 1 | se perdre derrière le mur arrondi du donjon. À gauche, une 161 1, VI | empereur Isaac et le calife Arslan ;~ ~Celui qui, comprimant 162 Not, C | pas inutiles peut-être à l’art théâtral. Il expliquerait, 163 1, IV | te saisissant de sa main assassine,~ ~Il t’avait exposé dans 164 1, III | Venez sur ce fauteuil vous asseoir un moment.~ ~ ~ ~Il la conduit 165 1, II | l’outil qu’il tient et s’asseyant sur le degré de pierre en 166 1, V | Palais mystérieux qu’assiègent les tempêtes.~ ~Aux margraves, 167 1, II | leurs casques.~ ~Il fallait assiéger dehors, lutter dedans,~ ~ 168 1, II | souffert beaucoup, je vous assure.~ ~Je suis puni ! – Le jour 169 1, III | lis du gouffre, au seul astre de l’ombre !~ ~Oui, j’osai 170 Per | notre première patrie, comme Athènes était la première patrie 171 Per | de Sophocle. Ils étaient Athéniens comme nous sommes Français, 172 1, IV | esclave au pied, nu, mourant, attaché~ ~Comme une chose à vendre, 173 1, VI | de ses haillons une croix attachée à son cou et l’élève de 174 1, VI | mains d’esclaves~ ~Qu’ils attachent leur chaîne au cou de ces 175 1, I | nous défendre au jour d’une attaque hardie,~ ~Nous avons Ulm, 176 1, IV | veux.~ ~Mais, au moment d’atteindre à ce but si terrible,~ ~ 177 1, IV | libre,~ ~Vendu, pour qu’on t’attelle aux barques sur le Tibre !~ ~ 178 1, VI | dans les plaines,~ ~Puis attendaient, debout dans l’ombre, un 179 1, IV | arrache de leurs bras.~ ~ ~ ~Attendez-moi céans.~ ~ ~ ~À Otbert.~ ~ ~ ~ 180 1, VI | burgraves.~ ~ ~ ~Ah ! vous n’attendiez point ce réveil, n’est-ce 181 1, III | GUANHUMARA.~ ~ ~ ~L’on t’attendra ce soir.~ ~ ~ ~À minuit.~ ~ ~ ~ 182 1, IV | le vieillard en a l’âme attendrie,~ ~Que je vois bien qu’on 183 1, VII | sans lois,~ ~Tout chargé d’attentats, tout éclatant d’exploits,~ ~ 184 1, VI | Magnus s’incline, examine attentivement le bras du mendiant, puis 185 1, III | son dernier flambeau,~ ~Aube qui blanchissez le seuil 186 Not, C | Mélingue n’a reculé devant aucune des difficultés de son rôle. 187 1, I | hardie,~ ~Nous avons Ulm, Augsbourg, closes de mauvais pieux !~ ~ 188 1, III | Je me suis retenu, j’aurais tout briser ! –~ ~Je 189 1, III | est affreux !~ ~Quand nous aurions pu vivre, ensemble, aimés, 190 1, III | enflamme.~ ~Nous sommes en automne et nous sommes au soir.~ ~ 191 Per | personnages, ce que la légende autorise ; qu’il serait beau peut-être 192 1, VI | indignation. Job les regarde avec autorité.~ ~ ~– Moi d’abord.~ ~ ~ ~ 193 Per | sinistre. Il y avait eu là autrefois des géants ; il y avait 194 1, VI | étant châtié, puis châtier autrui.~ ~ ~ ~Il aperçoit les deux 195 1, II | Lubeck. Les prisonniers s’avancent lentement par groupes séparés, 196 1, II | Tu ne m’as pas senti m’avancer en rampant.~ ~Éveille-toi, 197 Per | esprit, le même but, le même avenir. D’ailleurs, la France, 198 1, VI | l’exil, les fers, mille aventures,~ ~Les juges, les cachots, 199 1, VI | pied, partout, ici, dans l’avenue,~ ~Deux poignards dans les 200 1, IV | maintenant, écoute,~ ~Je t’avertis au seuil de cette affreuse 201 1, IV | vengeance.~ ~Je vais, fantôme aveugle, au but marqué d’avance ;~ ~ 202 1, VI | De mon temps, – nous avions aussi notre folie,~ ~Nos 203 Per | Car c’est là, à notre avis, une condition suprême. 204 1, III | Morne sérénité des voûtes azurées !~ ~Ô nuit dont la tristesse 205 1, II | en bas, criblés de coups, baignés de sang,~ ~Les barons combattaient, 206 1, VI | colliers de fer. Le soldat baisse la tête et détourne les 207 1, VI | nous verrez, flétris, l’œil baissé, l’âme pleine~ ~De ce regret 208 1, V | descend sous la visière à demi baissée de leurs heaumes. Ces écuyers 209 1, VI | voleurs !~ ~ ~ ~Les burgraves baissent la tête avec une sombre 210 1, V | Otbert, les yeux baissés, est auprès du plus vieux, 211 1, VI | dans l’ombre du gouffre,~ ~Balançait ces guerriers, moins hommes 212 1, III | insensé ! qui doute et qui balance encore~ ~Entre un haillon 213 1, III | moi mourir ! – Quoi ! tu balances !~ ~Quand tu peux d’un seul 214 1, VI | se change en courroux,~ ~Balayer – j’en réponds – ces hordes 215 1, VI | toi, duc ! Tu t’en iras à Bâle ;~ ~Nous y convoquerons 216 Per | entendait mugir Céto, la femme baleine ; et à l’occident, par-dessus 217 1, II | ne peut voyager que par bandes armées.~ ~ ~ ~KUNZ.~ ~ ~ ~ 218 1, VI | hardis, devant les plus barbares ;~ ~Et, quels qu’ils soient, 219 Per | et fatale où commence la barbarie. Un jour, espérons-le, le 220 1, II | bourgeois et marchands, barbes grises ; JOSSIUS, vieux 221 1, VI | souvienne~ ~De Henri le Barbu, d’Ernest le Cuirassé.~ ~ 222 1, IV | pour qu’on t’attelle aux barques sur le Tibre !~ ~Suppose 223 1, VI | père, que voici ! –~ ~Lui barrant le chemin dans une cour 224 1, VI | femmes l’emportent. Otbert barre le passage aux archers, 225 1, I | comtes d’Alsace,~ ~Et la Basse-Lorraine aux comtes de Louvain.~ ~ 226 1, IV | maison, mes enfants… – Haine, bassesse, audace !~ ~Hatto contre 227 1, VII | Poursuit, provoque et bat, sans relâche et sans trêves,~ ~ 228 1, II | ses braves :~ ~Vous avez bataillé contre ces mécréants !~ ~ 229 1, VI | captives,~ ~Gibets impériaux bâtis pour les vautours~ ~Sur 230 1, II | Oh ! Si tu sens un cœur battre dans ta poitrine !…~ ~ ~ 231 1, VI | Maintenant, si des fronts qu’a battus la tempête~ ~Méritent la 232 1, I | Moraves,~ ~Des Francs, des Bavarois, mais pas un Allemand.~ ~ 233 1, III | tremblants,~ ~Quand ses beaux cheveux noirs seront des 234 Per | monstrueux vautour essuyer son bec d’airain aux granits sonores 235 1, IV | étais pas au monde.~ ~– Il bégayait déjà les mots dont on sourit.~ ~ 236 Not, C | restera comme une de ses plus belles créations, être tour à tour 237 1, V | importe, aimons !~ ~ ~ ~Belzébuth, qui frappe à ma porte,~ ~ 238 1, IV | du ciel ! J’allais à son berceau sans cesse.~ ~Même quand 239 1, I | Les Vandales ont pris Berlin. Ah ! quel tableau !~ ~Les 240 Per | patriarches comme dans la Bible, des chasseurs d’hommes 241 1, III | le dis ! –~ ~Otbert, mon bien-aimé, non, tu n’es pas mon fils !~ ~ ~ ~ 242 1, III | Dieu ! Donnez-lui tous vos biens,~ ~De longs jours comme 243 1, V | écarlate3.~ ~La ville de Bingen, qui me craint et me flatte,~ ~ 244 Per | fois par passion comme son bisaïeul, par férocité comme son 245 1 | piliers bas, à chapiteaux bizarres, portant un deuxième étage ( 246 1, VI | tordait au flanc des monts !~ ~Blâmait-on ces assauts de nuit, ces 247 1, III | Sigismond tua Boleslas. Qui l’en blâme ?~ ~Mon Otbert ! le remords, 248 1, V | moins vieux, dont la barbe blanchie descend sous la visière 249 1, I | tonnerre,~ ~Ces monts ont vu blanchir leur bandit centenaire ;~ ~ 250 1, III | dernier flambeau,~ ~Aube qui blanchissez le seuil de son tombeau !~ ~ 251 1, VI | ce nom abhorré ! –~ ~Nos blasons sont cachés sous l’herbe 252 1, VI | Fussent-ils plus épais que les blés sur la plaine,~ ~Vous nous 253 1, VI | La lueur des festins blesse leurs yeux sévères.~ ~Les 254 1, VII | purs comme le ciel est bleu,~ ~Vivez, riez, chantez ! – 255 1, VI | vous encor,~ ~Autour d’un bœuf entier posé sur un plat 256 1, III | eûtes un enfant qu’une femme bohème~ ~Vola. – Vous l’avez dit 257 1, V | bon, marquis !~ ~ ~ ~Il boit.~ ~ ~ ~HATTO.~ ~ ~ ~Pardieu ! 258 1, IV | Chaque soir qu’elle en boive une goutte,~ ~Elle vivra.~ ~ ~ ~ 259 1, IV | verre en main. Ils causent, boivent et rient par groupes au 260 1, III | hideux,~ ~Saint Sigismond tua Boleslas. Qui l’en blâme ?~ ~Mon 261 1, II | étudiants de l’université de Bologne et de l’école de Mayence ; 262 Not, C | exemple, des moments de bonhomie et de familiarité que ce 263 1, VI | Que vous a-t-il donc fait, bonhomme ?~ ~ ~ ~MAGNUS.~ ~ ~ ~Ô 264 Per | croit avoir fait ; il se borne à expliquer ce qu’il a voulu 265 1, VI | éclatant de rire.~ ~ ~ ~Un bouffon manquait à cette fête.