Chap.

 1       I|           au camp des Anglais. Je n'étais pas encore aux premiers
 2       I|           traverse le hallier, et j'étais près d'en sortir quand deux
 3       V|          fondé, des blancs. Je ne m'étais point encore mêlé à la conversation,
 4      VI|             dans la perplexité où j'étais jeté, je résolus de ne rien
 5      VI|           douce Marie, à laquelle j'étais si étrangement conservé
 6      VI|       prétendre à me la disputer. J'étais plus que jamais indigné
 7     VII|        fraîchement cueilli.~ ~ ~ ~J'étais immobile d'étonnement et
 8     VII|                   De ma patrie où j'étais roi, de ma patrie où j'étais
 9     VII|        étais roi, de ma patrie où j'étais libre !~ ~ ~« Libre et toi,
10    VIII|            ces dernières paroles. J'étais hors de moi. « Roi ! noir !
11    VIII|           me retenir, que déjà je m'étais enfoncé dans le taillis
12    VIII|           rappelle le temps où je n'étais que petit et pas encore
13      IX|           brave nègre ; sans lui, j'étais perdue ! Tu serais arrivé
14       X|          instrument de vengeance. J'étais immobile de surprise, mon
15     XII|             riches colons du Cap, j'étais capitaine des milices de
16     XII|        misérables aliments.~ ~ ~ ~J'étais en uniforme ; la lumière
17     XII|            pouvait distinguer qui j'étais.~ ~ ~– Je suis prêt, me
18     XII|             ai fait entrer.~ ~ ~ ~J'étais de plus en plus étonné.
19     XII|                    Je savais que tu étais un blanc, et pour les blancs,
20     XII|          colère et sans jalousie. J'étais trop près du bonheur, et
21    XIII|        tracés, puis la déchirait. J'étais habitué à ne pas lui faire
22      XV|         dater tous mes malheurs ! J'étais enivré d'une joie qu'on
23     XVI|          avait parlé au moment ou j'étais entré.~ ~ ~– L'assemblée
24    XVII|             commençait à poindre. J'étais sur la place d'armes, réveillant
25     XIX|            Quand je me réveillai, j'étais dans la maison dévastée
26   XXIII|            avec votre permission, j'étais venu pour vous demander,
27    XXIV|       passait derrière le mornet, j'étais parvenu, avec quelques-uns
28     XXV| agrandissait.~ ~ ~ ~Le nègre dont j'étais le prisonnier m'avait déposé
29     XXV|           tronc de l'arbre auquel j'étais adossé, resserra les nœuds
30     XXV|           doute pour indiquer que j'étais sa propriété, et après qu'
31  XXVIII|           détacha du chêne auquel j'étais lié, et me remit au chef
32  XXVIII|             sacatra devant lequel j'étais introduit était d'une taille
33  XXVIII|         agenouillées.~ ~ ~ ~Seul, j'étais resté immobile sur mon siège,
34    XXXI|            parlait très bas, mais j'étais placé près de Biassou, et
35  XXXIII|            une voix haute :~ ~ ~– J'étais bien aise d'éprouver jusqu'
36   XXXIV|            un mulâtre !~ ~ ~– Si tu étais un mulâtre, en effet, observa
37    XXXV|             sa tâche par ma mort. J'étais dans une position singulière
38      XL|                    J'oubliais que j'étais attaché de manière à ne
39      XL|             sur moi en ce moment. J'étais tout entier à l'émotion
40    XLIV|              Tiens, dit-il.~ ~ ~ ~J'étais hors de moi. Je saisis le
41     XLV|           de joie et de surprise. J'étais éperdu.~ ~ ~ ~À ce cri,
42     XLV|              il m'aime ! Je ne m'en étais jamais aperçue.~ ~ ~ ~Je
43     XLV|         puis, on ignorait ce que tu étais devenu. Quelques-uns disaient
44     XLV|            m'assurait que non, et j'étais bien certaine du contraire,
45     XLV|           aurait avertie ; et si tu étais mort, je serais morte aussi,
46    XLVI|           pouvais les satisfaire, j'étais moi-même dans les prisons
47    XLVI|             de l'insurrection. – Tu étais absent. – Ton oncle venait
48   XLVII|                       XLVII~ ~ ~ ~J'étais habitué, pour ainsi dire,
49   XLVII|        avait dit, reprit-il, que tu étais de ton côté prisonnier au
50   XLVII|   prisonnier au camp de Biassou ; j'étais venu pour te délivrer.~ ~ ~–
51   XLVII|             tout à l'heure que tu n'étais pas libre ?~ ~ ~– Il me
52   XLVII|       Écoute, me dit-il, ce matin j'étais prisonnier parmi les tiens.
53    XLIX|            nulle entrave visible. J'étais libre, j'étais heureux,
54    XLIX|           visible. J'étais libre, j'étais heureux, et pourtant il
55    XLIX|      existence ! Je l'éprouvais ; j'étais sorti un moment du sépulcre,
56       L|         héros de l'humanité », et j'étais déterminé à tout endurer
57      LI|            temps plus heureux, je m'étais assis pour rêver sur le
58     LII|               À moi, Habibrah ! – J'étais à lui.~ ~ ~ ~Son atroce
59     LII|           main le frappait ! Mais j'étais trop impatient d'entendre
60     LIV|         montra subitement et rit. J'étais seul, désarmé ; un poignard,
61     LIV|    plate-forme, tout à l'heure tu n'étais qu'un bourreau, maintenant
62     LIV|         dents.~ ~ ~ ~En ce moment j'étais sur le bord du précipice ;
63     LIV|           les esclaves ?~ ~ ~ ~Je m'étais approché du précipice presque
64     LIV|         toi-même ! je te tiens ! Tu étais sauvé, j'étais perdu ; et
65     LIV|           tiens ! Tu étais sauvé, j'étais perdu ; et c'est toi qui
66      LV|      terrible, m'avaient accablé. J'étais presque sans force et sans
67     LVI|           être exécutés que si tu l'étais, ce que Biassou devait faire
68   LVIII|           nous entouraient.~ ~ ~ ~J'étais pétrifié. Le peu que je
69   LVIII|              mon capitaine, je n'en étais pas moins bien animé contre
70   LVIII|          délier ses compatriotes. J'étais là, moi, tout stupéfait.
71   LVIII|      croyais mort, mon capitaine. J'étais en colère… – Je criai…~ ~ ~ ~
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