Chap.

  1      IV|           tout ce qui n'était pas Marie. Accoutumé dès l'âge le
  2       V|        époque pour mon union avec Marie. Vous comprenez aisément
  3       V|          moment où je posséderais Marie, et je demeurais étranger
  4      VI|         massif d'arbres épais, où Marie venait tous les jours respirer
  5      VI|           cueillir.~ ~ ~ ~Un jour Marie accourt à moi tout effrayée.
  6      VI| légèrement. Je rassurai la pauvre Marie, et je me promis de veiller
  7      VI|           avait si fort épouvanté Marie ne se bornerait pas à cette
  8      VI|           sous la fenêtre même de Marie ! Furieux, brandissant mon
  9      VI|    travers mes vêtements, lorsque Marie, que la guitare et ce tumulte
 10      VI|        entre les bras de ma douce Marie, à laquelle j'étais si étrangement
 11      VI|         mon amour-propre, c'est à Marie que je la dois, puisque
 12     VII|                         VII~ ~ ~ ~Marie avait éveillé la vieille
 13     VII|          ordre de ne plus quitter Marie ; et comme les séances de
 14     VII|        coutume de l'embellir pour Marie.~ ~ ~ ~Quand l'heure où
 15     VII|       nourrice nous suivit.~ ~ ~ ~Marie, à qui je n'avais point
 16     VII|      fraîcheur étonnait ma pauvre Marie, avaient repris insolemment
 17     VII|                 Calme-toi, me dit Marie, qui vit mon agitation,
 18     VII|       avions-nous pris place, que Marie mit son doigt sur ma bouche ;
 19     VII|         de mon siège, un geste de Marie me retint.~ ~ ~– Léopold,
 20    VIII|          ainsi associer le nom de Marie à des chants d'amour et
 21    VIII|      précipitai hors du pavillon. Marie, effrayée, tendait encore
 22    VIII|       rivière. C'était la voix de Marie. – Je m'élance, je cours,
 23    VIII|       devant le seuil du cabinet, Marie poussa un cri de joie, s'
 24    VIII|      mouvement, à cette parole de Marie, le nègre se retourne brusquement,
 25    VIII|           si, déposant rapidement Marie sur les genoux de sa nourrice,
 26    VIII|           relevant lentement vers Marie, qui était revenue achever
 27      IX|   jetèrent un chaos dans ma tête. Marie était encore toute pensive
 28      IX|    silence.~ ~ ~– Viens, dis-je à Marie, sortons d'ici ! ce lieu
 29      IX|                 Cet homme, me dit Marie, est sans doute un des nègres
 30      IX|          de courage pour secourir Marie ?~ ~ ~ ~Au moment où ces
 31      IX|     soulevaient contre ma colère, Marie la dissipa entièrement en
 32      IX|           esclave qui avait sauvé Marie, mais il changea le but
 33       X|          sauveur de ma bien-aimée Marie.~ ~ ~ ~J'eus lieu de voir
 34       X|         qui je devais le salut de Marie, son geste, son regard,
 35       X|        cet esclave que vous devez Marie ; c'est le nègre dont vous
 36       X|           sinistres me glacèrent. Marie et moi le suppliâmes inutilement.
 37     XII|  exaltèrent ma jeune imagination. Marie, pleine de reconnaissance
 38     XII|          la vie de ma fiancée, de Marie.~ ~ ~ ~Il éprouva comme
 39    XIII|        vers de plus douces idées. Marie suppliait avec moi. Je lui
 40    XIII|       avec le crocodile, préservé Marie d'une mort certaine ; que
 41     XIV|               XIV~ ~ ~ ~Un matin, Marie vint à moi. Elle était rayonnante,
 42     XIV|           Je l'interrompis.~ ~ ~– Marie, ne dis pas bientôt, puisqu'
 43     XIV|      était sacrée ; et tandis que Marie allait près de lui en réclamer
 44     XIV|  réjouis-toi ! ta vie est sauvée, Marie l'a demandée à son père
 45     XIV|        esclave tressaillit…~ ~ ~– Marie ! noces ! ma vie ! Comment
 46     XIV|           tout simple, repris-je. Marie, à qui tu as sauvé la vie,
 47     XIV|        qui tu as sauvé la vie, se marie.~ ~ ~– Avec qui ? s'écria
 48      XV|       août arriva. Mon union avec Marie fut célébrée avec pompe
 49      XV|         et, pendant que ma pauvre Marie dormait ou m'attendait,
 50    XVII|    distraire, c'était le salut de Marie. Marie sauvée, que m'importait
 51    XVII|          était le salut de Marie. Marie sauvée, que m'importait
 52   XVIII|          m'occupa pas un instant. Marie perdue pour moi ! perdue