~ ~ 266 1, VI | Fort bien ! –~ ~Pas un n’a bougé ! vois. C’est qu’ici tu 267 1, III | moi, moi, je sentais, à bouillonnements sourds,~ ~De mon cœur à 268 Per | aujourdhui, dans la Thessalie bouleversée, que la secousse d’un tremblement 269 1, VI | Félons ! ravageurs de bourgades !~ ~Ma mort vous fait renaître. 270 1, II | grand mur d’un air morne et bourru.~ ~Je détournai les yeux, 271 1, VI | affront moins grand. Puisqu’à bout on me pousse…~ ~ ~ ~MAGNUS, 272 1, I | Deux songes aux deux bouts du sort. – Le premier ment.~ ~ 273 1, I | le Lorrain~ ~Trahit ; le Brabant gronde ; un feu couve à 274 Per | invisible ; mais à travers les branchages des vieux chênes les gémissements 275 1, IV | de l’ouragan courbant les branches d’arbre,~ ~Sur ce pavé fatal 276 1, IV | sans gambessons et sans brassards, et le verre en main. Ils 277 1, V | chemise de fer, jambières et brassières de mailles, la grande épée 278 1, VII | Et qu’affrontant le ciel, bravant la destinée,~ ~Depuis qu’ 279 1, I | à Dantzig ! les Mogols à Breslau !~ ~Tout cela dans l’esprit 280 1, II | Le noir fourmillement des brigands qui renaissent.~ ~ ~ ~KUNZ.~ ~ ~ ~ 281 1, II | Les électeurs entre eux de brigues se repaissent.~ ~ ~ ~HERMANN.~ ~ ~ ~ 282 1, IV | front de tant de clarté brille,~ ~Toi, jeune homme vaillant ; 283 1, I | Cache sous son manteau son briquet et sa pierre.~ ~Les Vandales 284 1, II | bourreaux~ ~Avec sa main d’acier brisa ces trois barreaux.~ ~ ~ ~ 285 1, VI | mille hallebardes,~ ~Je le brisai ; mes pas sont dans tous 286 1, VI | l’épée à la main, seul, brisant une porte,~ ~Criant tout 287 1, IV | vous marie !~ ~Hatto te briserait, ma pauvre fleur chérie !~ ~ 288 1, VI | distingue trois barreaux brisés et comme violemment écartés. 289 Not, C | l’église de Fribourg en Brisgau le vieux Berthold de Zaehringen, 290 1, VI | avec une hache d’argent brodée dans le champ de gueules, 291 Not, C | de Hatto. Mesdemoiselles Brohan et Garrigue ont su, à force 292 1, I | objets réels, perdus sous un brouillard,~ ~Devant mon œil troublé, 293 Per | une ogive, tandis que les broussailles de la ruine, joyeusement 294 Per | pieds de pierre, faites broyer le cœur humain.~ ~ ~ ~Ainsi 295 1, III | le vois, le sang tache et brûle.~ ~ ~ ~GUANHUMARA.~ ~ ~ ~ 296 1, VI | lambeaux, et d’un grand manteau brun troué ; il a la tête nue, 297 1, VI | vêtu d’une robe de bure brune à capuchon en lambeaux, 298 1, II | Erfurth est pour Brunswick.~ ~ ~ ~GONDICARIUS.~ ~ ~ ~ 299 1, II | dans ta demeure ;~ ~Elle a bu, grâce à moi, d’un philtre 300 1, VI | nos fêtes,~ ~Quand nous buvions, chantant plus haut que 301 Per | derrière la vitre misérable des cabanes, dans l’ombre, sous nos 302 1, II | mon pouvoir.~ ~ ~ ~JOB, se cachant le visage de ses mains.~ ~ ~ ~ 303 1, IV | père et ton roi,~ ~M’avait caché chez toi. Dans quel but ? 304 1 | seule, vieille, à demi cachée par un long voile noir, 305 1, VI | aventures,~ ~Les juges, les cachots, les greffiers, les tortures,~ ~ 306 1, III | enfant dans un festin.~ ~Son cadavre me fut rapporté. Ce matin~ ~ 307 1, IV | Devant ma solitude et ma calamité ! –~ ~Je viens de te conter 308 1, VI | L’empereur Isaac et le calife Arslan ;~ ~Celui qui, comprimant 309 Per | occident, par-dessus le mont Callidrome, à travers la mer des Alcyons, 310 Per | les déchirures des monts Cambuniens, la tête difforme du géant 311 1, IV | fois,~ ~Tout en toi, ta candeur, ton air, tes yeux, ta voix,~ ~ 312 1, III | voyez-vous pas que j’en serais capable !~ ~Savez-vous que je n’ 313 Per | eu tout autre chose qu’un caprice de l’imagination dans le 314 Per | fantaisie, le produit d’un élan capricieux de l’imagination. Loin de 315 1, IV | le page du vieux comte.~ ~Captif, tant qu’il vivra, près 316 1, III | plus roi ;~ ~Ma famille est captive et ma tour est tombée ;~ ~ 317 1, VI | Nos sœurs et nos filles captives,~ ~Gibets impériaux bâtis 318 1, VI | une robe de bure brune à capuchon en lambeaux, et d’un grand 319 1, VI | hache : MONTI COMAM, VIRO CAPUT. L’empereur, sans reculer 320 1, I | la chaîne au pied, et le carcan au cou,~ ~En haillons et 321 1 | situées aux quatre points cardinaux. Au lever du rideau, on 322 1, VI | tours,~ ~Assauts, guerre et carnage à tous tant que nous sommes,~ ~ 323 1, II | Je crois, dans tous les cas,~ ~Qu’ici dans les caveaux 324 1, VI | barons et serfs, fronts casqués et pieds nus,~ ~Chasseurs 325 1, I | moyen d’entrer dans cette catacombe,~ ~Ce corridor secret, ou 326 1, IV | Et vous vous marîrez à Caub.~ ~ ~ ~Guanhumara, qui a 327 1, V | Les convives, occupés et causant entre eux, ne les ont pas 328 1, IV | et le verre en main. Ils causent, boivent et rient par groupes 329 1, II | Front mort, main froide, œil cave.~ ~Oui, mon nom est charmant 330 1, I | noir repli de ce burg si célèbre,~ ~Voyaient l’intérieur 331 1, VII | souffle abat les sapins centenaires,~ ~Remplit d’événements, 332 1, VII | a-t-on dit qu’il touche à sa centième année,~ ~Et qu’affrontant 333 1, II | fiévreux qui voit dans son cerveau~ ~Où flottent des lueurs 334 1, VI | Soudain on remplissait, cessant tout propos vain,~ ~Un casque 335 1, VI | empereur sans trouble, et n’a cessé de le regarder fixement 336 Per | Ossa, il entendait mugir Céto, la femme baleine ; et à 337 1, VI | assistants.~ ~ ~ ~Quant à ceux-ci, je les ai laissés dire.~ ~ 338 1, VI | Vous ! – comme des chacals et comme des orfraies,~ ~ 339 Per | intérieure, on verra que chacune de ces trois parties correspond 340 1, VI | silence et détachent les chaînes des prisonniers, qui, pendant 341 1, I | Rome~ ~Rêve, assis dans sa chaire, incertain et hautain ;~ ~ 342 1, I | et doute ;~ ~Je marche en chancelant, comme au hasard ; ma route~ ~ 343 1, IV | de la galerie à gauche, chancelante, soutenue par les deux hommes 344 1, II | homme fantasque,~ ~Ayant changé de nom comme on change de 345 1, I | Je rêve… – La douleur, se changeant en folie,~ ~Finit par enivrer 346 Per | arrachés et rompus, ces lacs changés en marais, ces montagnes 347 1, I | partout. En chantant sa chanson,~ ~Tout zingaro qui passe 348 1, II | Les passereaux joyeux chantaient sous ma fenêtre,~ ~Les fleurs 349 1 | par moments des chansons chantées à pleines voix au cliquetis 350 1, VII | est bleu,~ ~Vivez, riez, chantez ! – Sinon, pensez à Dieu !~ ~ 351 1, VI | réveil, n’est-ce pas ?~ ~Vous chantiez, verre en main, l’amour, 352 1, VI | Du sel comme à Lubeck, du chanvre comme à Pise ?~ ~Mais quoi ? 353 1, IV | Otbert.~ ~ ~ ~Gunther, mon chapelain, vous suivra. J’ai l’espoir~ ~ 354 1, VI | ceinture de cordepend un chapelet à gros grains, des chaussures 355 1 | cintres, à piliers bas, à chapiteaux bizarres, portant un deuxième 356 1, VII | homme sans lois,~ ~Tout chargé d’attentats, tout éclatant 357 1, VI | tombedormait le grand Charles ;~ ~J’en ai fait pénitence ; 358 1, I | Ils ont tué Philippe, et chassé Ladislas,~ ~Empoisonné Heinrich ! 359 1, IV | de fouet devant eux m’ont chassée.~ ~Maintenant, c’est fini. 360 Per | sa méditation passa aux châtelains qui sont dans la chronique, 361 1, VI | aujourdhui,~ ~Et, m’étant châtié, puis châtier autrui.~ ~ ~ ~ 362 1, VI | contemple avec effroi~ ~Ces chats-tigres hideux qui descendent de 363 1, I | qui passe au seuil d’une chaumière,~ ~Cache sous son manteau 364 1, VI | chapelet à gros grains, des chaussures de corde à ses pieds nus. 365 1, VI | J’ai fait pendre les chefs des sept cités lombardes ;~ ~ 366 Per | pas, et les plus imposants chefs-dœuvre de la tragédie proprement 367 1, VI | mes pas sont dans tous les chemins ;~ ~J’ai démembré Henri 368 1, V | blanche ; tous deux ont la chemise de fer, jambières et brassières 369 1, VI | peuple, hélas ! qui m’est si cher,~ ~Et vous vous partagiez 370 1, II | avais l’âme en joie, et je cherchais des yeux~ ~Tout ce qui m’ 371 1, VI | ans de guerres,~ ~Quand on cherchait des yeux tous ces faiseurs 372 1, IV | briserait, ma pauvre fleur chérie !