Chap.

 1      IV|            Les habitations de mon oncle étaient voisines du fort
 2      IV|          immenses domaines de mon oncle. Je vous avouerai que la
 3      IV| insensibilité de leur maître. Mon oncle était du nombre, heureusement
 4      IV|           trouvé grâce devant mon oncle. C'était un nain espagnol,
 5      IV|    gouverneur de la Jamaïque. Mon oncle, qui, ayant longtemps résidé
 6      IV|       avantage de la variété. Mon oncle l'aimait à cause de sa difformité
 7      IV|  moustiques et les bigailles. Mon oncle le faisait manger à ses
 8      IV|           au moindre signe de mon oncle il accourait avec l'agilité
 9      IV|          se croyant seul avec mon oncle, l'exhorter à redoubler
10       V|          mois d'août 1791, et mon oncle avait fixé cette époque
11       V|   assemblée provinciale, dont mon oncle était membre.~ ~ ~ ~Il m'
12      VI|                      VI~ ~ ~ ~Mon oncle avait fait construire, sur
13     VII|         venu, nous informâmes mon oncle de ces inexplicables événements.
14     VII|  plantations, ne laissaient à mon oncle aucun loisir, il m'autorisa
15     VII|       prises, de concert avec mon oncle, je voulus tenter une épreuve.
16      IX|    accusation terrible devant mon oncle et livrer à la vengeance
17      IX|         une récompense.~ ~ ~ ~Mon oncle apprit de moi qu'il devait
18       X|       Mais, dès le lendemain, mon oncle m'ayant proposé de l'accompagner
19       X|     tremblants en présence de mon oncle, redoublaient, sur son passage,
20       X|       Irascible par habitude, mon oncle était prêt à se fâcher de
21       X|          bosquet de dattiers. Mon oncle court à ce malheureux, le
22       X|           par mégarde, et que mon oncle se plaisait à élever. L'
23       X|          loin de faire rougir mon oncle, n'avait fait que redoubler
24       X|      patient à son défenseur. Mon oncle, exaspéré, se dégagea des
25       X|         immobile de surprise, mon oncle de fureur ; c'était une
26       X|      moins cette hache.~ ~ ~ ~Mon oncle, qui ne se connaissait plus,
27       X|          Que fais-tu ? me dit mon oncle avec emportement.~ ~ ~–
28      XI|        avait porté à outrager mon oncle. Aucun d'eux n'avait jamais
29     XII|        inspirer de soupçons à mon oncle, dont la colère était encore
30    XIII|           malgré mes prières, mon oncle s'obstinait à le poursuivre.
31    XIII|  concevoir quelque espérance. Mon oncle n'était plus aussi irrité.
32    XIII|         noir du changement de mon oncle, voulant jouir du plaisir
33     XIV|        mes bras. La parole de mon oncle était sacrée ; et tandis
34     XIV|     pensées de bonheur.~ ~ ~ ~Mon oncle retira sa plainte le jour
35      XV|                      XV~ ~ ~ ~Mon oncle fut outré de l'évasion de
36      XV|         avait fait qu'aigrir. Mon oncle fut le premier à me rappeler
37      XV|         deux heures du matin, mon oncle, que j'avais éveillé, ne
38      XV|        attendait, obéissant à mon oncle, qui était, comme je l'ai
39    XVII|           sur les domaines de mon oncle vers dix heures du matin.~ ~ ~ ~
40    XVII|       apercevait la maison de mon oncle, portes et fenêtres brisées,
41   XVIII|         au Cap sur l'ordre de mon oncle, j'aurais pu du moins la
42   XVIII|            Quant à monsieur votre oncle, à sa famille, à madame…~ ~ ~–
43   XVIII|          le dernier enfant de mon oncle. Je reconnus aussi le chien ;
44     XIX|         la maison dévastée de mon oncle et dans les bras de Thadée.
45     XIX|     savait ce qu'était devenu mon oncle, dans la chambre duquel
46     XIX|     rideaux.~ ~ ~ ~Mon malheureux oncle était là, gisant sur son
47     XIX|        attachement connu pour mon oncle, et n'eût été massacré par
48     XIX|          la fin prématurée de mon oncle quelques regrets pour son
49      XL|         bourreau, assassin de mon oncle, ravisseur de Marie, oses-tu
50     XLI|    éprouvé bien des malheurs, ton oncle massacré, tes champs incendiés,
51    XLII|           devant l'esclave de mon oncle, je commençai à me demander
52   XLIII|          lui qu'un esclave de mon oncle, nommé Pierrot.~ ~ ~ ~Biassou
53     XLV|          enfant de mon malheureux oncle. Pierrot était allé chercher
54    XLVI|           dans les prisons de ton oncle. Le jour où tu obtins ma
55    XLVI|          J'appris que ceux de ton oncle se préparaient à suivre
56    XLVI|            Tu étais absent. – Ton oncle venait d'être poignardé
57    XLVI|     brûlant les propriétés de ton oncle, je dus sauver ce qui restait
58     LII|          autre était celui de mon oncle, le mien, d'Auverney ! Je
59     LII|       Habibrah, le bouffon de mon oncle !~ ~ ~ ~Le nain mit la main
60     LII|      fille ! J'ai été donné à ton oncle comme un sapajou. Je servais
61     LII|      honteuse prédilection de ton oncle pour celui qu'il nommait
62     LII|       railleries de ton exécrable oncle et de ses exécrables amis.
63     LII|         Songe à la cruauté de ton oncle…~ ~ ~– Misérable ! repris-je
64     LII|          Que dis-tu du fou de ton oncle ?~ ~ ~– Achève ce que tu
65     LII|         famille est anéantie. Ton oncle a péri par le fer ; tu vas
66     LIV|          la fin du bouffon de mon oncle.~ ~ ~ ~
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