 53   XVIII|          famille, à madame…~ ~ ~– Marie ! interrompis-je, où est
 54   XVIII|            interrompis-je, où est Marie ?~ ~ ~ ~En ce moment un
 55   XVIII|        bras. La jeune femme était Marie ; le noir était Pierrot.~ ~ ~–
 56   XVIII|     nourriture, mes craintes pour Marie, le passage subit du comble
 57     XIX|           question :~ ~ ~– Où est Marie ?~ ~ ~ ~Je n'avais point
 58     XIX|          le grand nègre emportant Marie dans ses bras à travers
 59     XIX|          l'exécrable ravisseur de Marie. Pour si peu d'heures, que
 60      XX|          cœur. Je me représentais Marie au pouvoir d'un autre amant,
 61  XXVIII|          temple où mon union avec Marie avait reçu du ciel une bénédiction
 62      XL|         je passais encore près de Marie, sans même entrevoir dans
 63      XL|          sanguinaire Biassou, que Marie fût pour jamais perdue pour
 64      XL|       encore, mon cœur revenait à Marie. Je m'interrogeais avec
 65      XL|          Pierrot à mon amour pour Marie ; et, sans chercher à m'
 66      XL|           mon oncle, ravisseur de Marie, oses-tu m'appeler ton frère ?
 67     XLI|      Pierrot, tout mon amour pour Marie ne suffisaient pas pour
 68     XLI|           tonnerre :~ ~ ~– Où est Marie ? qu'as-tu fait de Marie ?~ ~ ~ ~
 69     XLI|          Marie ? qu'as-tu fait de Marie ?~ ~ ~ ~À ce nom, un nuage
 70     XLI|     emportement. Qu'as-tu fait de Marie ?~ ~ ~– Ailleurs, ailleurs !
 71    XLII|          et au pillage, au nom de Marie !~ ~ ~ ~Il y avait peut-être
 72   XLIII|          le sort de ma bien-aimée Marie et le mien. La parole que
 73    XLIV|         questionné sur le sort de Marie, l'insolente tendresse avec
 74    XLIV|           était le rapt odieux de Marie, un outrage à venger, un
 75    XLIV|           parle, qu'as-tu fait de Marie ?~ ~ ~ ~Une émotion concentrée
 76    XLIV|        mon dernier soupir. Où est Marie ?~ ~ ~– Rien ne peut donc
 77    XLIV|         je veux le savoir. Où est Marie ? où est Marie ? entends-tu ?
 78    XLIV|     savoir. Où est Marie ? où est Marie ? entends-tu ? Réponds,
 79     XLV|     retourna. – Mes amis, c'était Marie !~ ~ ~ ~Elle était vêtue
 80     XLV|            C'était la nourrice de Marie, et le dernier enfant de
 81     XLV|          gouttes sur le visage de Marie. Leur fraîcheur rappela
 82     XLV|     dit-elle, mon Léopold !~ ~ ~– Marie !… répondis-je ; et le reste
 83     XLV|            Pas devant moi !~ ~ ~ ~Marie se souleva de mes bras à
 84     XLV|          rival ; l'exclamation de Marie me prouvait qu'il était
 85     XLV|        était aussi mon ami.~ ~ ~– Marie ! répondis-je, et une félicité
 86     XLV|       temps qu'un mortel regret ; Marie ! est-ce que tu l'ignorais ?~ ~ ~–
 87     XLV|                  Comment ! reprit Marie étonnée, de lui ! de Pierrot !
 88     XLV|                 Vraiment ! reprit Marie avec une naïve surprise,
 89     XLV|               Ces explications de Marie m'enchantaient et me désolaient
 90   XLVII|    Biassou. – Hélas ! en revoyant Marie, je n'avais plus pensé à
 91  XLVIII|          autre celle de ma pauvre Marie, qui observait avec anxiété
 92  XLVIII|          que j'aime plus que toi, Marie. – Retournez au camp sans
 93  XLVIII|                 Mon Dieu, s'écria Marie respirant à peine, quelque
 94  XLVIII|         La terreur qui oppressait Marie à la seule idée d'un malheur
 95  XLVIII|             Quelle promesse ? dit Marie épouvantée ; qui est ce
 96  XLVIII|        Bug-Jargal, n'alarmons pas Marie.~ ~ ~– Bien, me dit-il d'
 97  XLVIII|        croyais ingrat, je croyais Marie perdue pour moi. Que m'importait
 98  XLVIII|       aide de celle qu'il aimait. Marie s'était jetée dans mes bras
 99  XLVIII|           me revoir jamais.~ ~ ~– Marie, repris-je, ne le crois
100  XLVIII|       baiser sur le front pâle de Marie, que les soins de sa nourrice
101    XLIX|        été tiré de ce désespoir ; Marie m'avait été rendue ; ma
102     LII|           vas périr par l'eau, ta Marie par le feu !~ ~ ~– Misérable !
103   LVIII|         lors de mon entrevue avec Marie, le seul que le soleil éclairât
104   LVIII|          aux bons soins de madame Marie.~ ~ ~ ~Le sergent s'arrêta.
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