~ ~Quand ta mère mourut, 373 1, II | de Bavière,~ ~Poussa son cheval noir jusque dans la rivière,~ ~ 374 1, VI | toujours présente à son chevet,~ ~Et qui, même rouillée, 375 Per | plus seul encore, car aucun chevrier n’oserait se hasarder dans 376 Per | surnaturelles, ces grossissements chimériques que l’œil des visionnaires 377 1, III | prière !~ ~Ne me laisse pas choir sous cette froide pierre !~ ~ 378 1, II | Otbert le sait. C’est lui qui choisira.~ ~ ~ ~Elle étend sa main 379 1, VI | regard serein ;~ ~Celui que choisissaient pour juge souverain,~ ~Comme 380 1, II | entrés. – À Job.~ ~ ~ ~Qu’il choisisse, elle ou toi ! – Si tu veux 381 1, VI | yeux sévères.~ ~Les vieux choquaient l’épée ; enfants ! choquez 382 1, VI | choquaient l’épée ; enfants ! choquez les verres !~ ~Mais loin 383 Per | châtelains qui sont dans la chronique, dans la légende et dans 384 1, VI | couvert d’or du talon au cimier,~ ~Surgissant au sommet 385 1, V | extraordinaire dont les cimiers figurent des gueules d’animaux 386 1, VI | sombre, à voûte basse et cintrée, d’un aspect humide et hideux. 387 1 | promenoir roman à pleins cintres, à piliers bas, à chapiteaux 388 1 | Cette galerie, qui était circulaire, se développait autour du 389 1, VI | semblent deux statues. Le vin circule et les rires recommencent.~ ~ ~ ~ 390 1, IV | groupes au milieu desquels circulent des pages portant des flacons 391 1, III | témoin ; – et vous, murs, citadelle,~ ~Chênes qui versez l’ombre 392 1, I | argent. Tout est mort, pays, cité, faubourg.~ ~Comment finira-t-on 393 1, VI | pendre les chefs des sept cités lombardes ;~ ~Albert l’Ours 394 Per | espérons-le, le globe entier sera civilisé, tous les points de la demeure 395 1, II | orfraie,~ ~Son regard profond, clair et terrible parfois,~ ~Sa 396 1, VI | musique en tête et sonnant du clairon,~ ~Face à toute une armée 397 1, IV | dont le front de tant de clarté brille,~ ~Toi, jeune homme 398 1, I | Hollande, Luxembourg, Clèves, Gueldres, Juliers…~ ~– 399 1, VI | des modes espagnoles.~ ~Clinquant ! soie ! – Un serment, avec 400 1 | chantées à pleines voix au cliquetis des verres. Plus près on 401 1, VI | Au fond de ton cœur vil, cloaque d’immondices,~ ~La peur, 402 Per | minuit avait sonné à tous les clochers de la vallée qu’il était 403 1, VI | À toute arme, en champ clos, sans délai, sans merci,~ ~ 404 1, I | Nous avons Ulm, Augsbourg, closes de mauvais pieux !~ ~L’œuvre 405 1, I | dont on peut s’approcher,~ ~Cloué, dernier burgrave, à son 406 Per | forêts vertigineuses du mont Cnémis, croyait voir partout, la 407 1, I | front tranquille,~ ~Vendu Cœur-de-Lion comme ils vendraient Achille !~ ~ 408 1, I | À la première voix au collège, après Trève ;~ ~Il la vend. 409 Not, C | de Zaehringen, ou de la collégiale de Francfort le formidable 410 1, VI | prendre un pauvre homme au collet ;~ ~Le coup fait, vous fuyez 411 1, VI | lui mettre au cou un des colliers de fer. Le soldat baisse 412 1, IV | Car, vois-tu, ma colombe,~ ~Je soulève un moment 413 Per | que le combat a être colossal. Là, en effet, il y a six 414 1, II | est double, et ses tours colossales~ ~Ont plus d’une caverne 415 1, IV | tous deux l’arche !~ ~Ô colosses ! le monde est trop petit 416 1, VI | légende sous la hache : MONTI COMAM, VIRO CAPUT. L’empereur, 417 Per | grande, qu’on sent que le combat a être colossal. Là, 418 1, II | baignés de sang,~ ~Les barons combattaient, et laissaient, en poussant~ ~ 419 1, III | fond de mon cœur pour voir combien je t’aime !~ ~Je te bénis. – 420 Per | poëte doit au peuple. La comédie même, quand elle se mêle 421 Not, C | fait tant d’honneur à la Comédie-Française. Jamais pièce n’a été montée 422 Not, C | comme peintre et comme comédien, est deux fois artiste et 423 Per | ce que nous avons dit en commençant de la Thessalie, on peut 424 Per | ligne sombre et fatalecommence la barbarie. Un jour, espérons-le, 425 Not, A | continuer une conversation déjà commencée. Les autres les suivent 426 Per | sublime et au pathétique, commencer par l’épopée et finir par 427 1, II | avec fureur,~ ~Il cria : Commençons par sauver l’empereur !~ ~ ~ ~ 428 1, IV | OTBERT.~ ~ ~ ~Je commettrais un crime. Es-tu contente ?~ ~ ~ ~ 429 1, II | se confondent dans une commune attention.~ ~ ~ ~KARL.~ ~ ~ ~ 430 1, III | unissant par nos douleurs communes,~ ~Eût pu faire un bonheur 431 1 | quatre grandes portes de communication. À droite, une haute et 432 1 | autour du grand donjon, et communiquait avec le reste du château 433 1, IV | la voix.~ ~ ~ ~Mon donjon communique aux fossés du château.~ ~ 434 Per | supposant qu’il soit permis de comparer ce qui est petit à ce qui 435 1, VII | rude et sévère. Armures complètes adossées à tous les piliers.~ ~ ~ ~ 436 Per | L’auteur résolut donc de composer son drame en trois parties. 437 Not, C | fallait tout à la fois une composition savante et une inspiration 438 Per | avec cette passion que comprendront les archéologues et les 439 1, VI | qu’au même instant, – tu comprends, Barberousse, –~ ~Où le 440 1, IV | Sois mon fils. – Comprends-tu ?~ ~Toi, brave enfant, épris 441 Per | ils sont grands, nous les comprenons parce qu’ils sont réels. 442 1, VI | calife Arslan ;~ ~Celui qui, comprimant Gênes, Pise, Milan,~ ~Étouffant 443 Per | a été d’ailleurs si bien comprise qu’il est presque réduit 444 1, II | depuis sont morts.~ ~Ceux qui comptent cent ans avaient trente 445 1, II | a rien de mauvais ;~ ~Tu comptes follement sur mon Otbert…~ ~ ~ ~ 446 1, VI | comtesse Isabelle a perdu sa comté ;~ ~Le larron, c’est toi, 447 1, VII | diète à Francfort, par le concile à Pise,~ ~Mis hors du saint-empire 448 Per | dénoûment, grande et morale conclusion, à son sens du moins, faire 449 1, IV | vignes ! Je pardonne~ ~Aux condamnés à mort dans ce burg gémissants !~ ~ 450 Per | est là, à notre avis, une condition suprême. Quel que soit le 451 Per | y a quelques années, le conduisit sur les bords du Rhin. La 452 1, IV | princes et les burgraves, conduits par Hatto, tous couronnés 453 1, II | jeunes gens et vieillards, se confondent dans une commune attention.~ ~ ~ ~ 454 1, VI | Hatto. – Entre le mendiant, confondu dans la foule des assistants.~ ~ ~ ~ 455 1, III | anciens aux nouveaux se confrontent,~ ~Les miasmes du meurtre 456 1, III | plis funèbres ?~ ~Dites, connaissez-vous Régina, mon amour,~ ~Cet 457 1, VI | meilleurs,~ ~Étaient des conquérants ; vous êtes des voleurs !~ ~ ~ ~ 458 1, V | HATTO.~ ~ ~ ~Pillez ! pays conquis.~ ~ ~ ~LE CAPITAINE.~ ~ ~ ~ 459 Per | une tristesse fière : Je consacre mes œuvres au temps ; et 460 1, I | un meurtrier, jamais~ ~Sa conscience en deuil n’est dupe de sa 461 1, II | parle pas,~ ~Si tu veux, j’y consens.~ ~ ~ ~Elle détache son 462 Per | intitulé le Rhin, et sait par conséquent que ce voyage d’un passant 463 Per | conte et la légende, mais en conservant le fond de réalité humaine 464 Not, C | transformation même, elle a su conserver les lignes les plus sculpturales 465 1, IV | poignard. Job se lève et considère l’empereur. Guanhumara avance 466 Per | de responsabilité. Faire constamment effort vers le grand, donner 467 1, VI | Tous semblent frappés de consternation et de terreur. Depuis quelques 468 1, IV | heure ici,~ ~Quand tes yeux contemplaient Régina, ton souci,~ ~Hatto 469 Per | jadis sur ces rochers, il contemplait avec une stupeur religieuse 470 1, V | qui, absorbés dans leur contemplation d’eux-mêmes, ne voient rien 471 Per | aisément qu’au milieu de ces contemplations et de ces rêveries les burgraves 472 1, I | ainsi que sur leur race,~ ~Contemplent, seuls, et loin des rires 473 1, III | front pur ! Laisse-moi te contempler à l’aise !~ ~– Tu parlais 474 Per | burg les trois choses qu’il contenait : une forteresse, un palais, 475 Per | elle se mêle au drame, doit contenir une leçon, et avoir sa philosophie. 