Chap.

 1     Com|         poésies fugitives. Si j’étais poëte, je ferais des poésies
 2     Com|       contre la monarchie. Si j’étais procureur du roi !…~ ~ ~
 3       I|      années que des semaines, j’étais un homme comme un autre
 4       I|   penser à ce que je voulais, j’étais libre.~ ~ ~ ~Maintenant
 5      II|      paille de mon cachot, et j’étais tombé sur-le-champ dans
 6      II|         bien des jours.~ ~ ~ ~J’étais encore au plus profond de
 7      II|   soldats, il me semblait que j’étais le centre auquel se rattachaient
 8      II|      instant je m’aperçus que j’étais sans fers ; mais je ne pus
 9      II|         fit un grand silence. J’étais parvenu à ma place. Au moment
10      II|    décisif était venu, et que j’étais là pour entendre ma sentence.~ ~ ~ ~
11      II|         à l’arrêt de mort, je m’étais senti respirer, palpiter,
12       V|       répondait de ma vie. Je m’étais pourvu en cassation. On
13       V|    disparaître la camisole où j’étais paralysé. Après bien des
14     XII|         eût réveillé à temps. J’étais près de tomber à la renverse
15    XIII|          si attentive, que je m’étais oublié moi-même. Un profond
16    XIII|        la rêverie profonde où j’étais tombé, je vis la ronde hurlante
17    XIII|        qui se passait en moi. J’étais leur camarade en effet.
18    XIII|     Grève est sœur de Toulon. J’étais même placé plus bas qu’eux ;
19    XIII|     spectacle pour eux.~ ~ ~ ~J’étais demeuré à la fenêtre, immobile,
20     XIV|         à moi, il était nuit. J’étais couché dans un grabat ;
21     XIV|         et de pitié ; mais je n’étais plus le même homme. Les
22      XV|       XV~ ~Malheureusement je n’étais pas malade. Le lendemain
23     XVI|    passées à l’infirmerie, je m’étais assis près d’une fenêtre,
24     XVI|        m’en laissaient.~ ~ ~ ~J’étais là, ma tête pesante et embrassée
25     XVI|   rendre ce que j’éprouvais ; j’étais à la fois blessé et caressé.
26    XXII|        esprit a changé aussi. J’étais devenu machine comme la
27    XXII|        de la garde nationale. J’étais sergent de ma compagnie,
28    XXII| consolation, et je ne sais si j’étais préoccupé, mais il m’a semblé
29    XXII|         abordant la barrière, j’étais toujours préoccupé sans
30   XXIII|       depuis combien de temps j’étais là, quand un brusque et
31   XXIII|      yeux en tressaillant. Je n’étais plus seul dans la cellule.
32   XXIII|   maintenant.~ ~ ~ ~En effet, j’étais pâle, et mes cheveux se
33   XXIII|         pelure10 ; à dix ans, j’étais un marlou11. Puis j’ai fait
34   XXIII|   connaissances ; à dix-sept, j’étais un grinche12. Je forçais
35   XXIII|    soixante-six francs que je m’étais amassés dans mes quinze
36   XXIII|        Voilà, camarade.~ ~ ~ ~J’étais resté stupide en l’écoutant.
37   XXIII|      enfant. Puis, voyant que j’étais en chemise et que je grelottais :~ ~ ~–
38    XXIV|        Ah bien oui, charité ! j’étais plein de mauvais sentiments.
39     XXX|        cœur ?~ ~ ~ ~Ce matin, j’étais égaré. J’ai à peine entendu
40    XXXI|       en est allé.~ ~ ~ ~Moi, j’étais là, comme une des pierres
41   XXXII|    nouveau gendarme, avec qui j’étais seul.~ ~ ~ ~Voici à peu
42   XXXII|        son uniforme.~ ~ ~ ~Je m’étais levé de ma chaise. J’observais
43  XXXIII|      dos brun et frais.~ ~ ~ ~J’étais hors de moi. Je l’atteignis
44  XXXIII|     essoufflée et riait. Moi, j’étais sérieux, et je regardais
45   XXXIV|         misérables hommes, je n’étais pas un méchant !~ ~ ~ ~Oh !
46   XXXIV|         un an, à pareil jour, j’étais libre et pur, que je faisais
47   XXXVI|  bourdon de Notre-Dame.~ ~ ~ ~J’étais déjà étourdi d’avoir monté
48 XXXVIII|      yeux me cuisent comme si j’étais dans la fumée.~ ~ ~ ~J’ai
49    XLII|      nuit. Il me semblait que j’étais dans mon cabinet avec deux
50  XLVIII|     murée de visages humains… J’étais ivre, stupide, insensé.