Chap.

 1       I|          quelques caresses à Rask ; vois comme il te regarde.~ ~ ~–
 2     III|          air mécontent.~ ~ ~– Je ne vois pas, messieurs, ce qui peut
 3     VII|         cabinet de feuillage.~ ~ ~– Vois, Léopold, me dit-elle, mon
 4     VII|          soit pas fané depuis hier. Vois, cher ami, il a l'air d'
 5     VII|         cocotiers de la rivière, je vois glisser ta forme légère
 6  XXVIII|                     Tant mieux ! Je vois à ton uniforme que tu es
 7    XXIX|           avoir pas de religion, tu vois que c'est une calomnie,
 8    XXXI|           de votre cœur ; enfin j'y vois ce que les chiromancos appellent
 9    XXXI|            comblera de faveurs. J'y vois encore la figure d'un cercle,
10  XXXIII|          eux qui ont livré Ogé ! Tu vois que je ne suis pas embarrassé
11  XXXIII|          place de valet de chambre. Vois, señor filosofo, si elle
12  XXXIII|         comme ces deux pages que tu vois. Hum ! réponds, veux-tu
13   XXXIV|              il sera le patient. Je vois que c'est un blanc ; emmenez-le,
14   XXXVI|           Macaya qui passent, et je vois dans leurs rangs le nègre
15   XXXVI|            Biassou, ce noir que j'y vois là-bas, et qui ne doit pas
16   XXXVI|         noir.~ ~ ~– Caramba ! je le vois bien ! Mais comment t'appelles-tu ?~ ~ ~–
17 XXXVIII| commissaires ad hoc. »57~ ~ ~ ~– Tu vois, ajouta Biassou après la
18 XXXVIII|           pour mot dans ma tête, tu vois que nous sommes pacifiques.
19     XLI|         après un silence :~ ~ ~– Je vois la haine dans tes yeux,
20    XLIV|             sera toujours temps. Tu vois bien que je ne veux pas
21   XLVII|           répondraient de moi. – Tu vois que je suis pressé.~ ~ ~ ~
22   XLVII|           comme du camp de Biassou. Vois, l'ombre de ces cocotiers
23  XLVIII|          ajouterai rien à ce que tu vois. Comment peux-tu résister
24  XLVIII|         contrée environnante.~ ~ ~– Vois ce rocher ; quand le signe
25     LII|           sera plus complète. Tu me vois bien, n'est-ce pas ? Il
26   LVIII|          mes pelotons. Voilà que je vois arriver de la forêt le grand