476 1, IV | commettrais un crime. Es-tu contente ?~ ~ ~ ~GUANHUMARA.~ ~ ~ ~ 477 1, II | crime à l’innocent.~ ~Femme, contente-toi d’une seule victime.~ ~Un 478 1, IV | calamité ! –~ ~Je viens de te conter mon histoire. Est-ce infâme ?~ ~ 479 1, I | au vieux monde allemand~ ~Contera ce prodige et cet écroulement,~ ~ 480 Not, A | exposition de cet ouvrage, ne contient pas, il est aisé de s’en 481 Not, A | entrent ensemble, et semblent continuer une conversation déjà commencée. 482 1, VI | les continuons. – Vous les continuez ?~ ~Vos pères, toujours 483 1, III | Plus bas. Il eût pu me contraindre,~ ~Je lui suis fiancée.~ ~ ~ ~ 484 1, III | genoux devant toi,~ ~Ne point contrarier ta fièvre et ton délire,~ ~ 485 Per | point assez de crayonner le contraste des pères et des enfants, 486 Not, A | pas, il est aisé de s’en convaincre à la lecture, un détail 487 Per | Il vivait là, il doit en convenir, beaucoup plus parmi les 488 Not, A | et semblent continuer une conversation déjà commencée. Les autres 489 Not, C | force de grâce et d’esprit, convertir en des figures animées et 490 1, III | qu’à finir tout semble convier,~ ~Moins héros que brigand, 491 1, V | princes captifs les princes conviés !~ ~Eh bien ! c’est un beau 492 1, VI | en iras à Bâle ;~ ~Nous y convoquerons la chambre impériale,~ ~ 493 Per | figurer les hommes ; du coquillage on peut conclure le mollusque, 494 1, VI | ton nom, tu pris Tarse et Cori,~ ~Il t’a suffi d’un pas, 495 Per | volontiers au glorieux théâtre de Corneille et de Molière vient chercher 496 Per | chacune de ces trois parties correspond à l’un des trois sentiments 497 Per | et dans la profondeur des corridors, toutes ces formes vaguement 498 Per | comme son aïeul, et par corruption comme son père ; montrer 499 1, VII | duquel les monts sont des coteaux,~ ~Un château, renommé parmi 500 1, IV | vêtus de soie et d’or, sans cottes de mailles, sans gambessons 501 1, III | RÉGINA.~ ~ ~ ~Oui, le couchant s’enflamme.~ ~Nous sommes 502 Per | empreinte profonde et les coudes horribles des cent bras 503 1, VI | épines.~ ~Le Rhin déshonoré coule entre des ruines ! –~ ~Oh ! 504 1, IV | Toute l’eau de la nue~ ~A coulé sur mon front, et je suis 505 1 | fermée d’un vitrail haut en couleur. Près de la fenêtre, un 506 Per | esprit doit naître avec la coupe particulière et les divisions 507 Per | sentier de la montagne, coupé de temps en temps par quelque 508 1, VI | barrant le chemin dans une cour étroite,~ ~D’un trèfle au 509 1, II | enfant ! Quand j’y pense ! il courait dans les roses,~ ~Il jouait ! – 510 1, III | mes fils ; j’ai, la tête courbée,~ ~ sauver l’Allemagne, 511 1, I | fils des rois goths,~ ~Se courbent devant eux jusqu’à leur 512 1, VI | aux créneaux !~ ~Soldats, courez au bois ! taillez granits 513 1, IV | lents.~ ~ ~ ~Oui, je puis courir.~ ~Voyez, seigneur.~ ~ ~ ~ 514 1, I | Chacun de leur côté, couronnent qui les paie ;~ ~Et, comme 515 1, IV | dit-elle.~ ~J’ai répondu : Courons remercier Otbert.~ ~Nous 516 1, VI | regret amer qui se change en courroux,~ ~Balayer – j’en réponds – 517 1, II | Bientôt. Mais je cours, il m’attend.~ ~ ~ ~OTBERT, 518 1, II | le fond du théâtre. Job court vers eux. Ils s’arrêtent.~ ~ ~ ~ 519 1, VII | Ce sont des instants courts et douteux que les nôtres ;~ ~ 520 1, V | écuyers portent sur des coussins de velours écarlate les 521 1, II | capitaine aventurier, avec le coutelas et la grande épée ; Régina, 522 1, I | Brabant gronde ; un feu couve à Turin ;~ ~Philippe-Auguste 523 1, III | OTBERT.~ ~ ~ ~Ne craignez rien. Ils vont boire jusqu’ 524 Per | ce n’était point assez de crayonner le contraste des pères et 525 Per | certes, l’occasion d’une création majestueuse ; on pouvait, 526 Not, C | comme une de ses plus belles créations, être tour à tour simple 527 1, VI | Cuirassé.~ ~Nous gardons le créneau, vous, gardez le fossé !~ ~ ~ ~ 528 Per | le soir ; au moment où le crépuscule ôtait leur forme aux collines 529 1, I | Les électeurs épars, creusant chacun leur plaie ;~ ~Chacun 530 1, I | doigts de plomb dans le creux des paupières ;~ ~Ou, si 531 1, II | pleuvant avec fureur,~ ~Il cria : Commençons par sauver 532 1, II | me levant égarée,~ ~Je criai : – Je suis Corse ! – et 533 1, I | me mordant au cœur, me criait : Misérable !~ ~ ~ ~Levant 534 1, II | porte.~ ~En haut, en bas, criblés de coups, baignés de sang,~ ~ 535 1, II | pu vous le dire. –~ ~J’ai crié ce seul mot : Mon enfant 536 1, VI | cent voix avec transport~ ~Crier : Il est vivant ! l’écho 537 1, III | te dire tout ? Je suis un criminel.~ ~Ton épouse en ce monde 538 1, VI | frissonner tous en dressant ta crinière !~ ~ ~ ~GORLOIS, rentrant, 539 Per | religieuse la trace des ongles crispés d’Encelade sur le flanc 540 1, III | que je te voie.~ ~Tu ne le croirais pas, quoique j’aie eu la 541 Not, C | loup sur les épaules, on croirait voir sortir de l’église 542 1, III | habitude !~ ~Mon Dieu ! crois-moi, la lutte à mon âge est 543 1, VI | lui-même. Il est pris !~ ~ ~ ~Croisant les bras et regardant l’ 544 1, II | avec une curiosité toujours croissante. Jossius s’est approché 545 Per | amoindries par leurs vices croissants, vont s’enfonçant de plus 546 1, I | heure,~ ~C’est que tout a croulé dans ma haute demeure.~ ~ 547 1, I | Gueldres, Juliers…~ ~– Croulés ! – Plus de Pologne et plus 548 1, I | gloire.~ ~Les peuples me croyaient ivre de ma victoire ;~ ~ 549 Not, A | moins, sembler utiles. Nous croyons donc devoir donner ici, 550 1, III | les femmes vraiment~ ~Sont cruelles toujours, et rien ne leur 551 1, VI | Henri le Barbu, d’Ernest le Cuirassé.~ ~Nous gardons le créneau, 552 Per | placer et peindre, au point culminant de son œuvre, entre Barberousse 553 1, III | En vous, son dernier culte et son dernier flambeau,~ ~ 554 1, V | ma mère est morte,~ ~Mon curé me fait cent sermons. –~ ~ 555 1, II | et l’ont écouté avec une curiosité toujours croissante. Jossius 556 Per | ouvrir et flamboyer l’œil des cyclopes ensevelis dans les marais 557 1, II | poignard nu tombèrent sur ces dalles !~ ~Le meurtre est un semeur 558 1, III | vous je mourrais et je me damnerais !~ ~Je ne vous aime pas ! – 559 1, I | de guerre.~ ~Cependant le Danois menace ; l’Angleterre~ ~ 560 1, I | tableau !~ ~Les païens à Dantzig ! les Mogols à Breslau !~ ~ 561 1, V | PLATON.~ ~ ~ ~Pour t’en débarrasser comment as-tu pu faire ?~ ~ ~ ~ 562 1, IV | donc, cœur faible, bras débile !~ ~Je ne te parle pas, 563 1, II | montre à Job son visage décharné et lugubre.~ ~ ~ ~Tu vas 564 Per | herbes humides de rosée, il déchiffrait une inscription romane ou 565 1, VI | haillon incommode~ ~Qu’on déchire et qu’on jette en disant : 566 1, I | un patient qui, sanglant, déchiré,~ ~Meurt, par quatre chevaux 567 1, I | Aux vêtements souillés et déchirés des prisonniers, on distingue 568 1, VI | dans vos proies :~ ~Vous déchiriez mon peuple, hélas ! qui 569 Per | soulever au nord, dans les déchirures des monts Cambuniens, la 570 1, I | patrie !~ ~Que tes fils sont déchus, et de quels coups meurtrie,~ ~ 571 1, VI | aux assistants.~ ~ ~ ~Je déclare ici, la vérité m’y pousse,~ ~ 572 1, II | entrant au bouge obscur,~ ~Découpait un linceul sur la blancheur 573 1, VI | et de bavière,~ ~À face découverte, au bord de la rivière ;~ ~ 574 Per | parallélismes singuliers qu’il leur découvre. Ainsi, – pourvu néanmoins 575 1, II | assiéger dehors, lutter dedans,~ ~Percer avec l’épée et 576 1, I | dents.~ ~Tout protége et défend cet antre inabordable.~ ~ 577 1, I | souverain,~ ~Pied à pied défendit chaque roche du Rhin,~ ~– 578 1, I | Lombardie !~ ~Pour nous défendre au jour d’une attaque hardie,~ ~ 579 1, II | m’as ravie~ ~À la mort. Défends-moi de Hatto maintenant.~ ~ ~ ~ 580 1, VII | dresse sur sa tour, comme un défi de haine,~ ~Comme un appel 581 1, VI | de nuit, ces capitaines~ ~Défiaient l’empereur au grand jour, 582 1, VI | elle épouse.~ ~Hatto, je te défie, à pied, sur la pelouse~ ~ 583 1, VI | margrave,~ ~Pour m’oser défier ? Dis ton nom seulement,~ ~ 584 1, I | Les nœuds des États se défont.~ ~Je vois dans ce pays, 585 1, VI | autour du mendiant, qui dégage de ses haillons une croix 586 Per | grande échelle morale de la dégradation des races qui devrait être 587 1, VI | victoire,~ ~Et nos fils dégradés n’en savent plus l’histoire ! –~ ~ 588 1 | Toute la galerie a l’aspect délabré et inhabité. Les murailles 589 1, V | MARGRAVE PLATON, examinant le délabrement de la salle.~ ~ ~ ~Quel 590 1, VI | arme, en champ clos, sans délai, sans merci,~ ~Sans quartier, 591 1, III | en arrière,~ ~Plus que la délivrance et plus que la lumière !~ ~ 592 1, III | un seul coup faire deux délivrances ?~ ~Si tu nous aimes !…~ ~ ~ 593 1, III | aime point la main qui le délivre ;~ ~Mais ne me dis jamais 594 1, III | Dieu !~ ~ ~ ~JOB.~ ~ ~ ~Délivre-nous tous deux !~ ~Frappe ! – 595 1, VI | Aux soldats.~ ~ ~ ~Délivrez les captifs ! et de leurs 596 Per | se hasardait au delà de Delphes, et qui franchissait les 597 Per | une terre dévastée par un déluge ou remuée par les volcans : 598 Per | dans sa pensée, l’auteur se demanda quelle forme il lui donnerait. 599 1, II | GUANHUMARA.~ ~ ~ ~Quelqu’un aussi demandait grâce. Ô honte !~ ~Une femme 600 1, VI | GORLOIS.~ ~ ~ ~On dirait qu’il demande abri dans le château.~ ~ ~ ~ 601 1, V | frayeur est grande,~ ~Vous demandent quartier.~ ~ ~ ~HATTO.~ ~ ~ ~ 602 1, IV | GUANHUMARA.~ ~ ~ ~Tu vas me demander encore~ ~Ton pays ? ta famille ? – 603 1, IV | marchés semblables,~ ~Je te demanderais des choses effroyables.~ ~ 604 1, IV | la soif du sang ! Que me demandes-tu ?~ ~D’avoir de la pitié, 605 Per | il montait jusqu’au burg démantelé. Là, seul comme le matin, 606 1, III | j’ignore~ ~Pourquoi vous demeurez immobile, et pourquoi~ ~ 607 1, III | sur toi,~ ~Ô vieillard ! demi-dieu du Rhin ! tête sacrée !~ ~ ~ ~ 608 Not, C | de Gorlois. Mademoiselle Denain, qui a su rendre d’une manière 609 Per | pensée, il pourrait, au dénoûment, grande et morale conclusion, 610 1, III | tuerai Hatto s’il ose te déplaire !~ ~Mais je remplacerai, 611 Not, C | il a un grand talent, a déployé dans Job toutes les nuances 612 1, VI | peur, fange et limon que déposent les vices.~ ~Je soupçonne, 613 Per | plaines ravagées, ces forêts déracinées, ces blocs arrachés et rompus, 614 Per | même idée, et il tâchait de dérober à ces ruines tout ce qu’ 615 Per | Quand l’idée qu’on vient de dérouler apparut à l’auteur, il songea 616 1, III | Le sang lave~ ~Et désaltère.~ ~ ~ ~OTBERT.~ ~ ~ ~Allons ! 617 1, I | rassied.~ ~ ~ ~J’avais des descendants et j’avais des ancêtres ;~ ~ 618 1, VI | chats-tigres hideux qui descendent de toi ;~ ~Mais s’ils te 619 1, VI | petit comte de Mons ? –~ ~Descends les bords du Rhin, du lac 620 1, VI | Le monde entier m’a cru descendu chez les morts.~ ~Mais j’ 621 1, III | vous aime pas ! – Elle me désespère !~ ~Depuis un an, du jour 622 1, II | genoux, le sein nu, folle et désespérée.~ ~Te souviens-tu qu’enfin, 623 1, III | comble d’effroi !~ ~ ~ ~Avec désespoir et solennité.~ ~ ~ ~Jamais 624 1, VI | et les épines.~ ~Le Rhin déshonoré coule entre des ruines ! –~ ~ 625 1, IV | appartenir.~ ~Ne perds pas désormais, quoi qu’il puisse advenir,~ ~ 626 1, IV | aussi ; tu peux servir à mon dessein. –~ ~Oh ! j’ai gémi longtemps. 627 1, VI | entre par la fenêtre et dessine une forme droite et blanche 628 Per | toutes ces formes vaguement dessinées par la lune et par la nuit, 629 1, VII | affrontant le ciel, bravant la destinée,~ ~Depuis qu’il s’est levé 630 1, VII | vieillards aux longues destinées,~ ~– Vous, couronnés de 631 1, VI | obéissent en silence et détachent les chaînes des prisonniers, 632 Not, A | convaincre à la lecture, un détail qui ne soit essentiel. Cependant, 633 Not, C | par exemple, dans tous ses détails, cette belle mise en scène 634 1, III | ivre et fou ! Dans ce lieu détesté,~ ~Où les crimes anciens 635 1, II | air morne et bourru.~ ~Je détournai les yeux, ils avaient disparu.~ ~ 636 1, VI | soldat baisse la tête et détourne les yeux. Job lui fait signe 637 Per | foudroyé, désolé, arraché, détruit ; tout porte l’empreinte 638 1, VI | Et compte les châteaux détruits sur les deux rives !~ ~Ce 639 1, IV | mois qui se suivent,~ ~Les deuils se succéder de saison en 640 Per | formidable encore qu’une terre dévastée par un déluge ou remuée 641 1 | qui était circulaire, se développait autour du grand donjon, 642 Per | Ceci vaut la peine d’être développé. L’auteur le fera peut-être 643 Per | famille pareille, ainsi développée à tous les regards et à 644 Not, C | temps, il leur donnerait des développements qui ne seraient pas inutiles 645 1, IV | sur mon front, et je suis devenue~ ~Hideuse et formidable 646 Per | montagnes renversées et devenues informes, c’était quelque 647 1, IV | un dernier sourire.~ ~Que deviendrai-je, hélas ! quand vous serez 648 1, VI (4)| dans le public, quoiqu’il devienne de jour en jour plus sympathique 649 Per | mémorable et prodigieux. On devine que nous voulons parler 650 1, II | au ciel d’or, au soleil dévorant.~ ~Par le squelette froid 651 Per | et qu’un couple chaste et dévoué, pur et touchant, placé 652 Per | entourés de tempêtes, car les dieux avaient rendu Prométhée 653 1, IV | scellés ;~ ~Vingt maîtres différents, moi, malade et glacée,~ ~ 654 Not, C | reculé devant aucune des difficultés de son rôle. Toute jeune 655 1, VI | Faites-nous un gibet digne d’un empereur !~ ~ ~ ~Il 656 Per | terre et le passage des eaux diluviennes ; mais pour Eschyle et ses 657 1, II | flottent des lueurs toujours diminuées,~ ~Les visions passer ainsi 658 1, VI | toujours fiers, jamais diminués,~ ~Faisaient la grande guerre ; 659 1, IV | veux pas répondre et je ne dirai rien.~ ~Livre-moi, si tu 660 Not, A | pour ceux de messieurs les directeurs de province qui voudraient 661 1, III | le forçat las de vivre,~ ~Dis-lui qu’il n’aime point la main 662 1, IV | que je veux te parler.~ ~Dis-moi, toi qui sais tout, Régina…~ ~ ~ ~ 663 1, III | devrais, au seuil du tombeau, disais-tu,~ ~Rencontrer le démon ouvrant 664 Per | incomplète valait la peine d’être discutée à ce point, on surprendrait 665 Not, B | province de quelle façon se disent à la représentation les 666 1, II | est entré, l’homme masqué disparaît.~ ~ ~ ~ 667 1, IV | Et j’ai vu, comme elle, disparaître,~ ~Hélas ! sept de mes fils, 668 1, I | elle est divine, –~ ~Sont dispersés sans doute au vent de ma 669 Per | esprit, et il pensa qu’en disposant de la sorte les figures 670 1, VI | il aperçoit les portraits disposés sur le mur la face contre 671 1, III | Hatto qu’il faut qu’on me dispute.~ ~Mon fiancé m’aura sans 672 Not, C | Drouville s’est particulièrement distingué dans le rôle de Hatto. Mesdemoiselles 673 1, IV | remercier sire Otbert, me dit-elle.~ ~J’ai répondu : Courons 674 1, I | premier ment.~ ~Le second dit-il vrai ?~ ~ ~ ~Moment de silence.~ ~ ~ ~ 675 Per | de la tragédie proprement dite sont nés en dehors de cette 676 1, IV | tendresse.~ ~ ~ ~Mes amoureux,~ ~Dites-moi seulement que vous êtes 677 Per | coupe particulière et les divisions spéciales que lui donne 678 | dix 679 1, I | voici.~ ~À quelle question dois-je répondre ici ?~ ~Quelle 680 Per | mystérieuses puissances doivent intervenir, la fatalité 681 1, VII | Rien n’a vaincu, rien n’a dompté, rien n’a ployé~ ~Ce vieux 682 1, IV | à ma vieillesse !~ ~Quel don du ciel ! J’allais à son 683 Per | famille. Ces trois sentiments donnaient à l’ouvrage sa division 684 Per | leur forme aux collines et donnait au Rhin la blancheur sinistre 685 1, IV | il le faut jamais,~ ~Je donnerai mon sang pour elle ! –~ ~ ~ 686 1, IV | Pour la sauver je donnerais mon sang.~ ~ ~ ~GUANHUMARA.~ ~ ~ ~ 687 1, III | Je te bénis. – Mon Dieu ! Donnez-lui tous vos biens,~ ~De longs 688 1, III | vont là-bas vers le midi doré.~ ~ ~ ~OTBERT.~ ~ ~ ~Elles 689 1, II | était effrayant. Moi, je ne dormais pas,~ ~Et je voyais cela.~ ~ ~ ~ 690 Per | Allemagne attend encore, le dormeur impérial de Kaiserslautern, 691 1, I | baron piller, et pour le roi dormir.~ ~Ceux qui ne pillent pas 692 1, IV | Tu n’as rien ; mais pour dot je te donne mon fief~ ~De 693 1, V | porte une simarre blanche doublée de drap d’or, et l’autre 694 1, III | Appuyez-vous sur moi. – Là, marchez doucement.~ ~– Venez sur ce fauteuil 695 1, II | est moi ! c’est bien moi, douces fleurs !~ ~ ~– Je t’aime, 696 1, VII | semble en proie à une rêverie douloureuse.~ ~ ~ ~ 697 Not, B | Jetant un regard douloureux à Guanhumara, étendue à 698 Per | yeux. Les Grecs ne s’en doutaient pas, et les plus imposants 699 1, VII | sont des instants courts et douteux que les nôtres ;~ ~L’âge 700 Per | poëte, marcher dans vos drames des statues, faites-y ramper 701 1, VI | Fais-les frissonner tous en dressant ta crinière !~ ~ ~ ~GORLOIS, 702 Per | exemple vivant éternellement dressé aux yeux de tous les hommes, 703 1, I | électeur.~ ~Chacun veut se dresser de toute sa hauteur.~ ~Partout 704 1, III | pourquoi~ ~Vous ne vous dressez pas terrible devant moi !~ ~ 705 1, VI | me chasse à l’instant ce drôle à coups de pierre !~ ~ ~ ~ 706 Not, C | scène des burgraves. M. Drouville s’est particulièrement distingué 707 1, VI | mes mains,~ ~Arraché ses duchés, arraché ses provinces ;~ ~ 708 1, I | fière secousse,~ ~Le grand duel du vieux Job et du vieux 709 1, I | conscience en deuil n’est dupe de sa gloire.~ ~Les peuples 710 1, VII | Spire,~ ~Sur un roc, près duquel les monts sont des coteaux,~ ~ 711 1, III | Belle et pure !~ ~Non, dussé-je au démon me donner, je le 712 Per | terre et le passage des eaux diluviennes ; mais pour 713 Per | ailleurs son infériorité, ébauché ce poëme dans sa pensée, 714 Per | épines sous ses talons, écartait de la main les rideaux de 715 1, I | Font par quatre empereurs écarteler l’empire ! –~ ~Allemagne ! 716 Per | inscription romane ou mesurait l’écartement d’une ogive, tandis que 717 1, VI | brisés et comme violemment écartés. À gauche, un banc et une 718 1, VI | Chasseurs et laboureurs ont échangé des haines ;~ ~Les montagnes 719 1, III | moi, Dieu ! le meurtre s’échappe !~ ~ ~ ~JOB, à genoux devant 720 1, II | Je te tiens, tu ne peux m’échapper.~ ~ ~ ~JOB.~ ~ ~ ~Qu’es-tu, 721 1, V | Qu’importe, je fuirai, j’échapperai. Dieu juste,~ ~Jugez-moi. 722 1, II | retourne et lui montre le mur éclairé par la lune.~ ~ ~ ~Comme 723 1 | au fond du théâtre semble éclairée et illuminée à l’intérieur, 724 Per | la demeure humaine seront éclairés, et alors sera accompli 725 1, VII | Remplit d’événements, d’éclairs et de tonnerres~ ~Déjà grondant 726 1, VI | entrait, les clairons~ ~Éclataient ; on voyait se lever les 727 1, II | en poussant~ ~Des rires éclatants sous leurs horribles masques,~ ~ 728 Per | qu’on vit la souveraineté éclater au-dessus d’eux ; il se 729 1, I | devant moi jetaient de longs éclats ;~ ~J’étais puissant ; j’ 730 1, II | université de Bologne et de l’école de Mayence ; SWAN (ou Suénon), 731 1, V | manche d’une énorme hache d’Écosse. Les convives, occupés et 732 1, VI | les soldats.~ ~ ~ ~Je t’écoutais parler tout à l’heure à 733 Per | solitude et dans les ténèbres ; écoutant, au milieu du fourmillement 734 1, IV | chemin.~ ~ ~ ~OTBERT.~ ~ ~ ~Écoute-moi.~ ~ ~ ~GUANHUMARA.~ ~ ~ ~ 735 1, V | Les deux vieillards écoutent en silence ; le moins vieux 736 1, VI | Méritent la pitié, mon maître, écoutez-moi.~ ~Quand vous irez combattre 737 Per | arrêtées, l’auteur résolut d’écrire sur le frontispice de l’ 738 1, II | Le château, pris enfin, s’écroulait sur l’armée !~ ~C’est dans 739 Per | de visiter les citadelles écroulées qui hérissent le Wisperthal, 740 1, I | Contera ce prodige et cet écroulement,~ ~Et comment a fini, rude 741 1, V | pouvais savoir !… –~ ~Là l’Éden radieux, derrière moi l’ 742 Per | explorait quelque ancien édifice démoli. Quelquefois c’était 743 Per | avait sous les yeux les édifices, il essaya de se figurer 744 1, II | enfin les ans, l’oubli,~ ~L’effaçaient, quand un jour le maître, 745 1, VI | Mieux qu’à l’huile sacrée effacée à ton front !~ ~La haine 746 1 | quelques vestiges de fresques effacées, sont verdies et moisies 747 1, II | encor. – Vraiment, elle m’effraie.~ ~Tout en elle, son air, 748 1, IV | nuit des forêts,~ ~Blême, effrayante à voir, horrible aux lions 749 1, IV | te demanderais des choses effroyables.~ ~Dis, voudrais-tu tirer 750 1, III | La douleur, Otbert, t’égare et t’exaspère.~ ~Tu n’es 751 1, II | souviens-tu qu’enfin, me levant égarée,~ ~Je criai : – Je suis 752 1, V | le regardant sortir avec égarement.~ ~ ~ ~Juste ciel ! tout 753 1, III | du sabbat, tu le sais, on égorge~ ~Un enfant. C’est ainsi 754 1, IV | femme ! Pourquoi ?~ ~Pour l’égorger, dit-on, dans leur sabbat. – 755 Per | fantaisie, le produit d’un élan capricieux de l’imagination. 756 1, III | vers lui tout mon être s’élance !~ ~C’est trop me torturer 757 1, VI | est au comble. Le cercle s’élargit. L’empereur, appuyé sur 758 1, I | de Bohême, un Slave ! est électeur.~ ~Chacun veut se dresser 759 1, V | blanche, vêtu de fer et élevant au-dessus de la tête du 760 1, IV | Que j’ai pour mes projets élevé ton enfance ?~ ~Que je recule, 761 Not, B | mon fils, qu’on vient d’élire à Spire.~ ~ ~ ~Jetant un 762 1, II | GONDICARIUS.~ ~ ~ ~Mayence élit Berthold.~ ~ ~ ~KUNZ.~ ~ ~ ~ 763 1, IV | Rêvant et se parlant à elle-même.~ ~ ~ ~Oui, quand j’étais 764 1, IV | mois.~ ~ ~ ~Elle veut s’éloigner. Il l’arrête encore.~ ~ ~ ~ 765 1, III | traîne en ces ténèbres~ ~Embarrasse mes pieds, pris dans ses 766 1, IV | presse Otbert dans un étroit embrassement et pleure.~ ~ ~ ~Parfois, 767 1, IV | EMPEREUR.~ ~ ~ ~Mon frère ! embrassons-nous !~ ~Qu’a-t-on de mieux à 768 1, V | HATTO, à haute voix.~ ~ ~ ~Embusquez-vous.~ ~ ~ ~Le capitaine sort. 769 1, VI | airain,~ ~Pierre à pierre émietté vos donjons dans le Rhin !~ ~ 770 1, VI | prisons !~ ~ ~ ~Les soldats emmènent les barons, excepté Job, 771 1, II | souvenir dans mon cœur ne s’émousse.~ ~Othon de Wittelsbach 772 1, V | la fois.~ ~Rien ne peut empêcher notre fuite…~ ~ ~ ~Pendant 773 1, VI | sur sa race.~ ~Rien ne m’empêchera de le frapper ! – Dieu fasse~ ~ 774 1, IV | couché, vous fuirez vite.~ ~J’empêcherai Hatto d’aller à ta poursuite :~ ~ 775 Per | trois actes. Seulement, en l’employant, l’auteur voulait réveiller 776 Per | avait également le droit d’employer, pour faire mouvoir ses 777 1, I | Philippe, et chassé Ladislas,~ ~Empoisonné Heinrich ! ils ont, d’un 778 1, II | passer~ ~Quelqu’un qui l’emportait, je me crus en délire.~ ~– 779 1, III | prenant dans ses bras avec emportement.~ ~ ~ ~Non, vers lui tout 780 1, VI | tombe évanouie. Ses femmes l’emportent. Otbert barre le passage 781 1, II | main-forte.~ ~Il fallait emporter chaque mur, chaque porte.~ ~ 782 1, IV | De la vieille Allemagne emportez tous deux l’arche !~ ~Ô 783 Per | pour peindre l’époque, d’emprunter à l’histoire ce qu’elle 784 Per | trace des ongles crispés d’Encelade sur le flanc du Pélion. 785 1, VII | funèbre aux peuples qu’on enchaîne,~ ~Un grand drapeau de deuil, 786 1, VI | autres burgraves se laissent enchaîner sans résistance. Job, la 787 1, I | paupières ;~ ~Ou, si je m’endormais, versant un sang vermeil,~ ~ 788 1, VI | que soit la porte qui m’enferme,~ ~Porte du paradis ou porte 789 1, III | Oui, le couchant s’enflamme.~ ~Nous sommes en automne 790 1, VI | Surgissant au sommet d’une brèche enflammée,~ ~Jetait son gantelet à 791 1, I | des yeux, Le mendiant s’enfonce sous les arcades de la Galerie.~ ~ ~ ~ 792 Per | basalte verte de mousse, ou enfoncé jusqu’aux genoux dans les 793 1, II | disparu.~ ~Ils s’étaient enfoncés dans le mur !~ ~ ~ ~HAQUIN.~ ~ ~ ~ 794 1, VI | étiez en joies ;~ ~Vous enfonciez gaîment vos ongles dans 795 1, III | c’est triste de voir s’enfuir les hirondelles !~ ~Elles 796 1, III | les deux ! j’en prends l’engagement sans peur.~ ~Ton père ? 797 1, VI | moment prenez-vous, lâchement enhardis,~ ~Pour faire, vous, barons, 798 1, I | changeant en folie,~ ~Finit par enivrer comme un vin de l’enfer.~ ~ 799 1, III | le regarde avec des yeux enivrés.~ ~ ~ ~C’est la première 800 1, VI | mettaient en marche,~ ~Ils enjambaient les ponts dont on leur brisait 801 1, II | ce seul mot : Mon enfant enlevé !~ ~Figurez-vous, je suis 802 1, VI | Mettez-nous face à face avec vos ennemis,~ ~Devant les plus hardis, 803 1, V | extrémité du manche d’une énorme hache d’Écosse. Les convives, 804 1, I | villes ?~ ~Par des juifs enrichis dans les guerres civiles.~ ~ 805 Per | à l’histoire ce qu’elle enseigne, il avait également le droit 806 Per | les esprits, pour que l’enseignement soit entier, deux grandes 807 Per | profondeurs mystérieuses où il est enseveli le glorieux messie militaire 808 Per | flamboyer l’œil des cyclopes ensevelis dans les marais du Sperchius. 809 1, II | trois hommes,~ ~Lépreux, ensorcelés, avec lesquels nous sommes.~ ~ 810 1, VI | reluisante à l’œil~ ~Que l’on n’entamait point sans lutte et sans 811 1, III | horrible martyre !~ ~Oh ! que j’entende au moins votre voix me le 812 1, V | eux-mêmes, ne voient rien et n’entendent rien. Tout à coup, au moment 813 1, VI | L’EMPEREUR.~ ~ ~ ~Vous m’entendiez jadis marcher dans ces vallons,~ ~ 814 1, IV | moi l’enfer !~ ~Seul, j’entendis ces mots prononcés sur l’ 815 1, VI | Barberousse, –~ ~Où le monde entendra cent voix avec transport~ ~ 816 1, VI | fourriers de l’empire ?~ ~Entendrons-nous bientôt tes trompettes sonner ?~ ~ 817 1, VI | archers.~ ~ ~ ~Vos soldats m’entendront ! Ils sont à moi. J’y compte.~ ~ 818 Not, C | soulève des acclamations enthousiastes et unanimes. M. Beauvallet, 819 Per | oui, la civilisation tout entière est la patrie du poëte. 820 1, II | en ce tombeau d’épouvante entouré,~ ~Ose encor prononcer, 821 Per | dont le public veut bien entourer ses travaux, si insuffisants 822 Per | montagne, sur des sommets entourés de tempêtes, car les dieux 823 1, III | vous soyez,~ ~Spectre qui m’entourez, démons qui me voyez,~ ~ 824 1, II | nom, si j’ai parlé, seul entrouvrait ma lèvre.~ ~Quel 825 1, V | momentOtbert se retourne entraînant Régina, Hatto se dresse 826 1, II | L’on jeta…~ ~ ~ ~Elle l’entraîne rudement vers la fenêtre.~ ~ ~– 827 Per | sentait irrésistiblement entraîné vers l’œuvre qu’il rêvait, 828 1, VI | allait chercher ; sitôt qu’il entrait, les clairons~ ~Éclataient ; 829 1, III | où vont mes pas,~ ~Dans l’entrave où mon pied se sent pris 830 1, VI | veut, leurs fers et leurs entraves.~ ~ ~ ~Les burgraves se 831 1, II | celui par lequel ils sont entrés. – À Job.~ ~ ~ ~Qu’il choisisse, 832 Per | Sardanapale ; et laisser entrevoir que le petit-fils pourra 833 1, VI | sorte de galerie dont on entrevoit les piliers soutenant les 834 Per | lignes avait depuis longtemps entrevu ce qu’il y a de neuf, d’ 835 Per | et qui n’a été jusqu’ici entrevue, hélas ! que par les songeurs 836 Not, C | vivantes les silhouettes à demi entrevues de Lupus et de Gorlois. 837 1, IV | Allemagne, et n’y vois qu’envieux,~ ~Tyrans, bourreaux, luttant 838 1, III | le bois de splendeurs s’environne ;~ ~Les vitres du hameau, 839 1, VI | passant, que Dieu peut-être envoie !~ ~Après, nous reprenions 840 1, IV | Georges, mon doux enfant, envolé pour jamais,~ ~Et ma dernière 841 1, II | des yeux~ ~Tout ce qui m’envoyait une haleine si pure,~ ~Et 842 1, VI | hiver,~ ~Fussent-ils plus épais que les blés sur la plaine,~ ~ 843 1, IV | une âme en qui le ciel s’épanche,~ ~Quand ses petites mains 844 1, II | dans mes neveux !~ ~Mais épargne l’enfant, le dernier ! – 845 1, I | destin !~ ~Les électeurs épars, creusant chacun leur plaie ;~ ~ 846 1, IV | vous marie !~ ~ ~ ~RÉGIRA, éperdue de joie.~ ~ ~ ~Ciel !~ ~ ~ ~ 847 1, VI | ces vallons,~ ~Lorsque l’éperon d’or sonnait à mes talons.~ ~ 848 1, III | brigand, moins aigle qu’épervier,~ ~Moi, dont souvent la 849 1, VI | redoutant les morsures,~ ~Vous épiez le soir, près des routes 850 Per | Les trois mille Océanides éplorées lui apparaissaient en foule 851 Per | pathétique, commencer par l’épopée et finir par le drame.~ ~ ~ ~ 852 1, V | Sa ville, et lui promis d’épouser.~ ~ ~ ~LE DUC GERHARD.~ ~ ~ ~ 853 1, V | ta comtesse Isabelle,~ ~L’épouses-tu ?~ ~ ~ ~LE DUC GERHARD.~ ~ ~ ~ 854 1, IV | Comprends-tu ?~ ~Toi, brave enfant, épris d’honneur et de vertu,~ ~ 855 1, II | Souabe.~ ~ ~ ~SWAN.~ ~ ~ ~Erfurth est pour Brunswick.~ ~ ~ ~ 856 1, VI | souvienne~ ~De Henri le Barbu, d’Ernest le Cuirassé.~ ~Nous gardons 857 1, II | SWAN.~ ~ ~ ~Cette nuit, ils erraient. La nuit bien étoilée,~ ~ 858 1, IV | Inde, au fond des bois j’errais,~ ~J’allais, étudiant, dans 859 1, IV | ombre triste autour de nous errante… –~ ~ ~À Otbert.~ ~ ~ ~Tout 860 1, IV | tous deux ;~ ~Après avoir erré de rivage en rivage,~ ~Quand 861 Per | princes et de soldats, on vit errer, entre les orgies des jeunes 862 1, IV | pur de haine, exempt d’erreur.~ ~Je lui laisse le trône 863 1, VI | Affrontaient le piquier ainsi que l’escadron,~ ~Faisaient, musique en 864 Per | main les rideaux de lierre, escaladait les vieux pans de mur, et 865 1, VI | comme des Juifs, comme des Esclavons,~ ~Subi ce long affront, 866 1, VI | pieds nus, suppliant ; une escorte~ ~L’allait chercher ; sitôt 867 1, VI | train nouveau des modes espagnoles.~ ~Clinquant ! soie ! – 868 1, VII | que nous.~ ~Ainsi notre espérance est bien souvent trompée.~ ~ 869 Per | commence la barbarie. Un jour, espérons-le, le globe entier sera civilisé, 870 1, VI | CADWALLA.~ ~ ~ ~Quelque espion !~ ~ ~ ~LE BURGRAVE DARIUS.~ ~ ~ ~ 871 Per | les yeux les édifices, il essaya de se figurer les hommes ; 872 Per | cette magnifique tâche, essayer de le faire pour les burgraves.~ ~ ~ ~ 873 Not, A | lecture, un détail qui ne soit essentiel. Cependant, à la représentation, 874 Per | trilogie signifie seulement et essentiellement poème en trois chants, ou 875 Per | intervalles le monstrueux vautour essuyer son bec d’airain aux granits 876 1, VI | Vous seul ! Sans vous l’État touche aux derniers moments.~ ~ 877 1, I | Plus d’unité. Les nœuds des États se défont.~ ~Je vois dans 878 1, II | qui choisira.~ ~ ~ ~Elle étend sa main droite sur le cercueil.~ ~ ~ ~ 879 1, II | Je jure,~ ~Par l’éternel ennui que nous laisse l’ 880 1, II | ils erraient. La nuit bien étoilée,~ ~Ces trois lépreux masqués, 881 1, IV | immenses nuits des pôles étoilés ;~ ~De durs anneaux de fer 882 1, I | debout épouvanté.~ ~ ~ ~C’est étonnant !~ ~On a parlé, c’est sûr ! 883 1, IV | château perdu ;~ ~Et je m’étonne encor qu’on n’ait pas entendu,~ ~ 884 Per | toute sa réalité à l’œil étonné du spectateur, installer 885 1, VI | Barberousse !…~ ~ ~Étonnement et stupeur. Tous s’écartent 886 1, VI | Gorlois.~ ~ ~– Va quérir l’étranger !~ ~ ~ ~HATTO, s’inclinant.~ ~ ~ ~ 887 1, III | oublie ;~ ~Et mon âme, qu’étreint une fatale loi,~ ~Près de 888 1, IV | Job presse Otbert dans un étroit embrassement et pleure.~ ~ ~ ~ 889 Per | Eschyle, de Sophocle et d’Euripide, une nationalité grecque. 890 Per | aujourdhui une nationalité européenne, comme il y avait du temps 891 Per | Français, et nous sommes Européens comme ils étaient Grecs.~ ~ ~ ~ 892 1, III | qui me vient ? –~ ~Vous eûtes un enfant qu’une femme bohème~ ~ 893 1, V | l’on me fit jurer sur l’Évangile !~ ~– Bon ! je laisse la 894 1, VI | meurs.~ ~ ~ ~Régina tombe évanouie. Ses femmes l’emportent. 895 Per | réels. Ainsi, la réalité qui éveille l’intérêt, la grandeur qui 896 1, IV | Otbert.~ ~ ~ ~OTBERT, comme éveillé en sursaut.~ ~ ~ ~Seigneur… 897 1, II | m’avancer en rampant.~ ~Éveille-toi, Fosco, dans les plis du 898 1, II | Que veux-tu pour l’éveiller ?~ ~ ~ ~GUANHUMARA.~ ~ ~ ~ 899 1, I | ombre me gagne.~ ~Ô grand événement ! chute de ma montagne !~ ~ 900 1, VII | centenaires,~ ~Remplit d’événements, d’éclairs et de tonnerres~ ~ 901 1, IV | Tant chaque souvenir qu’évoque mon effroi~ ~Prend un masque 902 1, II | crus en délire.~ ~– Je n’exagère pas : on a pu vous le dire. –~ ~ 903 1, VI | Magnus s’incline, examine attentivement le bras du 904 1, III | douleur, Otbert, t’égare et t’exaspère.~ ~Tu n’es pas cet enfant ! 905 1, VI | DUC GERHARD, à Job.~ ~ ~ ~Excellence…~ ~ ~ ~JOB, au duc.~ ~ ~ ~ 906 Not, C | familiarité que ce rare et excellent acteur a su rendre avec 907 Per | ont cru quelques esprits, excellents d’ailleurs, un ouvrage de 908 1, VII | vieux titan du Rhin, Job l’Excommunié ?~ ~– Savez-vous cela ?~ ~ ~ ~ 909 1, VI | je les ai laissés dire.~ ~Excusez-les, ce sont des jeunes gens.~ ~ ~ ~ 910 1, VI | gens, je ferais quelque exécrable effort !~ ~Oui, que Dieu 911 1, IV | il a promis, cet enfant l’exécute,~ ~ ~ ~À Régina.~ ~ ~ ~N’ 912 1, IV | vrai sage, pur de haine, exempt d’erreur.~ ~Je lui laisse 913 1 | avec l’intérieur du donjon, exhaussée sur un degré de trois marches 914 1, IV | baissant la voix.~ ~ ~ ~Qu’exigerais-tu donc de moi ?~ ~ ~ ~GUANHUMARA.~ ~ ~ ~ 915 1, VI | l’ombre où je songeais, exilé volontaire.~ ~Il est temps 916 Per | palpitant et complet de l’expiation ; mettre sur la tête de 917 1, III | est temps que mon crime s’expie,~ ~Donato m’implorait ici. 918 1, IV | Donato vit ! Je puis expirer à ses pieds.~ ~Reprenez 919 1, I | répondre ici ?~ ~Quelle explication veux-tu ? Sans m’y soustraire,~ ~ 920 Not, C | peut-être à l’art théâtral. Il expliquerait, par exemple, dans tous 921 Per | archéologues et les poëtes, il explorait quelque ancien édifice démoli. 922 1, IV | assassine,~ ~Il t’avait exposé dans la ville voisine,~ ~ 923 Per | suppose pas la présomption d’exposer ici ce qu’il croit avoir 924 Not, A | des esclaves, qui forme l’exposition de cet ouvrage, ne contient 925 Per | trois actes, lesquels n’en expriment que le fait extérieur, par 926 Not, C | par le succès.~ ~ ~ ~Pour exprimer le personnage de Guanhumara, 927 Per | en expriment que le fait extérieur, par des titres plus métaphysiques 928 Per | cette poésie il fallait extraire un poëme. L’idée qui se 929 1, V | et ses deux mains sur l’extrémité du manche d’une énorme hache 930 1, I | UNE VOIX, dans l’ombre faiblement comme un murmure.~ ~ ~ ~ 931 1, III | OTBERT.~ ~ ~ ~Sans faiblesse.~ ~ ~ ~À part.~ ~ ~ ~Après, 932 1, III | suaire vêtue,~ ~Morte si je faiblis, vivante si je tue !~ ~– 933 1, II | j’embrasse~ ~Tes pieds ! Fais-le-moi voir !~ ~ ~ ~GUANHUMARA.~ ~ ~ ~ 934 1, VI | quelque injure dernière,~ ~Fais-les frissonner tous en dressant 935 1, IV | L’EMPEREUR.~ ~ ~ ~Que fais-tu ?~ ~ ~ ~GUANHUMARA.~ ~ ~ ~ 936 Per | comprendra la cohésion. Ce faisceau a un lien. En attendant, 937 1, VI | cherchait des yeux tous ces faiseurs d’exploits,~ ~Les petits 938 1, VI | chemin.~ ~– Sur ce que nous faisions jugez ce que vous faites !~ ~ ~ ~ 939 1, I | de Strasbourg ?~ ~Par qui fait-on porter la bannière des villes ?~ ~ 940 1, IV | De vos manteaux de rois faites-vous deux linceuls.~ ~Ensemble, 941 Per | vos drames des statues, faites-y ramper des tigres ; mais 942 1, VII | de laves,~ ~Un burgrave fameux parmi tous les burgraves ?~ ~ 943 Not, C | moments de bonhomie et de familiarité que ce rare et excellent 944 1, VI | clairons d’une nouvelle fanfare. Depuis quelques instants 945 1, VI | d’immondices,~ ~La peur, fange et limon que déposent les 946 Per | ailleurs, un ouvrage de pure fantaisie, le produit d’un élan capricieux 947 Per | des titans modernes, moins fantastique, mais aussi grandiose peut-être 948 1, V | figurent des gueules d’animaux fantastiques.~ ~ ~ ~Les deux vieillards 949 1, VII | ni Rome,~ ~Ni les ans, fardeau sombre, accablement de l’ 950 1, VI | cercle muet de chevaliers farouches,~ ~Darius, Cadwalla, Gorlois, 951 1, IV | branches d’arbre,~ ~Sur ce pavé fatal venir mes pieds de marbre.~ ~ 952 1, II | serpents, des gouttes fatales~ ~Qui de mon poignard nu 953 1, II | vieux semblent accablés de fatigue et de douleur. Pendant toute 954 1, I | Tout est mort, pays, cité, faubourg.~ ~Comment finira-t-on la 955 1, VI | Slave.~ ~Tu n’es qu’un vil faussaire, esclave et fils d’esclave~ ~ 956 1, I | indigent et funèbre~ ~De ma fausse grandeur, pleine de cendre, 957 1, VI | Ah ! mécréants ! Félons ! ravageurs de bourgades !~ ~ 958 1, III | vieillard ! mon cœur se fend !~ ~Rien qu’un seul mot !~ ~ ~ ~ 959 1, III | jette la bourse par une des fenêtres du fond. Elle continue, 960 Per | la peinture d’une famille féodale la peinture d’une société 961 Per | être développé. L’auteur le fera peut-être quelque jour. 962 1, VI | mort,~ ~Jeunes gens, je ferais quelque exécrable effort !~ ~ 963 1, IV | Te faire meurtrier ? – te ferais-tu bourreau ?~ ~Tu frémis ! 964 1, I | Donato ! Ginevra ! victimes ! ferez-vous~ ~Grâce à votre bourreau, 965 1 | battants, une petite fenêtre fermée d’un vitrail haut en couleur. 966 1, II | HAQUIN.~ ~ ~ ~Les villes sont fermées.~ ~ ~ ~SWAN.~ ~ ~ ~On ne 967 Per | comme son bisaïeul, par férocité comme son aïeul, et par 968 1 | entend un froissement de ferrailles, comme si une troupe d’hommes 969 1, I | enchaînés, quelques-uns ferrés deux à deux, et portant 970 1, VI | Tandis que ces bandits vous fêtent en riant,~ ~On entend des 971 Per | le reproduit parfois. La fiction et la réalité surprennent 972 1, IV | pour dot je te donne mon fief~ ~De Kammerberg, mouvant 973 1, II | Bah ! songes d’un fiévreux qui voit dans son cerveau~ ~ 974 1, V | extraordinaire dont les cimiers figurent des gueules d’animaux fantastiques.~ ~ ~ ~ 975 Per | édifices, il essaya de se figurer les hommes ; du coquillage 976 1, II | Mon enfant enlevé !~ ~Figurez-vous, je suis tombé sur le pavé !~ ~ 977 Per | et le second par la piété filiale, de sorte que l’aïeul puisse 978 1, VI | fait ? – Nos sœurs et nos filles captives,~ ~Gibets impériaux 979 1, I | cité, faubourg.~ ~Comment finira-t-on la flèche de Strasbourg ?~ ~ 980 1, IV | Il faut faire comme je fis.~ ~ ~ ~À part.~ ~ ~ ~Hélas ! 981 1, VI | n’a cessé de le regarder fixement pendant qu’il a parlé. Quand 982 1, VI | Tous les yeux se fixent sur la croix. Moment de 983 1, IV | circulent des pages portant des flacons pleins de vin, des aiguières 984 1, I | braves,~ ~Des Lorrains, des Flamands, des Saxons, des Moraves,~ ~ 985 1, III | dernier culte et son dernier flambeau,~ ~Aube qui blanchissez 986 Per | nuit venue, s’ouvrir et flamboyer l’œil des cyclopes ensevelis 987 1, V | Bingen, qui me craint et me flatte,~ ~M’en donne tous les ans 988 1, I | Comment finira-t-on la flèche de Strasbourg ?~ ~Par qui 989 1, IV | Pourquoi, bien que Régine ait fléchi notre maître,~ ~Je garde 990 1, VI | père.~ ~C’est lui qui t’a flétri du fer triangulaire,~ ~Et 991 Per | femme, car la femme seule, flétrie dans sa chair comme dans 992 1, VI | plaine,~ ~Vous nous verrez, flétris, l’œil baissé, l’âme pleine~ ~ 993 1, VI | trèfle au feu rougi lui flétrit la main droite ! –~ ~Ô souvenirs ! 994 1, IV | te briserait, ma pauvre fleur chérie !~ ~Quand ta mère 995 1, III | posent une couronne ;~ ~Le fleuve luit ; le bois de splendeurs 996 1, III | Dieu !~ ~La nature est un flot de vie et de lumière !…~ ~ 997 1 | immense drapeau noir qui flotte au vent. À gauche, près 998 1, II | voit dans son cerveau~ ~Où flottent des lueurs toujours diminuées,~ ~ 999 1, II | de mauvais ;~ ~Tu comptes follement sur mon Otbert…~ ~ ~ ~GUANHUMARA.~ ~ ~ ~ 1000 Per | un des trois sentiments fondamentaux du vieux chevalier allemand :


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